2025 : L’Europe enterre la démocratie sous vos yeux

Achtung, Achtung ! Bruxelles t’a bien dressé, tu peux voter maintenant

Regarde-moi ce bon peuple docile. Debout dans la file, carte d’électeur en main, prêt à mettre son petit bulletin dans l’urne, le cœur battant d’espoir. Il croit encore que ça veut dire quelque chose. Ah, ces idéalistes ! On a presque envie de les applaudir.

L’Europe ? Une belle démocratie ! Une symphonie parfaite de libertés, de votes et de choix éclairés. Tu votes, tu décides. Enfin, dans les limites du raisonnable. Il ne faudrait pas exagérer non plus, on ne va pas laisser n’importe qui croire qu’il peut changer les règles du jeu.

Prenons un exemple récent, disons… la Roumanie. Un charmant pays d’Europe de l’Est, rempli de gens sérieux, qui ont décidé d’élire un président un peu trop indépendant. Un type qui, comment dire… ne plaisait pas à Bruxelles. Alors, hop, un petit coup de tribunal, une pincée de "campagne illicite sur TikTok", un soupçon d’"ingérence russe", et abracadabra, plus d’élection !

Tu ne l’avais pas vu venir, hein ?

C’est là toute la beauté du système. On ne force plus les portes avec des bottes cloutées. Non, trop bruyant. On murmure, on organise, on trouve la faille. L’élection n’a pas été "annulée", nein, nein ! Elle a été "rectifiée". Pour ton bien. Pour la démocratie. C’est une démocratie, jawohl, et tu vas l’aimer.

Et maintenant, devine quoi ? C’est l’Allemagne qui passe à la moulinette.

L’AfD monte dans les sondages, et tout le monde panique. Les visages se crispent à Bruxelles. Ce parti ose parler de souveraineté nationale, de sortir de l’UE ? Mais enfin, ils ne sont pas au courant que la démocratie, c’est voter correctement ?

On ne va pas se laisser faire. Nous avons les moyens de vous faire revoter.

Si l’AfD gagne, pas de problème, on a le mode d’emploi :
- On commence par des articles alarmistes sur la montée du fascisme.
- On trouve un scandale à coller sur le dos du parti.
- On invoque le spectre des réseaux sociaux corrompus par Moscou.
- Et si ça ne suffit pas… eh bien, on sort les tribunaux et on annule tout.

C’est comme ça que ça fonctionne, camarade. C’est la démocratie à l’européenne. Tu votes, nous décidons si ton vote était conforme aux valeurs démocratiques. Si oui, bravo ! Si non… eh bien, tu peux toujours réessayer.

La Roumanie l’a appris à ses dépens.
L’Allemagne est en train de comprendre.
Et nous, Français ? Nous devrions déjà le savoir.

Nous avons dit NON à l’Europe en 2005. Et pourtant, nous avons eu l’Europe quand même. Un bel effort de démocratie.

Alors, tu veux encore croire que cette élection allemande va se jouer à la loyale ? Vraiment ?

Nous avons les moyens de vous faire croire ce que nous voulons.

Roumanie : Premier test de fraude démocratique en mode beta

Ah, la Roumanie. Pays charmant, plein de forêts mystérieuses, de routes cabossées et d’électeurs un peu trop turbulents. Ils ont cru, les braves, qu’ils pouvaient choisir leur président. Grossière erreur !

En décembre dernier, ils ont eu une idée saugrenue : voter pour le mauvais candidat. Un souverainiste, critique de l’UE, opposé à l’OTAN… Bref, un indésirable. Et là, panique à bord. À Bruxelles, les petites mains s’affolent, les téléphones chauffent, les visages se crispent. "Mein Gott, que fait-on ?"

On ne peut tout de même pas laisser passer ça. Voyons, voyons, il doit bien y avoir un moyen de remettre ces électeurs dans le droit chemin.

Et bim, en un éclair, la solution est trouvée : "ingérence russe", "campagne illégale sur TikTok". Voilà, affaire réglée. L’élection est annulée, officiellement "irrégulière", et on refait un tour de piste en mai, avec des candidats plus… appropriés.

La démocratie, camarade, c’est comme un bon schnitzel : si la viande est douteuse, on la repasse à la poêle.

Et bien sûr, pas un mot plus haut que l’autre dans les médias. Tout le monde trouve ça normal. Une élection annulée, dans un pays membre de l’UE, pour des raisons aussi fumeuses qu’un cigare cubain ? Silence radio.

Le peuple roumain ? Il proteste un peu, bien sûr. On sort des pancartes, on crie à la trahison… et puis, peu à peu, on rentre chez soi. Parce qu’au fond, ils le savent : leur vote n’a jamais compté.

Un test grandeur nature, un laboratoire parfait. Si ça marche en Roumanie, pourquoi pas ailleurs ?

Et maintenant, tiens-toi bien, devine quel pays est le prochain sur la liste ?

L’Allemagne, bien sûr. Jawohl.

Les Allemands vont apprendre, eux aussi, qu’on ne badine pas avec l’UE.

Et toi, brave Français, regarde bien. Parce que ce qui leur arrive aujourd’hui, c’est peut-être ce qui t’attend demain.

Allemagne : Deuxième tour de viol politique ?

Ah, nos amis teutons. Efficaces, ordonnés, toujours dans le respect des règles. Sauf que cette fois, les règles ont changé.

L’AfD monte. Fort. Trop fort. Le genre de montée qui donne des sueurs froides dans les couloirs feutrés de Bruxelles. Dans les rédactions parisiennes et berlinoises, on commence déjà à tremper la plume dans l’acide.

"Montée inquiétante", "menace pour la démocratie", "l’histoire qui se répète"… Tout y passe. Il faut préparer le terrain, habituer les masses à l’idée que ce vote-là ne peut pas être un vrai vote.

Parce que, soyons sérieux, un bon peuple ne vote pas contre l’Europe.

Si l’AfD arrive en tête, que va-t-il se passer ?

Rien de compliqué, on applique la méthode Roumanie™ :
- D’abord, on allume un petit feu. Un article ici, une "étude indépendante" là. On explique que X (Twitter, pardon, il faut s’adapter aux nouvelles marques) favorise massivement l’extrême droite.
- Ensuite, on souffle sur les braises. On trouve une "anomalie", un "biais algorithmique", quelque chose qui permette de dire que les résultats ne sont pas naturels.
- Et puis, en dernier recours, on sort la grosse artillerie : les tribunaux. Un juge, un décret, une décision "historique"… et l’élection est invalidée.

Le peuple allemand ? On lui demandera gentiment de revoter. Jusqu’à ce que le résultat soit conforme aux attentes.

C’est pour la démocratie, vous comprenez.

On l’a fait en Roumanie.
On le prépare pour l’Allemagne.

Et si nécessaire, on peut toujours le faire ailleurs.

Dis-moi, tu te souviens de 2005 ?

Parce qu’eux aussi, à Bruxelles, s’en souviennent très bien.

Le DSA : L’UE a inventé une Gestapo qui n’a pas besoin de SS

Ah, la modernité ! Autrefois, pour faire taire les dissidents, il fallait du personnel. Des hommes en bottes, des archives papier, des cellules bien fraîches et des interrogatoires bien musclés. Aujourd’hui, un simple algorithme suffit.

Bienvenue dans la répression 2.0.

Le Digital Services Act (DSA), ce bijou technocratique pondu par Bruxelles, c’est la censure, mais en version propre et silencieuse. Un système où on ne t’envoie plus de la police à l’aube : on te fait disparaître d’Internet.

Pas besoin de cris, pas besoin de procès-spectacle. Un clic, et hop, ta voix s’évapore.

Tu crois encore être un homme libre ?

Rien n’est laissé au hasard.
- Tes opinions sont surveillées.
- Tes recherches sont analysées.
- Ton comportement est étudié.

Et si jamais tu t’avises de penser différemment, attention : "contenu problématique", "haine en ligne", "désinformation".

En quelques secondes, tu es réduit au silence.

Ce n’est pas une censure, nein ! C’est une "modération responsable".

Et si tu insistes, si tu refuses de te conformer ?

Eh bien, tu deviens un ennemi du progrès, un paria numérique, un virus à éradiquer.

Regarde bien autour de toi. Combien de comptes supprimés, combien de vidéos effacées, combien d’opinions jugées "dangereuses" ?

La Gestapo traquait ses cibles dans les rues et les appartements.
Le DSA traque ses cibles dans leurs propres esprits.

L’un te mettait en prison.
L’autre fait en sorte que tu t’auto-censures avant même d’oser parler.

Et après, tu oses encore me parler de démocratie ?

Les gestes interdits, les mots tabous : le formatage total

Il y a des choses qu’on peut dire, d’autres qu’on ne peut pas. Il y a des signes qu’on peut brandir fièrement, et d’autres qui vous valent l’opprobre éternelle, la mise au ban sociale, la prison, pourquoi pas.

La règle est simple : il y a le Bien et il y a le Mal. Et ce sont les vainqueurs qui décident où se trouve la frontière.

Un poing levé ? Très bien, camarade.
Un T-shirt du Che ? Héros révolutionnaire !
Un marteau et une faucille ? Un idéal d’égalité !

Mais essaie donc une quenelle, un drapeau impérial, un slogan un peu trop dissident.

BOUM.

Ta carrière ? Finie.
Ta réputation ? Carbonisée.
Ta place dans la société ? Un souvenir.

Ah, mais rassure-toi, ce n’est pas de la censure, nein nein nein ! C’est de la "préservation de la mémoire" !

La question n’est pas de savoir si certains signes sont nauséabonds ou non.
La question, c’est qui décide.

Tu veux comprendre ? Très bien, faisons un test :

Pourquoi peut-on glorifier Robespierre et sa guillotine, mais pas un autre régime aux méthodes pourtant similaires ?
Pourquoi applaudit-on Staline sur certains campus, mais pas d’autres dictateurs du XXe siècle ?
Pourquoi peut-on vénérer un révolutionnaire qui faisait fusiller ses opposants, mais pas un autre qui portait le mauvais uniforme ?

La réponse est simple : si tu ne peux pas remettre en question le passé, alors tu ne peux pas remettre en question le présent.

Et si tu ne peux pas remettre en question le présent, alors tu ne peux pas changer l’avenir.

Voilà pourquoi on interdit certains gestes et pas d’autres.
Voilà pourquoi on brûle certains livres et on réédite d’autres.
Voilà pourquoi on t’enseigne certains crimes et pas d’autres.

Parce qu’un peuple qui comprend l’Histoire est un peuple qui peut reconnaître les mêmes schémas quand ils se reproduisent.

Et ça, c’est un danger.

Un peuple qui se souvient, c’est un peuple qui peut dire non.

Et nous savons comment nous occuper de ceux qui disent non.

L’AfD est déjà dans le collimateur : pourquoi attendre ?

En Roumanie, ils ont fait ça proprement. Un candidat trop gênant ? Élection annulée.
Un petit tour devant les tribunaux, un vague prétexte technologique, et hop, on efface et on recommence.

Et maintenant, regarde l’Allemagne.

L’AfD grimpe. Trop haut. Trop vite. Et ça, ça ne plaît pas.

Il y a des règles, camarade ! On peut voter, oui, mais pas n’importe comment.

La démocratie est une belle machine, mais elle ne fonctionne que si les engrenages tournent dans le bon sens.

Si le peuple commence à pousser dans la mauvaise direction, alors il faut le recadrer. Gentiment d’abord.

Les médias commencent le travail.
L’AfD ? "Un parti extrémiste, dangereux, nostalgique des heures sombres."
Leurs électeurs ? "Manipulés, désinformés, perdus."

Ensuite, on passe aux experts.
"Une victoire de l’AfD serait une catastrophe pour l’Europe."
"Il faut se prémunir contre un vote influencé par des puissances étrangères."

Tu vois où ça mène ?

D’abord, on prépare l’opinion.
Ensuite, on installe l’idée que cette élection pourrait être invalide.

Et quand les urnes auront parlé, si elles disent le mauvais mot, on passera à l’action.

Un juge ici, une enquête là. On trouvera bien un problème. Un financement louche, un réseau social trop favorable, une ingérence venue de l’Est. Et si tout ça ne suffit pas…

Eh bien, on pourra toujours faire comme en Roumanie.

Le peuple a mal voté ? Tant pis pour lui.

Nous avons les moyens de vous faire revoter.

Trump & Musk : les derniers héros ou les prochains dissidents ?

Ah, l’ironie de l’Histoire ! Pendant des décennies, l’Europe regardait les États-Unis de haut. Trop brutaux, trop simplistes, trop libres. Le Vieux Continent, lui, savait mieux. Il connaissait la mesure, l’équilibre, la démocratie bien encadrée.

Et maintenant ?

Où sont les vrais dissidents ? À Paris ? À Berlin ? Nein, nein, nein !
Les seuls qui tiennent encore tête au système sont aux États-Unis.

Donald Trump, l’homme que tout devait enterrer. Un coup d’État judiciaire raté, deux destitutions avortées, un FBI sur le dos, et pourtant… il est de retour. Il refuse de disparaître, parce qu’il a compris ce que l’Europe feint d’ignorer : la démocratie est un jeu truqué, et seule la force permet d’en reprendre le contrôle.

Et à ses côtés ? Un autre gêneur. Un oligarque qui a retourné sa veste dans le mauvais sens. Elon Musk.

L’homme qui a racheté Twitter et brisé l’un des plus grands outils de contrôle du XXIe siècle. L’homme qui refuse de livrer ses algorithmes aux tribunaux allemands.

Et devine quoi ?

À Bruxelles, on rêve de le faire taire.

Musk doit être un danger. Il faut qu’il soit un problème. Alors on le surveille, on l’attaque, on l’accuse. Et si ça ne suffit pas ? On le neutralisera autrement.

Quant à Trump, le cauchemar est encore pire. Parce que si Trump revient, c’est la fin du petit arrangement mondial.

L’UE ne pourra plus se cacher derrière le parapluie américain tout en dictant au monde ses "valeurs progressistes".

Et si Musk et Trump gagnent tous les deux leur pari ?

Alors la machine s’enrayera.
Alors les peuples pourraient se souvenir qu’ils ont un pouvoir.
Alors ce système mou, cette dictature sans uniforme, pourrait s’effondrer.

C’est pour ça que Trump et Musk ne doivent pas gagner.
C’est pour ça que l’Europe rêve de les voir disparaître.

Parce qu’ils sont les derniers à dire non.

Et le premier qui dit non rappelle aux autres qu’ils pourraient en faire autant.

2025 : Le moment où l’UE va te dire que tu n’as jamais vraiment eu de choix

Nous y sommes. L’Histoire s’accélère, et le masque tombe.

En Roumanie, ils ont testé la méthode.
En Allemagne, ils sont prêts à recommencer.

Et après ? Quel sera le prochain pays ?

Si demain, une élection en Pologne, en Hongrie, en Italie ou en France donnait "le mauvais résultat", tu crois qu’ils hésiteraient ?

Bruxelles n’a plus besoin de chars. Plus besoin de coups d’État militaires. Les peuples se soumettent d’eux-mêmes, à force de leur répéter que résister, c’est mal.

Mais il y a une faille.

Une brèche, un grain de sable dans cette immense mécanique de contrôle.

L’AfD peut gagner.
Trump est de retour.
Musk a brisé la censure.

Et si cette élection allemande n’était pas juste un vote de plus, mais le début d’un soulèvement contre le système ?

Si les peuples comprenaient qu’ils n’ont jamais eu de vrai choix, et qu’il est temps de le reprendre ?

Si, cette fois, ils refusaient de se taire, de baisser la tête, d’accepter cette mascarade de démocratie où seuls les bons élèves sont autorisés à jouer ?

2025 sera l’année où tout bascule.

Soit l’Europe impose définitivement son modèle de soumission consentie.
Soit les peuples se réveillent… et la machine explose.

Le choix est là.

Mais pour la première fois depuis longtemps, ce n’est pas Bruxelles qui doit le faire.

C’est toi.

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