La vérité sur le Covid : l'injection de la peur

1. Bienvenue en hypnose collective : le syndrome du masque mental

Le masque chirurgical n’a jamais été pensé pour retenir des virus, mais qu’importe : il a parfaitement rempli sa mission principale. Non, pas sanitaire. Psychologique. On ne cherchait pas à filtrer l’air. On cherchait à filtrer l’esprit critique.

Tu vois, quand on impose à toute une population de se taire à travers une petite muselière bleue made in China, ça n’est pas pour sa santé. C’est pour sa docilité. L’effet placebo était triple : "je suis protégé", "je protège les autres", "je fais partie des gentils".

Et c’est là que l’opération chirurgicale du cerveau a commencé. Jour après jour, la peur injectée par les JT de 20h ("aujourd’hui : 368 morts, 11 412 cas, 47 000 contaminés… et un chat fiévreux dans l’Oise") s’infiltrait dans les neurones pendant que le masque compressait toute velléité de réflexion.

Les gens n’avaient plus de bouche pour parler, ni de nez pour respirer, mais toujours des oreilles grandes ouvertes pour écouter la messe de la terreur, récitée par les prophètes en blouse blanche sur les plateaux de BFM. Ah, ces médecins de plateau... La blouse immaculée, la mèche bien brushée, le ton professoral. Ils n’avaient pas vu un malade depuis Sarko président, mais ils nous expliquaient comment sauver des vies en nous disant, entre deux pubs de Doliprane, de "ne surtout pas embrasser Mamie à Noël".

Et comme dans toute bonne dictature émotionnelle, les consignes changeaient toutes les semaines, sans que personne ne pose la moindre question. Pas parce que les gens étaient idiots. Parce qu’ils étaient terrorisés. Le cerveau humain, quand il sent la mort dans l’air, court se réfugier dans le troupeau. Et le troupeau, en 2020, portait des FFP2 et regardait Castex avec l’attention d’un hamster devant la météo.

Tu te souviens de cette perle de génie ? "Le café assis, c’est oui. Le café debout, c’est non." — Merci Jean Castex, le seul Premier ministre au monde à avoir découvert que le virus attaquait verticalement.

On a tout gobé. Les masques dans la rue. Les attestations pour aller pisser le chien. Le mec tout seul sur une plage, verbalisé à 135€ parce que son souffle risquait d’infecter une mouette. Et dans tout ça ? Aucune logique, aucune preuve. Mais une efficacité redoutable : tout le monde fermait sa gueule. Littéralement.

Le masque mental était en place. On ne voyait plus les sourires, plus les doutes, plus les nuances. Un peuple masqué est un peuple anesthésié. Et une fois endormi, on peut lui faire avaler tout ce qu’on veut.

Même qu’il faudra dix doses. Même qu’il faut piquer les femmes enceintes. Même que "vous êtes vaccinés, donc protégés… mais si vous attrapez quand même le Covid, c’est que ça marche".

La seule chose qu’on n’a pas osé injecter, c’est le doute.

Mais t’inquiète pas. Moi, je suis là pour faire la piqûre de rappel.
Pas dans l’épaule. Dans le cerveau.

2. Covid-19 : Virus ou Révélation ?

Non mais sérieusement, on va pas se mentir : le virus du Covid-19, c’était pas juste un microbe… c’était un projecteur halogène braqué sur la gueule de notre civilisation. Il n’a pas détruit nos libertés. Il a juste levé le voile sur à quel point elles étaient déjà en soins palliatifs.

Tout le monde te dira : "Ah mais c’est le virus qui a tout chamboulé !" Tu parles. Le virus a servi de carte Joker à tous les apprentis sorciers du pouvoir : politiques frustrés, technocrates sans affection, médecins dépressifs en manque de likes, communicants dopés à PowerPoint... Ils n’attendaient qu’une excuse pour sortir leur rêve humide : un monde hyper-contrôlé, masqué, pucé, soumis. Et bam, arrive le Covid. Jackpot.

Mais en vérité, ce virus ne nous a pas transformés. Il nous a révélés.
Il a révélé qu’une majorité de citoyens, dès qu’on leur parle de mort, sont prêts à tout abandonner : leur liberté, leur dignité, leur discernement, et même leur grand-mère, qu’ils ont laissée crever de solitude dans un EHPAD en regardant la météo sur TF1.

Il a révélé que la science n’est plus un espace de débat, mais un dogme à récitation obligatoire, où tu dois croire sans comprendre, obéir sans discuter, et surtout... fermer ta gueule si t’es pas immunologue payé par Pfizer.

Il a révélé qu’on vit dans une démocratie qui, au moindre éternuement, devient une start-up autoritaire. Et dans cette start-up, les slogans changent chaque semaine :
« Restez chez vous » → « Sortez, mais pas trop » → « Sortez, mais pas plus de 1 km » → « Sortez, mais avec un papier signé par vous-même pour vous autoriser à sortir ».
On appelle ça l’autonomie sous surveillance. Une belle invention du XXIe siècle.

Et ce n’est pas fini :
— Tu as survécu au Covid ? Bravo, t’es suspect.
— Tu refuses l’injection miracle ? T’es dangereux.
— Tu poses une question ? T’es complotiste.
— Tu proposes une solution ? T’es radié.

Franchement, un virus qui tue moins de 0,5 % des infectés, ça n’aurait pas dû mettre le monde à genoux. Mais nous étions déjà à genoux, intellectuellement. Le Covid n’a été qu’un test PCR géant de notre niveau de soumission.

Résultat : positif.
Très positif.

3. Le syndrome du croque-mort : quand le journal télévisé devient la morgue de la pensée

À l’heure où tu dégustais ton petit apéro confiné (chez toi, hein, pas debout au bar – t’es pas fou quand même), le croque-mort du 20h te balançait les chiffres comme des obus :
“Ce soir, 438 décès, 16 241 nouveaux cas, 157 admissions en réa… Bon appétit bien sûr.”

C’était pas de l’info, c’était un enterrement en direct.
Le JT est devenu un avis de décès national, un cortège funéraire audiovisuel, avec musique dramatique en fond, fond bleu chirurgical et regard larmoyant du présentateur.
À ce stade, fallait juste remplacer le générique de fin par les cloches de Notre-Dame.

Et ça, c’est la version soft. Parce qu’en prime, ils t’expliquaient que si tu mourais, c’était sûrement de ta faute.
Tu n’as pas respecté les distances, tu as serré la main de Jean-Paul, tu as éternué dans ton coude trop violemment… BAM, hécatombe.

Mais le vrai chef-d’œuvre, le Picasso du pathos, c’était le compteur en temps réel.
Le nombre de morts défilait en bas de l’écran comme un score de match :
France 37 201 - Covid 1.
Sauf que là, on jouait contre notre propre bon sens. Et on perdait. Chaque soir.

Et pendant que les télés te transformaient en citoyen-urgentiste, les plateaux devenaient des bancs d’église, avec leurs prêtres en stéthoscope nous chantant les litanies du virus.
— "Le vaccin sauve."
— "Le masque protège."
— "Rester chez soi, c’est un acte d’amour."
Sérieux, on était à deux doigts de nous faire baptiser au gel hydroalcoolique.

Le plus beau ? Aucun de ces apôtres médiatiques ne traitait un malade.
Mais ils avaient tous un avis.
Un avis, un égo, un micro. Le triangle d’or du médecin de plateau.

Et pendant ce temps, la pensée s’est évaporée. Les contradictions ? Personne ne les soulignait.
Les chiffres ? Personne ne les comprenait.
Mais tout le monde avait peur. Et la peur, ça fait taire. Mieux que la censure.

Alors on regardait les morts défiler, les mesures absurdes s’empiler, et on disait : "Bah, s’ils le disent à la télé..."
Eh ouais. Le croque-mort a remplacé le professeur. Et le doute ?
Il est mort aussi.
Paix à son âme.

4. 90 % des études scientifiques sont de la merde (et je peux te le prouver)

Tu pensais que la science, c’était sérieux ?
Des mecs en blouse blanche, dans un labo stérile, avec des tubes à essai qui brillent et des cerveaux qui tournent à fond ?
Raté.
La vraie science, aujourd’hui, c’est un business plan avec des tableaux Excel et une stratégie de publication sponsorisée par... surprise : le labo qui vend la solution.

Voici comment ça marche :
Tu veux publier une étude ? Pas de problème.
Tu payes la revue, tu rédiges toi-même l’article, ou mieux encore, tu le fais écrire par le service marketing du laboratoire, et hop !
Direction The Lancet, New England Journal of Manipulation, ou Nature Bidon & Co.

On a littéralement eu une étude fabriquée à base de données fictives, signée par un type qui n’existait pas, et validée par les plus grands journaux scientifiques, juste parce qu’elle allait dans le sens du vent gouvernemental.

Et ces études ? On les a brandies comme des tables de la loi.
T’en doutais ? T’étais un complotiste.
T’en riais ? Un assassin.
T’en montrais les conflits d’intérêts ?
Ciao ta licence, t’es radié.

Et pourtant, même des chercheurs honnêtes te le disent (quand ils osent ouvrir la bouche sans risquer leur poste) : 90 % de la littérature médicale actuelle est à jeter.
Non pas parce que tout est faux, mais parce que les conditions de production sont vérolées jusqu’à l’os.

Mais attends, c’est pas tout.

Quand t’as une étude commandée par Pfizer, revue par un ancien de Pfizer, publiée dans une revue financée par... Pfizer,
et que tout le monde la cite comme si c’était l’évangile…
Tu vois le problème ?
Non ? T’inquiète. Eux non plus.

Et quand un médecin de terrain te dit : "J’ai soigné des centaines de patients sans souci, avec un protocole différent", on le traite de druide, de fou, de criminel.

Parce que dans ce monde merveilleux, l’expérience directe ne vaut rien,
mais un graphique PowerPoint de l’OMS, là, c’est sérieux.

Alors oui, je confirme : 90 % des études scientifiques sont des torchons à peine dignes d’essuyer les dégâts d’un mauvais Doliprane.
Mais comme elles viennent avec un tampon doré, elles passent.

La vérité aujourd’hui ? Elle se vend.
Et si t’as pas les moyens,
tu fermes ta gueule et tu t’alignes.

5. Vaccinisme compulsif : la piqûre comme sacrement moderne

Il fut un temps où la foi passait par l’église, le confessionnal et un bon vieux Notre Père. Aujourd’hui, on t’excommunie si tu n’as pas ton QR Code.

Oui mon ami, le monde moderne ne croit plus en Dieu.
Il croit en Pfizer.
Et son prophète, c’est le mec en blouse sur France 5 qui te répète, yeux humides :
"Le vaccin, c’est l’espoir."

Sauf qu’on n’est pas en médecine là, on est dans un épisode de Black Mirror sauce Hostie ARNm.

Le vaccin n’est plus un traitement. C’est devenu un rite de passage, une preuve de foi dans la nouvelle religion du "vivre ensemble" sous contrôle permanent.

T’as pas la piqûre ?
☠️ Tu es impur.
☠️ Tu mets les autres en danger.
☠️ Tu veux tuer mamie, le chien de mamie, et la planète entière.

T’es injecté ?
✅ Tu es un bon citoyen.
✅ Tu peux acheter tes chips en paix.
✅ Tu as ta place à la messe républicaine du café en terrasse. Assis, bien sûr. Pas debout. Hérétique.

Mais tu sais ce qu’il y a de magique avec cette foi vaccinale ?
C’est qu’elle fonctionne même quand elle échoue.

Tu chopes le Covid ?
— "Heureusement que t’étais vacciné, sinon t’en serais mort."
Tu meurs quand même ?
— "C’est rare."
T’as des effets secondaires chelous ?
— "Coïncidence. Ou stress."
T’en veux pas ?
— "Tu es un danger pour la société."

C’est beau, non ? Une croyance inattaquable, auto-validée, auto-immunisée contre le bon sens.

Et pendant ce temps-là, on nous prépare au Saint Graal :
💉 100 vaccins dans une vie.
💉 4 pendant la grossesse.
💉 Et bientôt un abonnement mensuel à l’immunité programmable.

On n’a pas éradiqué la maladie.
On a médicalisé l’existence.

La seringue est devenue la clé d’entrée à la vie sociale, le badge de conformité, le symbole de vertu.
Tu l’as pas ? Tu vaux moins qu’un chien de traîneau non pucé.

Alors moi j’dis : à ce stade, c’est plus un vaccin, c’est une hostie génétique.

Et t’as intérêt à tendre le bras.
Parce qu’à défaut de sauver ton corps…
ça rachète ton âme.

6. Médecine de plateau vs médecine de terrain : le triomphe de la blouse éclairée par les projecteurs

T’as remarqué ? Les seuls médecins qu’on a vus pendant toute cette pandémie, c’étaient pas ceux qui auscultaient des gens.
C’étaient ceux qui auscultaient… leur reflet dans le prompteur.

Ah, la médecine de plateau… Cet art délicat de parler de santé sans jamais voir un seul malade.
Le gars arrive, blouse blanche repassée, lunettes à demi-nez, le petit air soucieux calibré à la virgule.
Il regarde la caméra avec la gravité d’un prêtre en train d’annoncer l’Apocalypse.
Et il te balance des trucs du genre :
“Il faut impérativement administrer une troisième, puis une quatrième dose pour faire barrage à la vague.”

Vague de quoi ? De bon sens ?

Pendant ce temps, dans les hôpitaux, les vrais toubibs galéraient avec trois blouses, deux internes crevés et zéro matos, pendant que les clowns de plateau racontaient leur vie entre deux passages chez le coiffeur.

Et bien sûr, ces stars de la seringue médiatique n’avaient aucune spécialité pertinente.
Un néphrologue parlait de virologie.
Une gynéco te faisait la morale sur le port du masque dans les bus.
Un ORL devenait expert mondial en immunité collective.

C’est comme si on demandait à un plombier son avis sur l’astrophysique parce qu’il a vu Interstellar.

Mais le plus drôle, c’est que ces médecins de plateau étaient tous d’accord.
Unanimité parfaite.
Un seul narratif.
Une seule voix.
La Sainte Trinité de la pandémie :
1. Le vaccin est bon.
2. Le gouvernement a raison.
3. Si tu n’es pas d’accord, t’es dangereux.

Et gare à ceux qui osaient penser autrement.

Les médecins de terrain ? Ceux qui disaient "Hé les gars, j’ai soigné sans intuber, sans enfermer, sans vacciner tout le monde" ?
Radiés, censurés, interdits d’exercer.

Parce que dans ce cirque, on soigne pas les gens, on soigne le discours.

Alors t’as le CHU d’un côté, et de l’autre BFM-TV qui devient la nouvelle fac de médecine :
“Bonjour, bienvenue à l’Université de la Peur Appliquée, aujourd’hui cours magistral de panique collective, avec validation par applaudimètre.”

On est passés de “Primum non nocere” à “Primum faire bonne impression à l’antenne”.

Et le plus ironique dans tout ça ?
Ceux qui sauvaient des vies, on ne les a jamais entendus.
Parce qu’ils bossaient.
Et parce que la caméra, elle, préfère ceux qui brillent.

Même si à l’intérieur…
c’est vide.

7. OMS, Conseil de l’Ordre, ARS : bureaucratie thérapeutique ou armée d’occupation ?

Y a un truc qu’il faut dire clairement :
les institutions censées protéger notre santé, aujourd’hui, sont surtout là pour protéger… leurs propres fesses.

L’OMS ?
Ce machin vaguement mondial, financé à moitié par les États, à moitié par des milliardaires fans de seringues et de moustaches philanthropiques. Leur directeur général, c’est littéralement un mec poussé par la Chine. Mais bon, c’est pas grave hein, y a un logo bleu et blanc avec un serpent, ça fait sérieux.

Et pendant que ce club de notables alignait les conférences zoom, il déclarait officiellement :
“Non non, pas de transmission entre humains.”
“Pas besoin de masque.”
“Ah si en fait.”
“Vaccinez les enfants. Et les femmes enceintes. Et votre chat.”

Crédibilité niveau caniveau. Mais vas-y, ils sont “la référence”. T’as pas le droit de remettre en question leur parole sacrée, sinon t’es un hérétique viral.

Passons au Conseil de l’Ordre, ce magnifique vestige vichysto-rétrograde qui aujourd’hui se prend pour le Vatican de la médecine.
Tu soignes un patient sans suivre la ligne du catéchisme vaccinal ?
🔨 Sanction.
Tu oses dire que certains traitements alternatifs ont fonctionné ?
🔨 Blasphème.
Tu publies un article avec des chiffres qui contredisent l’ARS ?
🔨 Bûcher.

C’est plus un conseil. C’est le KGB des blouses blanches.

Et les ARS, alors ? Ces agences régionales de santé, supposées être les "chevilles ouvrières" de la gestion locale.
Tu veux savoir ce qu’elles font ?
📌 Elles ferment des lits.
📌 Elles remplissent des tableaux Excel.
📌 Elles répondent aux ministères, pas aux médecins.

Tu peux avoir un service en manque de personnel, des urgences saturées, un CHU en PLS…
L’ARS, elle, te répondra par un mail automatique avec trois sigles et une étude de 2017.

C’est pas de la santé, c’est du PowerPoint déguisé en humanisme.

Et au sommet de cette pyramide bureaucratique ?
Des types qui n’ont jamais tenu un stéthoscope de leur vie, mais qui décident qui doit être vacciné, suspendu ou viré.
Leurs seuls outils de diagnostic ? Le thermomètre politique et la boussole financière.

Alors on a remplacé le serment d’Hippocrate par une série de mots creux :
“protéger les plus fragiles”, “solidarité vaccinale”, “science basée sur les preuves”

Mais la seule preuve qu’on ait aujourd’hui, c’est que :
ceux qui devaient nous protéger nous ont administré du bullshit en intraveineuse.

Sans notre consentement.
Et sans ordonnance.

8. Complotisme, l’ultime arme contre la dissidence raisonnée

Tu veux décrédibiliser quelqu’un en moins de 3 secondes ? C’est simple.
Tu le traites de complotiste.

Peu importe ce qu’il dit. Peu importe qu’il ait 35 ans de médecine derrière lui, 12 000 patients soignés, une thèse, une barbe grisonnante et une bibliothèque pleine de publications.
S’il ose poser une question du type :
“Pourquoi injecter trois doses à un enfant de 8 ans pour une maladie qui ne le touche pas ?”
BIM.
Complotiste.
Circule. Ferme-la. Va t’acheter un t-shirt QAnon.

Ce mot est devenu la matraque intellectuelle du XXIe siècle.
Tu questionnes ? T’es fou.
Tu doutes ? T’es dangereux.
Tu sais lire une étude ? T’es un terroriste médical.

Et le pire, c’est que les gens aiment que tu sois complotiste.
Ça les rassure.
Parce que si tu as raison, alors ça veut dire qu’ils ont gobé un énorme mensonge, et ça… ça pique plus qu’une dose d’AstraZeneca.

Alors ils préfèrent te mettre dans une boîte étiquetée "dérive mentale", entre les platistes et les gens qui parlent à leur ficus.
C’est pratique. C’est propre. Ça évite de réfléchir.

Sauf que dans ce joyeux foutoir, les plus gros complots… c’étaient les officiels :
🔹 Le vaccin protège de la transmission. Faux.
🔹 Le pass sanitaire n’est pas une obligation déguisée. LOL.
🔹 Le masque à l’extérieur est utile. À part pour faire cuire ton nez en été ? Non.
🔹 Tous les experts sont indépendants. Surtout ceux sponsorisés par Pfizer sur leur fiche LinkedIn.

Et toi, t’as juste osé dire que ça sentait l’arnaque, avec des arguments, des sources, des chiffres.
Mais tu sais quoi ? La vérité rationnelle n’a plus de place dans ce monde.
Ce monde préfère l’indignation pavlovienne :
"Ah, il a dit quelque chose que je ne comprends pas ! Il est bizarre ! C’est un… un… un… Ah oui, complotiste !"

Et là, fin du game. Tu peux plus rien dire. Même si tu ramènes l’étude du CDC, le rapport de l’INSERM, ou un pigeon témoin qui a tout vu,
on t’a déjà cloué au mur des hérétiques.

Aujourd’hui, complotiste = personne qui pense encore avec son cerveau.
Et ça, c’est devenu dangereux.

Tu veux survivre dans cette société ?
Fais semblant d’être con.
Accepte tout.
Et surtout :
Ne remets jamais en question ceux qui te disent que c’est pour ton bien.
Car le doute, désormais,
est classé substance illicite.

9. Le business du chaos : peur + pub = jackpot

Tu croyais qu’ils avaient confiné la planète pour sauver Mamie ?
T’es mignon.
Ils l’ont confinée pour sauver les dividendes.

La pandémie, c’est pas un drame sanitaire. C’est un modèle économique.
Une bénédiction pour tout un tas de gens qui avaient deux passions dans la vie :
1. Le contrôle.
2. Le cash.

Et mon Dieu, que le Covid leur a fait plaisir.

D’un côté, t’avais les entreprises pharmaceutiques. Des types qui, avant 2020, faisaient déjà des milliards en vendant des pilules pour le cholestérol à des types qui bouffaient 8 cheeseburgers par semaine.
Mais là, BOOM :
💉 Vaccins à ARNm expérimentaux, produits en masse, vendus à des États paniqués,
💉 Contrats confidentiels,
💉 Aucune responsabilité légale,
💉 Et des rappels tous les 4 mois pour maintenir la clientèle.

C’est pas un business, c’est Netflix sous stéroïdes.

Et à côté de ça, t’avais les marchands de peur.
Médias, experts bidons, influenceurs de panique :
Tout le monde a trouvé sa place dans le nouveau marché du chaos.
Tu balances des chiffres alarmants, tu fais grimper l’audience, tu vends de la pub pour du gel hydroalcoolique et des mutuelles santé.

Résultat ?
Le virus tue, mais le fric coule à flots.

Et toi, pendant ce temps ?
Tu fais la queue pour une piqûre, t’achètes des masques FFP10000, tu payes un test PCR tous les trois jours pour avoir le droit d’acheter du papier toilette au Monoprix.

Ils ont réussi à monétiser la peur, à l’abonnement.
Un abonnement émotionnel :
"Tu veux vivre normalement ? Paye avec ton corps, ton QR code, ta docilité."

Et le pire ?
Même les États y ont trouvé leur compte.
Ils ont pu tester en grandeur nature des trucs qui auraient été impensables avant :
☑️ Confinement global.
☑️ Suivi numérique massif.
☑️ Discrimination sanitaire validée socialement.
☑️ Suspension des droits fondamentaux… avec l’accord du public !

On a troqué nos libertés contre des lingettes désinfectantes et des messages rassurants de McDonald’s sur "la solidarité vaccinale".

Alors non, ce n’était pas une crise.
C’était un marché florissant.
Et pendant que tu désinfectais ta boîte de thon, eux désinfectaient leur yacht à Dubaï.

10. Post-Covid : penser est un acte de résistance

Voilà. On y est.
Le pic épidémique est passé. Les courbes sont redescendues. Les plateaux télé se sont vidés (sauf de conneries). Les masques traînent par terre comme les souvenirs d’une époque où l’intelligence était une activité illégale.

Mais maintenant, on fait quoi ?
On oublie ?
On fait comme si de rien n’était ?
On se dit que tout ça était "nécessaire" parce que “le contexte était exceptionnel” ?

Non.
Maintenant, il faut penser.

Et attention, je parle pas de penser façon BFM ou “influenceur santé positive sur Insta avec des chakras alignés”.
Je parle de penser vraiment.
Penser avec ses tripes, son esprit, sa mémoire.
Penser même si ça dérange, même si c’est inconfortable, même si ça fout en l’air ce qu’on croyait savoir.

Parce que penser, aujourd’hui, c’est devenu un acte révolutionnaire.

Si tu réfléchis, tu t’opposes.
Si tu questionnes, tu t’isoles.
Si tu refuses de gober, t’es un virus.

Le Covid a ouvert une nouvelle ère :
celle où on traite la pensée comme une maladie.
Le doute est dangereux.
L’esprit critique est contagieux.
Et le courage intellectuel est un acte d’insoumission.

Mais c’est précisément ce qu’il faut : désobéir.
Désobéir à la peur, à la facilité, au prêt-à-penser.
Désobéir aux injonctions à croire, à plier, à suivre la ligne.
Désobéir avec élégance, insolence, et surtout… avec joie.

Parce qu’on t’a enfermé chez toi, mais tu restes libre dans ta tête.
Parce qu’on t’a piqué le bras, mais on ne te piquera pas ton esprit.
Parce qu’on t’a demandé de fermer ta gueule, mais tu peux encore ouvrir ta gueule pour les autres.

Alors voilà. Le Covid, ce n’était pas juste un virus.
C’était un test.
Et pas un test PCR.

C’était un test de lucidité.
Et maintenant, il est l’heure de voir :
qui a survécu avec sa pensée intacte ?
Qui a encore envie de comprendre, de critiquer, de résister ?

Si tu lis ces lignes, t’en fais sûrement partie.
Et c’est une bonne nouvelle.
Parce qu’on aura besoin de toi pour la suite.

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