1. C8, NRJ 12 : La fin programmée d’une télévision insoumise ?
"Oh non, quelle tristesse, on va perdre NRJ 12 et C8… mais comment allons-nous survivre sans nos épisodes de ‘Les Anges’ et ‘Touche Pas à Mon Poste’ ?"
Bon, on va être sérieux deux minutes. Officiellement, l’ARCOM a décidé de supprimer ces chaînes pour cause de dérapages, de non-respect du pluralisme et de manque de diversité. Voilà. Fin de l’histoire. Rangez les mouchoirs.
Sauf que, bizarrement, ces “graves manquements” n’ont posé problème que pour deux chaînes en particulier. Pas pour celles où des éditorialistes passent leur temps à nous expliquer que si vous ne mangez pas bio, c’est que vous n’avez rien compris à la vie. Pas pour celles où on vous diffuse des talk-shows politiques dans lesquels tout le monde est d’accord sur tout (c’est pratique, ça évite les disputes).
Non, c’est C8 et NRJ 12 qui ont été mises sur la sellette. Pourquoi elles ? Certainement pas parce qu’elles avaient trop d’audience et qu’elles échappaient au contrôle du gouvernement. Non, non, c’est simplement que leurs programmes étaient “problématiques”.
C8, c’était la chaîne de trop. Trop libre. Trop incontrôlable. Trop regardée par des gens qui ne lisent pas Le Monde Diplomatique en dégustant un café équitable. C’était une chaîne qui parlait aux classes populaires, qui ne mâchait pas ses mots, et où les sujets de débat n’étaient pas filtrés par l’élite médiatique bien-pensante.
Et c’est précisément ça le problème. Une télé insoumise, c’est une télé en sursis.
Alors bon, si vous pensiez que la télé française servait encore à quelque chose d’autre qu’à conforter l’entre-soi des élites, il est temps de vous réveiller. C8 et NRJ 12 viennent de se prendre un missile en pleine face, et on est censés croire que c’est uniquement une affaire de réglementation ?
Mouais. À d’autres.
2. L’affaire Hanouna : Un homme devenu une menace politique
Cyril Hanouna, c’était un simple animateur. Un gars qui envoyait des chroniqueurs faire des défis débiles, qui offrait des scooters aux téléspectateurs, et qui se marrait avec des invités improbables. Jusqu’au jour où il a oublié une règle essentielle en France : ne jamais, JAMAIS mordre la main qui nourrit le système médiatique.
Le problème, ce n’est pas qu’Hanouna ait dérapé. Parce que si on devait virer toutes les chaînes où les animateurs ont eu des propos douteux, alors il ne resterait plus grand-chose à regarder. Le problème, c’est qu’Hanouna a pris trop de place.
- Il a ramené la politique en prime-time sur une chaîne populaire.
- Il a invité des figures que personne ne voulait entendre ailleurs.
- Il a donné la parole aux "invisibles", ces Français qui ne se reconnaissent plus dans les médias traditionnels.
Et surtout, il a fait exploser le plafond de verre du politiquement correct. Ce qui, en France, est plus dangereux que de traverser l’autoroute en trottinette.
Puis, il y a eu son amitié avec Jordan Bardella. Ahhh, ça, c’était la goutte d’eau ! Un animateur avec des millions de téléspectateurs, ami avec le patron du RN ? Impossible. Un crime de lèse-majesté médiatique.
Résultat : Hanouna est passé de simple amuseur public à "danger pour la démocratie". C’est marrant, en 2015, quand il faisait le pitre avec des nouilles dans le slip, il ne posait de problème à personne. Mais dès qu’il a commencé à parler de sujets qui fâchent, à dénoncer certaines hypocrisies, là, bizarrement, on a commencé à compter ses fautes, ses amendes, ses “dérapages”... et à préparer l’échafaud.
Et comme par hasard, juste avant l’élection présidentielle de 2027, paf ! C8 dégage de la TNT. Officiellement, ce n’est pas politique. Mais si vous croyez encore aux coïncidences, c’est que vous collectionnez les abonnements à Picsou Magazine.
On ne supprime pas Hanouna pour ses blagues douteuses. On le supprime parce qu’il est devenu un contre-pouvoir médiatique incontrôlable.
Et ça, en France, c’est pas toléré.
3. Vincent Bolloré, le milliardaire qui dérange les élites
Ah, Vincent Bolloré. Le méchant de l’histoire. Le grand capitaliste ultra-conservateur qui tient les médias français en otage. C’est du moins la version officielle, celle qu’on entend partout.
Sauf que… si Bolloré dérange autant, ce n’est pas pour ses millions d’euros ni pour son empire médiatique. Après tout, on n’a jamais vu de campagnes acharnées contre les propriétaires de TF1, de France Télévisions ou de BFMTV. Non, le problème de Bolloré, c’est qu’il ne joue pas selon les règles du club.
- Il a racheté des médias pour en faire des bastions d’opposition au progressisme dominant.
- Il a transformé CNews en chaîne d’info alternative, face à des BFM et LCI clones l’un de l’autre.
- Il a permis à C8 d’exister en dehors des carcans idéologiques habituels.
Et ça, c’est impardonnable. Parce que si tu es milliardaire en France, tu as le droit de posséder des médias… mais seulement si tu répètes la bonne parole.
Bolloré, lui, a fait un truc impensable : il a donné de l’espace médiatique aux idées conservatrices, aux souverainistes, aux anti-wokistes, aux figures du RN et même à des penseurs "non-alignés".
Alors forcément, il fallait l’arrêter. Et comme on ne peut pas directement lui interdire d’être propriétaire, on a préféré détruire ses jouets.
C’est pratique, en fait, la régulation de l’audiovisuel :
- On ne peut pas forcer Bolloré à vendre ? → On fait disparaître ses chaînes.
- On ne peut pas museler Hanouna ? → On le dégage de la TNT.
- On ne peut pas attaquer CNews frontalement ? → On attend la prochaine vague de réformes pour lui tomber dessus.
Mais attention, tout ça, ce n’est pas de la censure. Non, non, c’est juste "le respect des règles". Vous savez, comme ces règles qui s’appliquent à certains mais pas à d’autres.
Bolloré a compris trop tard que la télé française, c’est comme une partie de Monopoly truquée : dès que tu commences à acheter trop d’hôtels, on te retire le plateau.
4. L’ARCOM et le Conseil d’État : Justice ou bras armé du pouvoir ?
Alors, mesdames et messieurs, voici venir nos arbitres impartiaux, neutres, indépendants et totalement incorruptibles : l’ARCOM et le Conseil d’État.
C’est eux qui ont sifflé la fin de la partie pour C8 et NRJ 12, en nous expliquant, avec un sérieux inébranlable, que tout ceci n’avait absolument rien de politique. Non, non, non. C’est juste la loi. La réglementation. Les règles. Des "manquements graves", des "dérapages", un "manque de pluralisme".
Ah bon ?
Parce que si on parle de manquements graves, il faudrait peut-être jeter un œil à certaines chaînes publiques qui recyclent des experts maison à longueur de journée, sans aucune contradiction. Mais non, là, pas de problème.
Si on parle de dérapages, on peut évoquer les débats hystériques sur les chaînes "sérieuses", où certains invités se font insulter, couper la parole, humilier en direct. Mais là, ça va, c’est du journalisme.
Et si on parle de manque de pluralisme, on peut se demander pourquoi toutes les chaînes françaises disent exactement la même chose sur 90% des sujets.
Mais C8 ? Ah non. Trop dangereux. Il fallait purifier la TNT de ce poison audiovisuel.
Le plus drôle dans cette histoire, c’est que les neuf "sages" de l’ARCOM sont tous nommés par des responsables politiques :
- Le président de la République nomme le boss.
- Le Sénat et l’Assemblée nationale placent leurs pions.
- Le Conseil d’État et la Cour de cassation mettent leur touche finale.
Bref, c’est comme si l’arbitre d’un match de foot était le cousin du capitaine de l’équipe gagnante. Mais non, on nous jure que tout est fait en toute indépendance.
Et quand le Conseil d’État valide la sentence, c’est encore plus beau. Parce qu’on est censés croire que ces grands magistrats ont statué sur du droit, et pas sur du politique.
Mais bon, si vous êtes naïfs à ce point, je peux aussi vous vendre la tour Eiffel en kit sur Vinted.
5. Une méthode bien rodée : Comment neutraliser une chaîne dissidente ?
Ah, la France… ce pays des Droits de l’Homme et de la Liberté d’Expression… sauf quand ça dérange. Parce que ne nous mentons pas : ce qui arrive à C8 et NRJ 12, ce n’est pas une première.
Quand un média ne plaît pas, on ne l’interdit pas directement. Ce serait trop brutal, trop visible, trop… dictatorial. Non, on procède en finesse, avec une méthode bien huilée qui a déjà fait ses preuves.
Phase 1 : On décrédibilise
D’abord, il faut rendre la cible infréquentable. C8 et Hanouna ? Des clowns vulgaires ! RT France ? De la propagande russe ! Sud Radio ? Un repaire de complotistes !
On ne débat même pas de leurs idées. On les disqualifie.
Phase 2 : On sanctionne
Une fois que l’image est bien pourrie, on passe aux amendes. C8, c’est 7,6 millions d’euros de sanctions en quelques années. Pour comparaison, France Télévisions peut inviter tranquillement des membres du gouvernement en pleine campagne électorale sans risquer un centime.
Phase 3 : On coupe l’oxygène
Là, on entre dans le sérieux. On ne leur renouvelle pas leur fréquence. Mais attention, on ne dit pas "On vous censure", on dit "Vous ne répondez plus aux critères de la TNT."
Et voilà, C8 et NRJ 12 disparaissent. Problème réglé. D’un coup, c’est comme si elles n’avaient jamais existé.
Le précédent La Cinq : déjà vu, déjà censuré
On a déjà fait le coup en 1992 avec La Cinq, la première chaîne privée française, qui cartonnait mais qui avait le malheur de ne pas être dans les petits papiers du pouvoir. Résultat ? Faillite forcée, chaîne liquidée, tout le monde au chômage.
Jean-Claude Bourret, qui bossait là-bas, a tout vu. Il l’a raconté : "Quand une chaîne n’est pas du goût des élites, ils lui coupent les vivres et la laissent mourir." Exactement comme aujourd’hui avec C8.
RT France, l’autre victime
Et si vous pensiez que la France ne censurait pas, rappelez-vous de RT France, la chaîne d’info financée par la Russie. Peu importe qu’elle soit suivie par des millions de Français : elle a été purement et simplement interdite d’antenne.
Parce que bien sûr, la France ne supporte pas la propagande étrangère… sauf quand c’est celle de CNN ou de la BBC.
Bref, ce qui arrive à C8 n’est qu’un nouvel épisode de la grande série "Les Médias Indépendants qui Disparaissent Mystérieusement".
6. Une télé à pensée unique : Vers la fin du pluralisme médiatique ?
Ne soyons pas naïfs : on n’a pas supprimé C8, on a supprimé une des dernières chaînes où l’opposition avait encore un espace d’expression.
Parce que soyons honnêtes, qui va remplacer C8 et NRJ 12 sur la TNT ? Ah ben tiens, LCP/Public Sénat et Gulli ! Voilà, problème réglé.
Vous avez envie d’un débat politique musclé ? Regardez une rediffusion d’une commission parlementaire sur LCP. Vous voulez du divertissement ? Apprenez l’alphabet avec les dessins animés de Gulli.
Mais surtout, ne réfléchissez pas trop.
France Télévisions et les “commandes éditoriales”
On nous parle de dérapages, de manque de pluralisme, mais pendant ce temps, France Télévisions peut tranquillement glisser des émissions "anti-complotistes" en plein prime-time.
Vous savez, ces fameuses émissions où on vous explique que tout ce qui sort du discours officiel est dangereux et doit être combattu.
Mais attention, ce n’est pas de la propagande, c’est de l’éducation citoyenne !
CNews, Sud Radio, Hanouna : les prochains sur la liste ?
C8 est tombée. Qui est le prochain ?
- CNews ? Trop de débats contradictoires, trop d’éditorialistes qui ne mâchent pas leurs mots.
- Sud Radio ? Trop de liberté de ton, trop d’invités qu’on ne voit nulle part ailleurs.
- Hanouna lui-même ? Peu importe où il rebondira, il est devenu l’homme à abattre.
Vers un paysage audiovisuel ultra-consensuel ?
Petit à petit, on arrive à un modèle où toutes les chaînes diffusent exactement la même chose.
Des talk-shows où tout le monde est d’accord. Des journaux télévisés qui traitent les mêmes sujets, avec le même angle. Des débats où on se congratule entre gens bien-pensants.
Et vous, cher téléspectateur, vous serez ravi d’avoir le choix entre une pensée unique… et la même pensée unique.
Bienvenue dans le nouveau paysage audiovisuel français !
7. Le silence complice des autres médias
Ah, qu’ils sont beaux, ces grands défenseurs de la liberté d’expression… quand ça les concerne.
Depuis l’annonce de la suppression de C8 et NRJ 12, c’est le calme plat dans le reste du PAF (Paysage Audiovisuel Français). Pas de grands éditos indignés, pas de journalistes en larmes sur les plateaux, pas de tribunes dans Le Monde pour défendre la pluralité.
Non. Juste un grand silence gêné.
TF1, M6, France Télévisions : les concurrents qui se frottent les mains
Bah oui, pourquoi s’indigner ? La disparition de C8, c’est du pain béni pour eux.
- TF1 et M6 récupèrent du public (et surtout des annonceurs).
- France Télévisions n’a plus de concurrent "populaire" sur la TNT.
- Les grandes chaînes généralistes reprennent le contrôle des débats.
Tout le monde se frotte les mains, mais personne n’ose l’avouer.
Le monde du spectacle ? Absent.
Où sont les artistes ? Les humoristes ? Les défenseurs de la diversité d’opinion ?
Ah oui, c’est vrai… ils ne vont quand même pas risquer de fâcher les bonnes personnes.
Parce que quand il s’agissait de défendre les journalistes de Charlie Hebdo ou de lutter contre la censure de médias étrangers, tout le monde était là. Mais pour une chaîne qui dérange un peu trop le pouvoir en place… rien.
Pas de hashtag #JeSuisC8, pas de mobilisation, pas de protestation. Juste un grand "circulez, y a rien à voir."
Arthur, le seul soutien surprise d’Hanouna
L’ironie dans tout ça ? Le seul à avoir pris la parole pour défendre Hanouna… c’est Arthur.
Oui, Arthur. Son rival de toujours. Son ennemi juré.
Et qu’a-t-il dit ? Que quoi qu’on pense d’Hanouna, le faire disparaître de la TNT, c’est un “formidable gâchis” et une “catastrophe pour le pluralisme”.
Même lui a compris l’enjeu. Mais apparemment, ce n’est pas le cas des autres "défenseurs de la démocratie".
8. Quel avenir pour Hanouna et le paysage audiovisuel français ? (Mise à jour avec les dernières révélations)
Bon, alors… C8, c’est fini. La TNT, c’est terminé. Mais est-ce que ça signifie la fin de Cyril Hanouna ?
Ah, si seulement ! C’est ce qu’espéraient tous ceux qui le détestent. Mais non, mauvaise nouvelle pour eux : il va rebondir. Et pas n’importe comment…
Hanouna sur W9 ou Fun Radio ?
Déjà, des rumeurs circulent sur un deal avec M6.
- Peut-être une émission sur W9 ?
- Peut-être une arrivée en radio sur Fun Radio ?
- Peut-être un format hybride entre télé et web ?
En tout cas, Cyril ne va pas aller élever des chèvres dans le Larzac.
Internet, Twitch, YouTube : la nouvelle télé des dissidents ?
Mais le vrai danger pour ceux qui l’ont fait tomber, c’est qu’au fond… Hanouna n’a plus besoin de la TNT.
Aujourd’hui, tout le monde regarde du contenu en ligne. Twitch, YouTube, plateformes alternatives…
Et là, plus d’ARCOM, plus de CSA, plus de Conseil d’État pour décider qui a le droit de parler.
D’ailleurs, regardez Éric Zemmour. Viré de CNews ? Il a créé sa propre chaîne sur YouTube. Et il continue à faire des millions de vues.
Si Hanouna se lance en indépendant sur Internet… ils ne pourront plus jamais le censurer.
Fin de "Touche pas à mon poste" et ambitions politiques
Oui, vous avez bien lu. Hanouna en politique.
Le 28 février 2025, "Touche pas à mon poste" s’arrête définitivement. Et là, plutôt que de sombrer dans l’oubli, Hanouna aurait commencé à sérieusement envisager une candidature présidentielle.
Marianne rapporte que des proches lui soufflent l’idée, et lui-même ne cherche même plus à démentir franchement. Il entretient le flou avec son style habituel :
"Pour l’instant, la seule élection à laquelle je vais me présenter, c’est Mister France."
Haha, très drôle. Mais on connaît le bonhomme : il plaisante toujours avant de balancer une bombe.
Après tout, on a bien vu un comédien diriger l’Ukraine, un homme d’affaires devenir président des États-Unis, et un footballeur briguer un poste de maire. Alors pourquoi pas Hanouna en candidat des classes populaires en 2027 ?
Rencontre avec Donald Trump et Elon Musk : du rêve à la réalité ?
Alors là, on monte encore d’un cran dans la surenchère.
Le 17 février 2025, Hanouna annonce en direct dans TPMP qu’il va assister à une soirée privée de Donald Trump à Mar-a-Lago, en Floride.
- Il affirme qu’il va y rencontrer Trump et Elon Musk.
- Il raconte avoir eu des échanges nocturnes avec les conseillers de Trump.
- Il promet des scoops à son retour.
Sauf que… personne n’a jamais vraiment confirmé que cette rencontre a eu lieu.
Aucune photo, aucune vidéo, aucun communiqué officiel. Alors, fake news ? Buzz ? Véritable rendez-vous ultra-secret ?
Une chose est sûre : Hanouna sait garder le suspense et maîtriser l’art du storytelling.
Et la colère populaire dans tout ça ?
Parce que oui, ils peuvent supprimer une chaîne, mais ils ne peuvent pas effacer son public.
Les 3 % de part d’audience de C8, c’est plusieurs millions de Français qui regardaient la chaîne chaque jour. Des gens qui ne vont pas disparaître du jour au lendemain.
Alors quoi ? Ils vont retourner sur TF1 écouter Gilles Bouleau leur expliquer la vie ?
Non. Ils vont se retrouver ailleurs. Et cette colère, elle finira bien par s’exprimer quelque part.
Peut-être dans les urnes.
Peut-être dans la rue.
Peut-être dans une nouvelle chaîne indépendante qui explosera tout.
Mais une chose est sûre : on n’éteint pas une voix aussi facilement qu’une fréquence TNT.
Épilogue : C8 supprimée, la démocratie en danger ?
Ils pensent avoir gagné. Ils pensent qu’en supprimant une chaîne, ils ont fait disparaître le problème.
Mais l’Histoire a prouvé que censurer une voix ne fait que la rendre plus forte.
C8 n’est plus là, mais le combat pour une vraie liberté médiatique ne fait que commencer.
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