Meurtres évitables : Quand l’État préfère protéger les criminels plutôt que les victimes

1 – Nous avons fabriqué nos propres monstres

Il y a des crimes qui font la une, et d’autres qui passent sous les radars. Mais il y a surtout une constante effrayante : on les voit venir, et on ne fait rien.

Owen L., 23 ans, vient de poignarder une gamine de 11 ans. Pourquoi ? Parce qu’il était énervé. Parce qu’il voulait un téléphone. Parce qu’il a grandi dans un monde où la frustration se règle dans la violence, où l’échec est insupportable, où l’instantanéité est une norme.

Comme si ça suffisait pour expliquer.

Comme si c’était une excuse valable.

Owen n’est pas un cas isolé. Avant lui, il y a eu Nordahl Lelandais, Jonathann Daval, Taha O., et bien d’autres. Tous issus d’un système qui les a laissés se construire sans limites, sans repères, et surtout sans conséquences.

On peut hurler à l’injustice, pleurer les victimes, faire des marches blanches en leur mémoire. Mais la vérité, c’est que ces monstres ne sont pas tombés du ciel.

On les a laissés devenir ce qu’ils sont.

Et aujourd’hui, ils tuent.

2 – La frustration : nouveau moteur du crime ?

Il fut un temps où l'on tuait pour de l’argent, pour une vengeance, pour des raisons passionnelles. Aujourd’hui, on tue pour une contrariété.

  • Owen L. massacre une fillette parce qu’il voulait son téléphone.
  • Jonathann Daval étrangle sa femme parce qu’elle voulait le quitter.
  • Taha O. poignarde Philippine parce qu’elle a osé résister.

Ce ne sont plus des crimes organisés. Ce sont des caprices qui finissent dans un bain de sang.

Comment avons-nous fabriqué une génération d’explosifs humains, prêts à tuer au moindre obstacle ?


Le problème : une société qui ne tolère plus l’échec

Ces meurtriers sont le produit d’un monde qui n’apprend plus à gérer la frustration.

➡️ On leur a inculqué que tout devait être immédiat.
➡️ On leur a dit que la moindre contrariété était une injustice.
➡️ On leur a répété que tout était la faute des autres.

Un échec ? C’est la faute du système.
Un refus ? C’est une agression.
Un "non" ? C’est une déclaration de guerre.

Et quand on leur a supprimé la frustration, on leur a aussi supprimé la capacité à se contenir.


La violence, réponse automatique

Trop de jeunes n’ont jamais appris à encaisser une défaite, à gérer un refus, à différer une récompense.
Dans leur tête, il n’y a que deux options :

  1. Obtenir ce qu’ils veulent immédiatement
  2. Détruire ce qui les en empêche

C’est comme ça qu’un type comme Owen L. passe de “je suis énervé” à “je tue une gamine” en un claquement de doigts.

Parce que rien ne lui a appris qu’il existe une autre option.

Parce qu’on a laissé toute une génération croire que la violence était une solution normale.

3 – Une société qui déresponsabilise les criminels

À chaque nouveau drame, on entend toujours le même refrain.

🔹 “Ce n’est pas un monstre, c’est une victime du système.”
🔹 “Il faut comprendre son parcours, il n’a pas eu de chance dans la vie.”
🔹 “Il n’a pas mesuré la gravité de son acte.”

Stop.

À quel moment on va dire la vérité ? À quel moment on va cesser de leur trouver des excuses ?

Owen L. a poignardé une gamine. Il n’a pas “commis une erreur”, il n’a pas eu un “moment d’égarement”.
Taha O. a assassiné une étudiante après un viol. Ce n’est pas un “accident”, ce n’est pas une “dérive”.
Lelandais, Daval, tous ces types savaient ce qu’ils faisaient.

Mais dans cette société, on leur tend encore la main. On cherche à comprendre plutôt qu’à condamner.


La culture de l’excuse

➡️ Il a grandi dans un environnement difficile.
➡️ Il était sous l’emprise de la colère.
➡️ Il était influencé par les jeux vidéo, les réseaux sociaux, le mauvais œil…

Et alors ?

En quoi ça excuse quoi que ce soit ?

Là où on aurait dû leur apprendre la responsabilité, on leur a donné un totem d’impunité.

📌 T’as grandi dans un quartier difficile ? Pas grave, t’es excusé.
📌 T’as pas eu de père ? Ah bah forcément, on comprend.
📌 T’as eu des échecs dans la vie ? Bon, alors ça explique ton meurtre.

Non. Rien n’explique un meurtre. Rien n’excuse un crime.


Les vraies victimes sont six pieds sous terre

À force de vouloir comprendre ces assassins, on oublie ceux qu’ils ont détruits.

💀 Louise, 11 ans, n’aura plus jamais droit à une explication.
💀 Philippine, 19 ans, n’aura pas de deuxième chance.
💀 Maëlys, 8 ans, ne pourra pas être réinsérée dans la société.

À quel moment on va protéger les victimes plutôt que leurs bourreaux ?

À quel moment la justice va comprendre que son rôle n’est pas de sauver les criminels, mais de sauver ceux qui ne doivent pas mourir ?

4 – Le gouvernement complice : Hollande, Macron, et le laxisme judiciaire

Chaque fois qu’un crime atroce secoue le pays, les politiques montent au créneau. Ils promettent des mesures fermes, des changements radicaux, des “plus jamais ça”.

Et puis ? Rien.

Pas de sanctions exemplaires.
Pas d’expulsions immédiates pour les délinquants étrangers.
Pas d’incarcération systématique pour les profils dangereux.

Pourquoi ? Parce qu’ils ont fait de la douceur judiciaire une idéologie.


Christiane Taubira et la destruction des peines plancher

Quand la gauche est au pouvoir, elle pense que punir, c’est stigmatiser. Sous François Hollande, la ministre de la Justice Christiane Taubira a mené un combat acharné contre la prison.

➡️ Elle a supprimé les peines plancher, qui empêchaient les multirécidivistes d’être condamnés à des peines légères.
➡️ Elle a promu les alternatives à l’incarcération, avec des aménagements de peine systématiques.
➡️ Elle a réduit les possibilités de prison ferme pour les jeunes délinquants.

Résultat ? Des criminels arrêtés 10, 20, 30 fois… toujours dehors.

C’était une question de temps avant qu’ils ne commettent l’irréparable.


Éric Dupond-Moretti, l’avocat des voyous devenu ministre

Et sous Macron ? C’est encore pire.

Le choix de nommer Dupond-Moretti à la Justice a envoyé un message clair : protéger les accusés plutôt que les victimes.

✔️ Il a diminué les peines de prison ferme pour les condamnés à moins de six mois.
✔️ Il a accéléré les aménagements de peine pour éviter l’engorgement des prisons.
✔️ Il a fait des discours sur la “justice humaniste”, où enfermer un criminel devient un “échec collectif”.

Mais l’échec collectif, c’est pas la prison.

C’est ces gamines assassinées.

C’est Owen L. qui n’a jamais été inquiété avant de tuer.
C’est Taha O. qui n’a jamais été expulsé après son premier crime.
C’est Lelandais qu’on a laissé en roue libre jusqu’au meurtre de Maëlys.


Le gouvernement sait. Et il ne fait rien.

Hollande, Macron, Taubira, Dupond-Moretti : ils ont tous eu des milliers d’occasions d’empêcher ces drames.
Ils ont choisi d’ouvrir les vannes plutôt que de verrouiller la menace.

Et demain, ce sera qui ?

Combien de vies innocentes faudra-t-il pour qu’ils arrêtent de penser aux “droits des détenus” et commencent à penser aux droits des victimes ?

5 – Le scandale des "on savait"

À chaque fois, c’est le même scénario. Après un crime, on découvre que tout le monde savait.

➡️ "Il était connu des services de police."
➡️ "Il avait déjà été condamné pour des délits similaires."
➡️ "Il aurait dû être expulsé."
➡️ "Il était fiché comme dangereux."

Et pourtant, il était dehors.


Owen L. : l’errance d’un criminel en gestation

Quand on fouille un peu, on découvre qu’Owen L. n’était pas un inconnu.
👉 Il était déjà impliqué dans des affaires de délinquance.
👉 Il traînait dans la rue, sans but, sans contrôle.
👉 Il avait déjà eu des problèmes avec la police.

Mais rien n’a été fait. Parce qu’en France, tant que tu n’as pas tué, tu n’es pas un danger.

Il a fallu qu’il massacre une gamine de 11 ans pour que tout le monde se réveille.


Taha O. : un violeur en liberté… jusqu’au meurtre

  • En 2021, il viole une femme.
  • Il est condamné.
  • Il est sous OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français).
  • Il reste en France.
  • En 2024, il tue Philippine.

Tout était prévisible. Tout était évitable.

Et pourtant, on l’a laissé là, en attendant qu’il fasse pire.


Le schéma est toujours le même

🔴 Nordahl Lelandais : soupçonné avant Maëlys. Personne n’a bougé.
🔴 Jonathann Daval : menteur pathologique, manipulateur, violent en privé. Mais jamais inquiété avant qu’il ne tue.
🔴 Les meurtriers de Thomas : certains avaient déjà des antécédents.
🔴 Owen L. : errance, violences mineures… mais libre comme l’air.

Combien d’autres sont en liberté en ce moment même, en attendant leur passage à l’acte ?

Et combien de fois allons-nous entendre :
"On savait, mais on n’a rien fait."

Avant qu’on se décide à faire quelque chose ?

6 – Conclusion : Reprendre le contrôle ou continuer à creuser notre propre tombe ?

À ce stade, le problème n’est même plus la criminalité.
Le vrai problème, c’est qu’on la tolère.

🔴 On relâche des criminels au lieu de les neutraliser.
🔴 On pleurniche sur leur parcours au lieu de protéger les innocents.
🔴 On laisse la justice devenir une machine à minimiser, à relativiser, à excuser.

Et le pire ? Tout cela est un choix.


Les solutions sont connues. Elles ne sont juste pas appliquées.

✔️ Surveiller et neutraliser les profils dangereux avant qu’ils passent à l’acte.
✔️ Rétablir des peines réelles et efficaces.
✔️ Expulser immédiatement les délinquants étrangers sans débat inutile.
✔️ Arrêter de relâcher des monstres dans la nature en espérant qu’ils deviennent gentils.

On sait exactement comment éviter les prochains meurtres.
Mais on ne fait rien.

Et tant qu’on ne fera rien, le prochain Owen, le prochain Taha, le prochain Lelandais est déjà dehors.
Il attend juste son moment.


La seule question qui reste, c’est : qui sera la prochaine victime ?

Et est-ce qu’on va enfin décider d’arrêter ça avant qu’il ne soit trop tard.

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