Inspirations de cette vidéo de Fabrice Di Vizio
1. Pourquoi aimons-nous nous plaindre ?
Ah, la douce complainte. C'est un art, une tradition presque sacrée en France. Nous sommes un peuple de râleurs, et nous en sommes fiers. Nous nous plaignons du gouvernement, de la météo, des impôts, de la circulation, du prix du beurre, de la nouvelle réforme des retraites, du voisin qui fait trop de bruit… Tout y passe. Mais une question essentielle demeure : est-ce que cela change quelque chose ?
Le piège mental de la victimisation
Idriss Aberkane l’explique bien : la plainte est un mécanisme de défense. Elle donne une illusion de contrôle. En nous plaignant, nous avons l’impression d’agir, alors qu’en réalité, nous nous enfermons dans une passivité toxique. L’État l’a bien compris et encourage ce comportement. Pourquoi ? Parce qu’un peuple qui râle est un peuple qui ne bouge pas. Tant que vous vociférez sur Twitter ou que vous débattez bruyamment au café du coin, vous ne prenez pas le pouvoir. Vous vous donnez bonne conscience sans jamais remettre réellement en cause le système.
Le conditionnement par le système
Florian Philippot ne cesse de le répéter : le gouvernement pousse la population à la résignation. Les médias mainstream jouent un rôle clé en entretenant un climat de peur et de frustration permanent. L’objectif ? Nous tenir dans un état d’impuissance acquise. L’État se positionne alors comme le sauveur qui va régler nos problèmes… tout en nous maintenant dans la dépendance.
Prenons un exemple : la crise sanitaire. On nous a confinés, privés de libertés, forcés à obéir sous peine d’exclusion sociale. La majorité a grogné… mais a suivi. Pourquoi ? Parce que nous avons été dressés à attendre des solutions venues d’en haut, plutôt que de les créer nous-mêmes.
Se libérer du réflexe de la plainte
La première étape vers l’indépendance est de fermer sa gueule et d’agir. Oui, c’est brutal, mais nécessaire. Se plaindre ne sert à rien si cela ne débouche pas sur un plan d’action. La clé est de comprendre que personne ne viendra nous sauver. Ni un gouvernement providentiel, ni un parti "antisystème", ni une quelconque révolution Facebook.
Voulez-vous rester bloqués dans cette boucle de lamentations éternelles ? Ou voulez-vous commencer à construire un futur différent ? Si vous avez choisi la deuxième option, passons à l’étape suivante.
2. Les trois piliers d’une vraie résistance : Argent, Savoir, Parole
Si vous voulez sortir du jeu, il vous faut trois armes : l’argent, le savoir et la parole.
1. L’ARGENT : Indépendance financière ou esclavage moderne ?
Charles Gave le martèle : sans indépendance financière, vous êtes un esclave moderne. Tant que votre salaire dépend d’un système que vous critiquez, vous êtes pieds et poings liés. Tant que vous acceptez de payer des impôts faramineux pour financer votre propre oppression, vous êtes complice.
La vraie résistance commence par reprendre le contrôle de son argent. Cela signifie plusieurs choses :
- Réduire au maximum sa dépendance aux banques classiques.
- Investir dans des actifs tangibles : immobilier, or, cryptomonnaies.
- Créer des sources de revenus autonomes (business en ligne, indépendance professionnelle).
2. LE SAVOIR : Lutter contre la lobotomisation des masses
Idriss Aberkane explique que la guerre moderne est avant tout cognitive. Un peuple mal informé est un peuple manipulable. La majorité des Français sont intoxiqués par un système éducatif obsolète et des médias mensongers.
Que faire ? Se rééduquer soi-même. Lire, apprendre, développer ses propres analyses, ne jamais accepter une information sans la confronter à d’autres sources. Un cerveau bien formé est une arme redoutable.
3. LA PAROLE : Pourquoi elle est la cible numéro un du pouvoir
Philippe de Villiers insiste sur ce point : la parole est un pouvoir. C’est pourquoi les gouvernements modernes cherchent à la contrôler par la censure, l’autocensure et la diabolisation des voix dissidentes.
Les lois sur la "haine en ligne", les censures sur les réseaux sociaux, la diabolisation de certains discours… Tout cela vise à détruire l’opposition par le silence.
La solution ?
- Ne jamais avoir peur de dire la vérité.
- Créer ses propres médias.
- S’exprimer dans des sphères non contrôlées (plateformes indépendantes, médias alternatifs, rencontres physiques).
Avec ces trois piliers, vous devenez intouchable. Vous n’avez plus besoin du système. Et c’est là que la vraie résistance commence.
3. L’arnaque de la fausse contestation : Quand le système fabrique ses propres opposants
Avez-vous remarqué que les grandes figures de "l’opposition" finissent toujours par rentrer dans le rang ?
Florian Philippot nous met en garde : beaucoup d’opposants sont en réalité des éléments de contrôle du système. Leur rôle ? Canaliser la colère populaire pour éviter qu’elle ne devienne incontrôlable.
Mélenchon, Le Pen, Zemmour, Ruffin, NDA… Tous ont une utilité pour le pouvoir en place. Ils offrent l’illusion d’un choix. Mais au final, le système ne change jamais.
Pourquoi l’indignation calibrée ne sert à rien ?
Nicolas Dupont-Aignan explique que le théâtre politique fonctionne sur une alternance artificielle. Un coup la droite, un coup la gauche. Un coup les populistes, un coup les mondialistes. Mais jamais une vraie révolution.
Exemple parfait : le mouvement des Gilets Jaunes. Une révolte populaire massive… totalement neutralisée par le gouvernement et infiltrée par des éléments qui en ont vidé la substance. Résultat ? Rien n’a changé.
La seule opposition qui fonctionne : Sortir du jeu
La vraie dissidence ne passe pas par les urnes. Elle passe par le fait de reprendre le contrôle de sa vie en dehors du système.
Cela signifie :
- Construire ses propres réseaux économiques.
- Ne plus dépendre de l’État pour sa santé, son éducation, sa sécurité.
- Cesser de jouer selon les règles imposées par ceux qu’on critique.
Vous voulez une vraie révolution ? Arrêtez de demander à l’État de vous sauver.
4. L’Église : victime ou complice ?
La religion a toujours été un outil de contrôle. Mais aujourd’hui, le Vatican a franchi un cap.
Philippe de Villiers et François Asselineau dénoncent la soumission du pape François au mondialisme. Entre son soutien aux politiques immigrationnistes et son acceptation des nouvelles normes sanitaires, l’Église semble avoir abandonné son rôle spirituel.
Prenons l’exemple du Vatican Pass. Pourquoi l’Église a-t-elle instauré un système de traçage des fidèles ? Comment justifier une collecte de données massive sous couvert de sécurité ?
Nous sommes face à un paradoxe :
- L’Église prône la liberté, mais impose des restrictions dignes d’un État totalitaire.
- Elle prétend défendre les valeurs chrétiennes, mais se plie aux exigences du progressisme mondialiste.
Le Vatican n’est plus un bastion de résistance. Il est devenu un rouage du système.
5. Pourquoi la justice ne sera jamais juste (et ce n’est pas grave)
La justice est censée être le dernier rempart contre l’arbitraire. En théorie, elle protège les faibles, punit les puissants et garantit l’égalité devant la loi. En pratique ? C’est une farce.
L’organisation du pouvoir judiciaire : un verrouillage institutionnel
François Asselineau l’a dit et répété : en France, le pouvoir judiciaire n’est pas indépendant. Contrairement à ce que l’on croit, les juges ne sont pas des anges neutres, guidés par la seule lumière du droit. Ils sont nommés, promus et surveillés par des politiques.
Cela signifie quoi ? Que lorsque vous attaquez l’État, vous attaquez les patrons de ceux qui sont censés vous juger. Autant dire que vous avez plus de chances de voir un pangolin devenir président que de gagner un procès contre le gouvernement.
Témoignages modifiés, plaintes filtrées : la justice sous influence
Juan Branco l’a montré dans ses enquêtes : les dossiers les plus explosifs sont enterrés. Les plaintes contre des ministres, des PDG, des hauts fonctionnaires ? Classées sans suite.
Un exemple concret : la gestion du Covid. Jean-Dominique Michel, expert en santé publique, a dénoncé un crime d’État avec les décisions absurdes qui ont coûté des milliers de vies. Résultat ? Silence radio. Aucune enquête sérieuse. Aucune condamnation.
La justice n’est pas un rempart, c’est un outil de protection des élites.
Comment fonctionner dans un système judiciaire corrompu ?
Si vous croyez encore qu’un tribunal vous sauvera du totalitarisme moderne, vous vivez dans un conte de fées. La seule solution est d’apprendre à contourner la justice officielle :
- Systèmes d’arbitrage privé : régler les conflits en dehors des tribunaux.
- Réseaux d’entraide juridique : ne plus dépendre d’avocats liés au système.
- Attaquer en masse : une plainte seule ne fait rien, des milliers font peur.
La justice ne vous sauvera pas. C’est à vous d’être votre propre défense.
6. Sortir du jeu : La seule vraie révolte qui fonctionne
Vous voulez renverser le système ? Sortez du jeu.
Florian Philippot a raison : les manifestations, les pétitions, les discours indignés sur Twitter… c’est du vent. Le pouvoir s’en moque. Ce qui lui fait peur, c’est la désobéissance économique et sociale.
Le boycott, une arme sous-exploitée
Regardez ce que font les lobbys : ils menacent de couper les financements d’un média, et celui-ci change sa ligne éditoriale. Pourquoi ne faisons-nous pas pareil ? Pourquoi continuons-nous à financer notre propre oppression ?
- Stopper Netflix, Amazon, et toutes les plateformes qui nous méprisent.
- Refuser les banques traditionnelles.
- Éviter les supermarchés des multinationales.
- Sortir de la dépendance à l’État.
Un peuple qui contrôle son argent contrôle son destin.
Construire un monde parallèle viable
Xavier Moreau le dit : il ne faut pas attendre que le système s’effondre, il faut bâtir un autre en parallèle.
- Éducation alternative : écoles hors contrat, apprentissage direct.
- Médias indépendants : financer et créer des plateformes non censurées.
- Économie locale : circuits courts, artisans, monnaies locales.
Si 10% des Français décidaient demain de créer une société parallèle, l’État s’effondrerait en un an.
Vous voulez une révolution ? Commencez à agir, sans attendre l’autorisation de personne.
7. Créer une élite alternative : La nouvelle Renaissance
Philippe de Villiers le répète : le problème n’est pas que l’élite existe. Le problème, c’est qu’elle est pourrie.
La seule solution est de la remplacer.
Comment l’élite actuelle s’est imposée et comment la déloger
Charles Gave l’explique parfaitement :
- L’élite actuelle n’est pas basée sur le mérite, mais sur l’entre-soi.
- Elle utilise des outils (médias, universités, financements) pour verrouiller le pouvoir.
- Elle est totalement coupée du peuple.
Notre mission ? Construire une nouvelle élite méritocratique basée sur l’intelligence, le courage et l’indépendance.
Former les futurs leaders
Idriss Aberkane insiste sur un point : tout se joue dans l’éducation. Un peuple abruti est un peuple esclave. Un peuple cultivé est un peuple souverain.
La priorité est donc de former une génération d’élites alternatives, capables de reprendre le pouvoir dans tous les domaines :
- Économie : comprendre la finance pour ne plus être exploité.
- Médias : contrôler la narration pour ne plus être manipulé.
- Politique : réapprendre la souveraineté pour ne plus être trahi.
Si nous voulons changer le système, nous devons former ceux qui le remplaceront.
8. La révolution invisible : Ce qui est déjà en train de changer
Contrairement à ce que disent les médias, la résistance est déjà là.
Xavier Moreau et Jean-Dominique Michel observent un phénomène intéressant : une rupture discrète mais massive avec le système.
- Des milliers de Français quittent les villes pour retrouver l’autonomie rurale.
- L’éducation alternative explose avec l’essor des écoles indépendantes.
- Les médias alternatifs battent des records d’audience, prouvant la perte de confiance dans le système officiel.
Pourquoi la victoire se construit en silence
Charles Gave l’affirme : les grandes révolutions ne sont pas bruyantes, elles sont inéluctables.
Nous vivons la fin d’un cycle. L’ancien monde s’effondre sous son propre poids. Le nôtre est en train de naître.
9. La fin de la plainte, le début de l’action
Vous avez maintenant deux choix :
1. Continuer à vous plaindre en espérant qu’un politicien magique règlera tout pour vous.
2. Prendre le contrôle de votre vie et participer à la reconstruction.
Florian Philippot et François Asselineau insistent sur une chose : l’État ne vous sauvera pas. Il n’est pas votre ami. Il ne travaille pas pour vous.
Le seul moyen de survivre est de s’organiser.
- Rejoindre des réseaux d’entraide.
- Créer ses propres moyens de subsistance.
- Former une élite alternative.
Le monde appartient à ceux qui osent.
À vous de choisir votre camp.
Bonus : Fabrice Di Vizio, l’avocat qui voulait renverser la table
On ne pouvait pas terminer cet article sans parler de l’avocat qui dérange, qui agace, qui secoue : Fabrice Di Vizio.
Si vous ne le connaissez pas, c’est simple : imaginez un type qui entre sur un plateau télé et qui, en l’espace de cinq minutes, retourne la table, explose le politiquement correct et met tout le monde face à ses contradictions. Un électron libre, une tornade verbale, un homme qui ne fait aucune concession.
Pourquoi Di Vizio dérange autant ?
Parce qu’il dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.
Parce qu’il ne joue pas le jeu des faux débats où chacun doit rester dans son couloir bien balisé.
Parce qu’il refuse le langage lisse et anesthésiant du monde moderne.
Sur la gestion du Covid, il a été l’un des rares à attaquer l’État en justice, à dénoncer la corruption des élites médicales, à hurler contre les absurdités administratives imposées au peuple.
Et maintenant ? Il ne s’est pas arrêté. Il parle de justice aux ordres, de l’Église soumise au mondialisme, de la nécessité de rebâtir la France.
Un appel à rebâtir, pas à se lamenter
Ce que dit Di Vizio est simple :
➡️ Vous voulez vous plaindre encore vingt ans ou vous voulez prendre votre destin en main ?
➡️ Vous voulez un monde où les puissants font ce qu’ils veulent ou un monde où le peuple impose ses règles ?
➡️ Vous voulez être un pion ou un joueur ?
Il parle de reprendre le contrôle, de rebâtir, de ne plus attendre qu’un sauveur magique vienne régler nos problèmes.
En cela, il est totalement aligné avec la philosophie de cet article.
Le problème, ce n’est pas juste Macron, l’Union Européenne ou les élites mondialisées.
Le problème, c’est nous, qui continuons à subir sans agir.
Ce que propose Di Vizio ?
- Reprendre notre souveraineté intellectuelle et économique.
- Créer nos propres structures, nos propres réseaux.
- S’extraire du piège de la soumission consentie.
Un homme seul ne peut rien… mais une armée de résistants peut tout
Si on devait résumer son message en une phrase : « Il est temps d’arrêter de râler et de commencer à construire. »
C’est brut, c’est radical, mais c’est la seule voie qui mène à la liberté.
Alors, on se met au boulot ou on continue à se plaindre ? 🚀
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