Qui contrôle vraiment les institutions européennes ?
1. 1958 : naissance d’un golem bureaucratique… par des sorciers en cravate
Officiellement, l’Union Européenne est née des cendres de la guerre pour garantir la paix. Oui, comme un phoenix avec un attaché-case. En réalité, c’est un Frankenstein de traités cousus par Jean Monnet, piloté en douce par des fondations transatlantiques comme la Ford, mais sans les voitures. Le Traité de Rome ? Pas une alliance de peuples, une photocopie de rêve américain en format A4 européen. Derrière les signatures : ONG souriantes, fondations philanthropiques comme des chats qui ronronnent en t’attendant pour te sauter dessus. On ne demande pas qui a signé, mais qui a tendu le stylo.
Dès les débuts, le projet européen a adopté la finesse d’un pachyderme déguisé en ballerine : en apparence coopération, en coulisses un bulldozer de normes supranationales conduit par des gens que tu n’as jamais vus ni élus. C’était pas l’Europe des peuples, mais l’Europe des photocopieuses et des badges magnétiques.
2. 2024 : un théâtre où les acteurs sont en carton-pâte et le scénario imprimé à Davos
Le Conseil Européen, le Parlement, la Commission, la Cour de Justice… une magnifique troupe de théâtre de boulevard, avec effets de lumière, rideaux en velours et scénario sponsorisé par Goldman Sachs. António Costa ? Un gentil régisseur. Roberta Metsola ? Une figurante qui sourit très bien sur les photos. Ursula von der Leyen ? Une cheffe de rayon chez Technocratie Inc.
Tout est réglé au millimètre par des machinistes invisibles : BCE, Bilderberg, et autres clubs où l’entrée se fait avec poignée de main secrète et dossier bancaire bien rempli. Les documents fuités ? Des spoilers. Les commissaires “off record” ? Des doublures fatiguées qui répètent le même texte depuis 50 ans. Le vrai auteur ? Toujours hors champ.
Quand le rideau tombe, ce sont les lobbies qui ramassent les fleurs. Les citoyens ? Ils paient la place, s’assoient, et ressortent avec un autocollant "Je suis Européen" sur le front.
3. Les Rothschild et Kalergi : quand le manuel de montage devient thriller politique
Kalergi, c’est le genre de type qui écrit un plan pour une Europe dirigée par une élite technocratique métissée et qui finit décoré par tout ce que Bruxelles compte d’enthousiastes. Un gars soutenu par les Rothschild, ça vous étonne encore ? Ce ne sont pas des vampires : ce sont les sommelier du pouvoir, qui décident quel cru financier sera servi à quel banquet législatif.
On a traité Kalergi de mythe, comme on traite un mode d’emploi Ikea de roman initiatique. Et pourtant, tout est là. Le nom change, le projet reste. On ne parle pas de domination, mais d’hégémonie suave, comme une sauce trop épaisse sur un plat politique insipide.
Pose-toi la question : quand un truc te paraît absurde, qui en profite vraiment ? Spoiler : c’est rarement toi.
4. 705 députés et 27 commissaires : une colonie de fourmis avec des attachés-cases
Bienvenue au Parlement Européen, la plus grande maison de poupées électorale d’Europe. 705 députés, tous très occupés à signer des trucs qu’ils ne lisent pas, pendant que leurs assistants gèrent les vraies urgences : les dîners, les badges, et les selfies diplomatiques.
La Commission ? Une écurie de 27 experts du flou législatif. Tous choisis pour leur capacité à hocher la tête sans faire de vagues. Et le Conseil ? Des chefs d’État qui jouent à SimCity avec de vraies frontières.
Mais les vrais boss ? Les 25 000 lobbyistes de Bruxelles. Monsanto, par exemple, a réussi à repeindre le glyphosate en sirop d’érable. La santé publique ? Une variable d’ajustement. Si tu crois que le Parlement décide, c’est que tu crois encore au Père Noël… en cravate.
5. Ursula, Costa & Cie : stagiaires du Nouvel Ordre avec option photocopie
Ursula, c’est un mélange de Margaret Thatcher et de tableur Excel. Costa ? Le gars sympa qui tient la lampe pendant qu’on t’opère sans anesthésie. Ils ne dirigent rien, ils récitent. Les vraies directives viennent d’endroits où les badges sont dorés et les décisions irréversibles.
Ils ne sont pas là pour débattre, mais pour mettre en œuvre. Leurs patrons ? Davos, l’OTAN, la Commission Trilatérale. Leur mission ? Ne pas déranger le plan. Surtout, surtout, ne pas penser par eux-mêmes.
6. Crises : des tremblements de terre commandités à la carte
La crise de l’euro ? Une masterclass de domination économique. La Grèce transformée en musée de la dette. La COVID ? Une démonstration grandeur nature de “gestion algorithmique de la terreur”. Tu pensais qu’il s’agissait de santé ? Non, d’obéissance.
Les traités budgétaires post-2008, c’est comme donner un manuel d’économie à un incendiaire. On t’impose l’austérité pendant qu’ils impriment de la monnaie comme des flyers de soirée. Big Pharma, Big Data, Big Tout : tous gagnants. Et toi ? Tu récupères le ticket de caisse.
Et les peuples, dans tout ça ? Ils regardent les infos, en mode popcorn.
7. Démocratie décorative, lobbying bétonné
La démocratie européenne, c’est comme une plante en plastique : jolie, mais morte. Tu votes pour des gens qui ne décident rien. Tu t’indignes contre des lois qu’on n’a pas débattues. Tu signes des pétitions que personne ne lit.
Pendant ce temps, les lobbies écrivent les textes, les experts rédigent les annexes, et les journalistes reprennent les communiqués comme des perroquets sous caféine. Tu veux choisir ? Trop tard, la case a été cochée pour toi en réunion privée.
8. Bienvenue dans l’Union des écrans, des caméras, et des QR codes
L’UE, c’est Disneyland avec reconnaissance faciale. Derrière les belles façades et les discours sur “l’Europe des citoyens”, se cache une superstructure prête à scanner ta vie entière. Identités numériques, passeports vaccinaux, IA prédictive… on t’appelle “utilisateur” au lieu de citoyen, c’est plus propre.
Tu croyais que l’UNESCO protégeait ta culture ? Elle vend les billets. Pendant ce temps, les gamins grandissent dans une Europe où l’histoire est un filtre Instagram et la liberté un forfait data.
Conclusion : L’Union Européenne, un escape game sans sortie.
Ce n’est pas une union. Ce n’est pas une démocratie. C’est un simulateur de liberté.
Peuples réduits en statistiques. Citoyens en QR codes. Nations en open spaces réglementés.
Et toi ? Si tu sens que ça coince, que ça pue le faux, que quelque chose d’absurde t’effleure à chaque discours de Bruxelles, ne t’inquiète pas : c’est ton instinct qui fonctionne encore. Protège-le. C’est la seule chose qu’ils n’ont pas encore réussi à scanner.
C’est ton instinct qui hurle.
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