I. Préambule pour lecteurs pas encore suicidaires : ceci est un conte de fées inversé
— Il était une fois… des salauds en costard bien repassé, puant l’eau de Cologne de luxe, qui ne croquaient pas les gosses. Non, ils les transformaient en viande hachée pour VIP.
Bienvenue dans la grande foire aux pourris, où :
- les méchants signent des éditos dans des torchons bourgeois,
- les victimes sont des fantômes qu’on dégage à coups de balai,
- et les héros sont des tarés qu’on traite de cinglés pour rigoler !
Si tu veux un Polaroid de notre époque : des mômes se font la malle pendant qu’on se branle sur la dernière robe à paillettes d’une bimbo décérébrée. Bravo l’humanité, rideau, on remballe !
Mais surtout, ne grattons pas trop la crasse.
Poser des questions, c’est se faire taxer de parano par des cravatés qui suent la peur sous leurs chemises à 500 balles.
Et qui a envie de flinguer sa journée – ou son CDI de lèche-cul – pour plonger dans ce cloaque, quand y’a des vidéos de chatons qui miaulent en boucle sur TikTok ?
Alors on ferme nos gueules de moutons, on laisse glisser, on fait semblant que tout baigne dans le sirop.
Des enfants ? Disparus ?
Ouais, connard, mais t’as vu les stats ?
Non ? Évidemment, elles sont planquées plus profond que le cul d’un ministre dans un scandale.
C’est comme ces histoires qu’on enterre sous des tapis de billets :
on préfère baver sur une star qui se tortille dans un clip avec des symboles à la con plutôt que de compter les petits qui manquent à l’appel.
Trop dégueu pour nos âmes fragiles, hein ?
Alors, qui sont les vrais fumiers ?
- Les psychopathes à capuche des films d’horreur ?
- Ou ces enfoirés bien coiffés qui balancent des thunes dans des “projets éducatifs” au fin fond du tiers-monde, pendant qu’en douce, ils commandent des “spécialités fraîches” comme on chope un burger sur une appli ?
Oh, mais c’est du délire glauque, ça !
T’as raison, Ducon, ferme ce texte, retourne mater des tutos pour te dessiner des pentagrammes sur les paupières.
Pendant ce temps :
- des gamins jouent à “trouve-moi si tu peux” dans des trous à rats que même Satan rayerait de sa carte.
- Indice : ils perdent toujours.
Mais chut, c’est pas classe de parler de ça.
Ça plombe l’ambiance des apéros Zoom.
Et surtout, ça pourrait gêner ces gentils messieurs qui bossent pour “notre bonheur”.
Alors :
- on sourit comme des cons,
- on scrolle comme des zombies,
- et on applaudit les sauveurs autoproclamés.
À nous la médaille d’or de la lâcheté !
II. L’usine à cauchemars tourne à plein régime : production mondiale d’enfants à briser
— Le capitalisme a trouvé son jackpot : des mômes qu’on ne déclare pas, plus rentables que du pétrole et moins chiants que des actionnaires.
Bienvenue dans l’abattoir 2.0, version grand standing !
Tu croyais que l’esclavage, c’était fini, rangé dans des bouquins poussiéreux ou des films avec des barbus en sandales ?
Que dalle, pauvre naïf.
Aujourd’hui, c’est une machine bien huilée, avec des stats plus sanglantes qu’un tableau Excel après une fusion d’entreprises foireuse.
Tu veux un bout de viande crue à bouffer ?
Tiens-toi au mur.
Chaque année :
- des millions de gamins se font la malle façon prestidigitation : pouf, plus là !
- Pas des ados qui fuguent pour fumer des joints en scred.
- Non, des paquets humains prêts à être livrés pour des soirées tordues, des expériences de tarés ou des conneries qu’on n’ose même pas imaginer, parce que ça flinguerait ta journée plus vite qu’un lundi pluvieux.
Mais voilà, personne n’en cause, trouduc.
Pas un mot dans les bla-bla bien proprets des cravatés qui nous pondent des lois.
Tu vois un politicien balancer à la télé :
“Mon plan, c’est de fermer les boucheries clandestines à mômes” ?
Non, ça passe pas dans le décor.
On préfère causer “énergie verte” ou “parité”, pendant que des gosses de 6 piges sont jetés dans des caisses comme des légumes pourris.
Et y’a du génie derrière, attention !
On parle pas d’un crevard avec une camionnette qui pue l’essence.
Non, c’est du haut niveau :
- des routes bien tracées,
- des camions maquillés en “aide humanitaire”,
- des connards en costume qui savent où poser leurs colis sans que ça fasse des vagues.
À l’arrivée ?
- Des villas de luxe,
- des îles paumées,
- des bunkers où le champagne coule plus vite que les larmes des mômes.
Et le clou du spectacle ?
Certains coins du monde “produisent” des gamins pour ce marché de l’horreur.
Oui, t’as bien lu, comme des poulets en cage, mais avec des cris qui te fileraient des cauchemars jusqu’à ta tombe.
- Des nanas accouchent dans des taudis pour un billet froissé,
- des bébés naissent sans nom, sans rien, juste une étiquette “à livrer”.
- Des produits sur mesure pour des salauds qui aiment le “frais” et le “sans trace”.
Mais t’as vu la dernière pub avec une gosse qui court dans un champ ?
Trop mimi, non ?
Pendant ce temps, sa jumelle se fait découper dans un hangar pour qu’un gros plein de thunes ait un rein tout neuf.
Le capitalisme a trouvé son Graal : le gamin invisible.
Et tant qu’on mate des tutos cuisine sur YouTube,
ils remplissent leurs chariots de merde.
III. Le livreur-star n’était pas un homme : c’était un mode d’emploi
— Un type comme lui, ça se pond pas dans une ferme. Ça se forge dans les salons chicos, entre deux coupes de champ’ et trois secrets bien juteux.
Ahhh, le roi des livreurs de luxe !
Le mec qui livrait des gamines à des milliardaires comme on livre une pizza quatre fromages, avec le sourire et la petite blague en prime.
Mais attention, c’était pas le grand méchant loup.
Non, juste le garçon d’ascenseur de l’enfer, celui qui appuie sur le bouton pendant que les vrais patrons sirotent leurs cocktails hors de prix.
On nous a vendu un conte à dormir debout :
- le taré tout seul,
- le pervers isolé,
- l’erreur de casting.
Mais en vrai, c’était le portier de service, celui qui tend les clés pendant que les gros poissons se tapent des gamins en entrée et des principes en dessert.
Son île ?
- Pas un caprice de riche foldingue,
- Mais un supermarché du vice doré,
- Avec des caméras partout pour filmer les souvenirs – jusqu’à ce que tout “disparaisse” comme par magie.
Les listes de clients ?
Une blague de comptoir, qu’ils disent. Circulez, y’a rien à voir !
Il finit en taule, et puis…
Oups, un “suicide” digne d’un sketch pourri.
- Une fin à la con : plus de lumière, plus de gardiens,
- Juste un adieu avec une serviette en papier et un timing parfait.
Même un scénariste bourré aurait honte d’un truc aussi nul,
mais là, tout le monde a applaudi l’efficacité.
Et après ?
- Sa copine de jeu prend la relève dans le box des accusés.
- Condamnée pour avoir livré des colis à… attends, à qui déjà ?
- À personne, apparemment !
On punit la livreuse, mais les clients ?
- Invisibles, comme des fantômes bien sapés.
- Logique de merde : on flingue le facteur mais on laisse les commanditaires se torcher avec des billets de 500.
Le message ?
Les puissants peuvent tout se payer, tant qu’ils sourient en photo et balancent des thunes pour des causes bidon.
Un yacht, une île, un jet, et des “extras” livrés avec le room service.
Merci à eux pour ce manuel parfait :
comment être un salaud en restant intouchable.
Et nous ?
On scrolle comme des abrutis pendant qu’ils passent commande.
IV. Quand les élites ne jouent pas avec leur bouffe, elles jouent avec vos mômes
— Parce qu’un gamin bien tendre, c’est plus chic qu’un toast au quinoa dans leurs soirées de dégénérés.
Ah, les élites !
Ces saints laïcs qui tweetent sur le réchauffement, posent avec des mômes faméliques pour les selfies,
et signent des conneries pour sauver des pandas woke.
Mais derrière leurs murs blindés, ils jouent pas au Scrabble.
Non, ils préfèrent des parties de chasse humaines, avec vos gosses en guise de gibier.
Et le pire ? Ils se planquent même plus !
Tout est là, en vitrine, avec un culot de truand bourré :
- des symboles,
- des délires,
- des soirées servies sur un plateau d’argent,
Dans :
- des clips où des stars dansent avec des trucs chelous,
- des galas où des statues flippantes trônent comme des trophées,
- des expos “arty” où une tarée te fout du faux sang et des os de gosses en plastique en gueulant “c’est spirituel”.
Et les invités ?
- Ils gloussent,
- clap clap,
- sirotent leur champagne dans des verres en forme de crâne.
> C’est normal, voyons !
Des indices partout :
- étoiles tordues dans les pubs,
- yeux qui te fixent dans les logos,
- soirées “thème enfer” payées par des marques de luxe.
Mais si tu l’ouvres, t’es le débile du village.
Eux, ils se marrent, ils adorent te narguer en plein jour :
“Mate-moi faire des trucs crades dans un décor chic, et ferme-la, petit con.”
Et comme tu la boucles, ils gagnent à tous les coups.
Tu crois que je pousse le bouchon ?
Regarde leurs photos de gala :
- costumes bizarres,
- statues qui puent la mort,
- gamins grimés en mini-démons pour servir les amuse-gueules.
Et si tu pointes ça, on te traite de taré.
C’est pas eux les fous, c’est toi.
Parce que voir des saloperies là où y’a “rien”, c’est ton problème, pas le leur.
Mais la vérité, elle est là,
moche comme une vieille pute,
nue comme un gosse perdu dans une soirée privée.
Ils se cachent pas, ils paradent.
Parce que :
- l’impunité, c’est leur drogue préférée,
- et notre silence, leur carburant à vie.
V. Humanitaire et fondations : le bal des salauds déguisés en saints
— “Un avenir pour chaque enfant”… sauf s’il finit en kit dans une valise estampillée “urgence”.
Tu pensais que le mal, c’était un mec louche avec une capuche dans une ruelle crade ?
Perdu, abruti.
Le vrai mal s’assoit à des tables rondes, un verre de vin bio à la main, pendant qu’un écran projette des photos de gamins tristes pour faire chialer les donateurs.
- Il a un badge “humanitaire” sur sa veste hors de prix
- et te serine des conneries sur “l’équité globale”.
Sous-titre : “On les ramasse, on les brise, on les expédie.”
Bienvenue dans le monde des gentils sauveurs et leurs fondations magiques, ces vitrines rutilantes qui cachent des égouts bien profonds.
Non, ils sont pas tous pourris – faut pas déconner.
Mais ceux qui servent de façade pour des trucs immondes ?
Ils sont brillants comme des diamants trempés dans la merde.
- Un statut en or
- Des thunes qui tombent du ciel sans qu’on sache d’où
- Un passe-droit pour aller dans les zones où tout part en sucette
Et le pompon ?
Personne ne checke leurs caisses.
Une pub larmoyante avec un gosse aux yeux mouillés, et bim :
- des dizaines de mômes traversent les frontières sous des hourras.
- Les douaniers ? Ils chialent devant tant de cœur et laissent passer.
Et les fondations, alors ?
Le niveau VIP de la mascarade.
- Tu prends un nom qui claque
- Une star qui pleurniche en direct
- Et tu plaques ça sur des “missions pour les petits”
Résultat ?
- Des “écoles” sans adresse
- Des “refuges” où les gamins s’évaporent plus vite qu’un pet dans un ascenseur
- Des “opérations” gérées par des fantômes qui savent pas où ils bossent
Mais si tu critiques, t’es un enfoiré.
Ils “donnent”, après tout !
Un exemple qui te retourne les tripes ?
Après un gros bordel sismique quelque part,
des sauveurs en gilet fluo ont “secouru” des mômes.
Sauf que certains – beaucoup, peut-être – ont jamais vu les familles promises.
Pouf, disparus !
Des rapports ont causé de “détours louches”,
mais tout s’est perdu dans les chiottes de l’histoire.
- Les dons pleuvaient
- Les cœurs fondaient
- Et les camions roulaient
Mais attends, y’a mieux.
Ces salauds “customisent” leurs colis.
Pas juste des claques ou des chaînes, non, trop basique.
On parle de bricolage mental :
- des trucs sortis des pires labos de guerre froide
- recyclés dans des caves ou des “cliniques” clandestines
Tu prends un gamin :
- tu le fous dans le noir
- tu joues avec sa tête
- jusqu’à ce qu’il soit plus qu’un pantin cassé
Parfait pour des clients qui veulent du “docile” à consommer.
Des survivants ont ouvert leur gueule :
- une gosse qui parle de types en blouse et de voix qui te vrillent le cerveau
- un môme qui raconte des “leçons” dans l’eau froide jusqu’à ce qu’il oublie son prénom
Délire ?
Pas quand les histoires se recoupent à des milliers de bornes.
Mais on préfère les ignorer, hein.
Et qui tire les ficelles ?
- Des cercles de connards bien fermés
- Des pros du “sauvetage” qui savent transformer un gosse en puzzle
Et toi ?
Tu payes ça avec tes 5 balles pour “un monde meilleur”.
Merci, champion de la connerie !
VI. La technologie, cette pute de luxe complice
— Elle te trouve un resto en deux clics, mais elle sait aussi repérer des mômes pour des salauds. L’IA ? Une salope qui joue sur tous les tableaux.
On nous a vendu la tech comme la fée clochette du futur :
“Connectez-vous, devenez malins, vivez mieux !”
Résultat ?
- Des joujoux qui te livrent des pizzas…
- Et qui dealent des gamins dans des coins sombres pendant que t’écoutes ta playlist chill
Bienvenue dans le crime version fibre optique !
Avant :
- fallait des caves
- des types patibulaires
Aujourd’hui :
- un smartphone
- un VPN
- et t’es en business
Le mal a troqué son couteau rouillé pour une appli bien propre.
Le web profond ? Ringard.
Maintenant, tout est en vitrine :
- caché dans des posts à la con
- des mots codés
- des photos de vacances bidon
Si tu sais lire entre les lignes,
tu vois des ombres qui dansent la salsa de l’horreur.
Les IA à la mode ?
- Celles qui te font des memes rigolos
- Savent aussi pondre des trucs immondes pour des clients discrets
- Et ça file plus vite qu’un colis Amazon
Et les algos ?
Des petits génies du vice.
- Un gamin poste une vidéo débile ?
→ Hop, ils calculent tout : âge, coin probable, routine.
→ Et si ça plaît à un taré, un message mignon atterrit dans ses DM : “viens jouer avec nous”. Trop chou, non ?
Les réseaux sociaux ?
Des terrains de chasse pour prédateurs malins.
- Plus besoin de ruelles
- Juste un profil avec des filtres sympas
- Et des promesses enrobées de sucre
Et l’IA aide, plus rapide qu’un flic en RTT.
Et la reconnaissance faciale ?
- On te dit “sécurité”
- Mais elle sait aussi retrouver des visages dans des bases pas très catholiques
Un môme perdu réapparaît quelque part ?
L’engin te dit s’il est encore “dispo”.
Charmant, non ?
Mais tout va bien !
Les géants du net luttent contre les “méchants” :
- en supprimant ton post sur les licornes
- pendant que des trucs tordus tournent dans des groupes privés mieux protégés qu’un coffre suisse
La tech, cette pute à deux visages, sert ceux qui payent.
Et ils ont les moyens, ces salauds.
VII. La fabrication du silence : complicité médiatique, justice aveugle, psychiatrie vendue
— Tout le monde ferme les yeux ? Non, certains les bandent, d’autres les crèvent, et les derniers les vendent au rabais.
Pourquoi on n’en parle jamais ?
Pourquoi, malgré les cris, les chiffres, les rumeurs, ça reste muet comme une tombe bien propre ?
Parce que le système est une broyeuse à vérités,
un rouleau compresseur qui aplatit tout sous des tapis bien moelleux, avec un petit “circulez” en prime.
Les médias ?
- Des clébards dressés pour aboyer sur les petits malins qui posent trop de questions
- Mais qui remuent la queue devant les gros bonnets
Un gamin disparaît ?
→ Une brève en page 12
Une star fait un caprice ?
→ Dix articles et un débat télé
Logique de merde.
Et quand un scandale éclate ?
Ils dansent la valse des hésitations :
- Silences gênés
- Sujets flous
- Noms oubliés
Les réseaux louches ?
→ Enfouis
Les preuves ?
→ Égarées
On te sert un docu bien propre, avec violons tristes et zéro réponse.
Émouvant, mais inutile comme un pet dans l’eau.
La justice ?
Une blague en robe noire.
- Ils savent, mais ils regardent leurs pompes.
- Peur ? Carrière ? Les deux, sans doute.
- Et si un courageux tente un pas, il finit avec une tache sur son CV ou un “accident” bien timed.
La psychiatrie ?
Le pompon du foutage de gueule.
- Un gamin raconte des horreurs ? → C’est dans sa tête.
- Un adulte se souvient ? → Faux souvenirs.
- Un témoin parle ? → Parano.
On gave de pilules ceux qui osent, et on appelle ça “soigner”.
Génial, non ?
Le système a bâti un mur en béton armé de mots doux :
- “pas de preuves”
- “cas isolé”
- “délire collectif”
Un bunker où la vérité crève, pendant qu’on te vend des slogans sur la “protection des faibles”.
Et si tu gueules trop fort ?
T’es :
- le méchant
- le fou
- le banni
Parce que dans ce monde, mieux vaut caresser le monstre que le défier.
VIII. Psychologie des masses : “plus c’est gros, moins ça passe”
— Cache un éléphant dans un magasin de jouets : tout le monde dira que c’est un mirage, parce que regarder, c’est trop chiant.
Le secret ultime ?
On refuse de voir.
Tu balances des faits, des chiffres, des échos, et :
- les gens rigolent
- haussent les épaules
- passent à autre chose
Pourquoi ?
Parce que notre caboche bugge devant le moche,
comme un ordi qui plante devant un virus trop sale.
L’horreur fictive ? Impec.
- Zombies
- Gore
- Screams
On adore bouffer du popcorn devant.
Mais l’horreur vraie, celle qui :
- touche des mômes
- salit les puissants
Là, le cerveau dit “stop”.
“C’est trop gros, ça peut pas être vrai.”
Et hop :
- On se marre
- On dénie
- On traite ça de blague
Croire, c’est dur.
Ça veut dire :
- Revoir son petit confort
- Sa petite vie
- Sa petite lâcheté
Admettre qu’on vit dans un décor en carton pendant que des gamins se font défoncer dans des caves ?
Trop cher.
Alors on préfère penser que c’est du cinéma pour cons.
Et eux, les salauds, ils en jouent.
- Ils balancent des indices tordus
- Des délires absurdes
→ Pour noyer le poisson
Tu parles de mômes perdus ?
Ils ajoutent des conneries de science-fiction dans le tableau.
Résultat : tout devient une farce, et t’es le clown qui fait rire.
Ça marche tellement bien que :
- le quidam préfère te traiter de taré
- plutôt que de douter de ses idoles
Parce que voir, vraiment voir, ça empêche de dormir.
Et personne veut ça.
Alors :
- On scrolle
- On rit
- Et on prie pour que ce soit faux
Mais c’est pas faux.
C’est juste la vie, connard.
Ça marche tellement bien que le quidam préfère te traiter de taré plutôt que de douter de ses idoles. Parce que voir, vraiment voir, ça empêche de dormir. Et personne veut ça. Alors on scrolle, on rit, et on prie pour que ce soit faux. Mais c’est pas faux. C’est juste la vie, connard.
IX. L’ultime pacte : le crime comme ciment social des élites
— Pourquoi ils se tiennent les coudes ? Parce qu’ils ont bouffé du môme ensemble, et après ça, t’es pas juste pote, t’es enchaîné jusqu’à la tombe.
Tu crois que l’élite tient grâce à ses thunes ?
Que dalle.
Elle tient parce qu’elle est soudée par la merde.
Pas par :
- des contrats
- ou des poignées de main
Mais par un secret bien crade, un truc si immonde qu’il te lie plus fort qu’une corde autour du cou.
Ce secret ?
Des actes partagés.
Des trucs sombres, faits à plusieurs, regardés dans le blanc des yeux.
Une fois que t’as plongé là-dedans avec un autre, t’es fini.
Tu parles pas, tu trahis pas, parce que chacun tient l’autre par le pire.
C’est du béton armé de honte.
Les histoires de rituels ?
- Pas juste des contes pour faire flipper les gosses.
- C’est une colle sociale.
Tu fais faire un truc tordu à quelqu’un,
tu le fais regarder,
et il est à toi pour toujours.
Un pacte gravé dans le sang et la sueur froide.
Alors quand un risque de tomber, tous se lèvent :
- Un dossier chauffe ? Tous payent pour l’éteindre.
- Un bavard parle ? Tous signent pour un “accident”.
Ce n’est pas de la loyauté.
C’est de la survie, connard.
Et toi, tu crois que le monde tourne sur des lois et des votes ?
Réveille-toi.
Il tourne sur des chaînes invisibles,
forgées dans des trucs qu’on ose pas nommer.
Et plus c’est moche, plus ça tient.
X. Et maintenant ? Rien. Netflix sort une nouvelle série.
— Pendant que tu lis ça, un gosse est paumé dans un trou. Toi, tu choisis entre pizza et kebab. Bravo, champion.
Voilà, tout est dit.
- Les réseaux
- Les silences
- Les masques
Et après ?
Que dalle.
Demain, tu te lèves :
- Tu bosses
- Tu mates des vidéos débiles
- Et tu ris comme un con
Parce que c’est plus facile que de bouffer l’horreur à la petite cuillère.
Le vrai coup de maître ?
Ce n’est pas d’avoir monté des usines à mômes.
C’est de t’avoir rendu aveugle.
À coups de :
- séries
- memes
- flemme
Ils ont fait de l’enfer un truc banal, trop lourd pour qu’on s’y attarde.
Rien change parce qu’on veut pas changer.
- On veut du calme
- Du gras
- Du fun
Tant que c’est pas notre gosse, on s’en branle.
Et eux, ils comptent là-dessus.
Ton inaction, c’est leur jackpot, Ducon.
Alors oui, Netflix te tend les bras.
Mate bien.
Pendant ce temps, l’usine tourne.
Et si tu parles trop ?
On te dira fou.
Mais le fou, c’est pas celui qui voit.
C’est celui qui ferme les yeux comme un bon petit mouton.
XI. L’enfer en costume : la grande bouffe des purs et ses petits amuse-gueules
— Pas de capes ni de cierges, juste des cravates bien nouées et une dalle pour tout ce qui brille encore. Merci à eux, les charognards du mignon !
Oh, quel banquet dégueulasse, ce monde de rois en costard !
Tu pensais que ces salauds couraient après ton portefeuille ?
Que dalle, Ducon.
Ils :
- impriment déjà des billets comme des tracts
- tiennent le monde par les couilles avec leurs codes à la con
Non, ce qu’ils veulent, c’est le plat de résistance qu’on trouve pas au resto :
l’innocence qu’on peut éclater comme une piñata.
Et où vont-ils chercher leur dessert ?
Chez les mômes, ces petites fraises bien juteuses que même un démon bourré laisserait tranquilles.
Pas de grottes ni de chants débiles.
Ces enfoirés brillent sous les spots :
- sourires bien blancs
- diplômes qui puent le fric
- discours sur le “progrès” qui sentent le foutage de gueule
Leur délire ?
Pas une secte à la mord-moi-le-nœud
Mais une valse à l’envers, un jeu de tarés
Où tout ce qui est pur finit en confettis
Où la douleur est un oscar et le silence un gros chèque
Plus c’est tendre, plus ils veulent le piétiner avec leurs pompes à 2000 balles.
Mignon, non ?
Et là, ça devient un vrai buffet.
On parle pas d’un délire de cave.
Imagine :
- des petits colis sur pattes
- chopés dans des trous paumés
- ou “offerts” par des loques humaines — des cassos, des camés, ou des connards déjà dans la boucle
Certains sont même “fabriqués” en série :
- sortis de bidons clandestins
- sans nom
- sans trace
Comme des jouets en promo chez un discount de l’horreur.
Parfait pour les amateurs de chair fraîche
Qui veulent du “sur mesure” et du “sans étiquette”
Ensuite ? La fête commence.
On fout ces petits bouts dans des décors de cauchemar, genre escape game pour psychopathes.
On :
- les secoue
- les fait flipper
- leur file un nounours… avant de le cramer devant eux
L’idée ?
Les pousser à bout jusqu’à ce que leur corps crache un truc précieux –
appelons ça un “jus de peur” que ces tarés adorent siphonner.
Pas de mode d’emploi.
Juste un hobby de dégénérés qui aiment les frissons bien corsés.
Et après ?
- Les jouets cassés finissent à la poubelle
- Ou découpés en morceaux pour des collectionneurs qui aiment les reliques
Tout est carré, propre, organisé comme une usine à saucisses,
mais avec des hurlements en fond sonore.
Et les parents dans tout ça ?
Oh, y’en a qui :
- savent
- dealent
- ferment leurs gueules de lâches
Parce que :
- la misère
- la dope
- ou un passé en ruines
ça te transforme en aveugle plus vite qu’un claquement de doigts
Ça se passe où ?
- Dans des “refuges”
- Des “camps”
- Des “centres”
Pas juste dans des bleds exotiques,
mais sous ton nez, dans des coins qu’on préfère zapper.
Tu crois que c’est loin d’ici ?
Réveille-toi, c’est aussi dans les pays bien propres où on vote pour des “droits humains”.
Ces pros du chaos ?
- Pas des tarés en camisole
- Des comptables de l’horreur
- Des gestionnaires avec des carnets bien tenus
- Des réseaux qui tournent comme une horloge suisse
Leur but ?
Pas juste se rincer l’œil
Mais plier le monde à coups de terreur
S’ils savent bricoler des mômes comme des Lego cassés,
imagine ce qu’ils te réservent, à toi et ton petit confort de merde.
Un amuse-bouche sympa, non ?
Et toi, tu te marres, hein ?
“Oh, c’est trop glauque, c’est du cinéma pour débiles !”
T’as raison, pauvre con :
- Rigole
- Hausse les épaules
- Traite-moi de clown
Parce que si tu regardes vraiment,
ton sommeil prend une balle dans la tête.
Tu devras choisir :
- Fermer ta gueule
- ou hurler dans le vide
Et ça, c’est plus chiant que de zapper sur un meme de chat qui tombe d’un toit.
Le vrai gag ?
Croire que ces salauds si malins se contentent de signer des contrats et de serrer des paluches.
Non.
Ils aiment :
- les saveurs fortes
- les plats qui saignent encore
- et ton silence leur sert la sauce sur un plateau d’argent
Merci à toi, roi du scroll et prince de la flemme !
Alors, ouvre tes yeux de poisson mort.
Ce monde, c’est un théâtre à la con,
mais derrière le rideau, y’a une boucherie qui tourne à plein régime.
Si tu parles pas, tu marches sur des os qui craquent sous tes pompes.
Résiste un peu.
Même en chuchotant comme un pleutre,
parce que chaque mot fout une claque dans leur bal masqué de merde.
Tu sais tout, maintenant.
Dors bien… ou crève les yeux ouverts, connard.
Commentaires