Macron Young Leader : Dressé pour régner, programmé pour obéir

MACRON, LE YOUNG LEADER QUI A VOULU JOUER AUX GRANDS… ET QUI S’EST PRIS UN MUR

Il était une fois un gamin surdoué de l’élitisme français, un prodige élevé sous cloche, qui s’est mis en tête de nous vendre du rêve : la France en start-up nation, lui en CEO visionnaire, et nous, les salariés sous-payés d’un pays qui devait enfin "se réinventer". Bon, spoiler : la boîte a fait faillite et le patron continue de nous expliquer que tout va bien en nous supprimant le chômage.

Macron, c’est le type qui a passé sa vie dans des écoles où on lui a appris qu’il était exceptionnel. Un peu comme un gamin qui passe son temps à être applaudi par ses parents pour ses dessins moches et qui, un jour, arrive dans le vrai monde en pensant être Picasso. Sauf qu’au lieu de crayons de couleur, on lui a filé un pays entier et que son tableau, c’est une énorme tâche de vomi sur la nappe tricolore.

Un rebelle ? Non, un bon petit soldat en costume trois pièces

On nous a vendu Macron comme un ovni politique, un mec qui allait "casser les codes" et "révolutionner la politique". Résultat : il a surtout cassé le pays et révolutionné l’art de la soumission aux élites. Il s’est vendu comme un rebelle, mais il a été programmé comme une cafetière Nespresso : efficace, lisse, et totalement dépendant de capsules fabriquées ailleurs.

Juan Branco ne mâche pas ses mots :
👉 "Macron n’est pas un président, c’est un produit marketing conçu par et pour les puissants." (Crépuscule)

Le mec ne s’est pas rebellé contre le système, il a simplement appris à mieux l’embrasser que les autres. Littéralement.

Un destin tout tracé par ses parrains de l’ombre

Macron est un mec qui a été repéré, chouchouté, formaté pour grimper. Il n’a pas "choisi" son ascension, il a simplement suivi la feuille de route qui lui avait été dessinée. Sa carrière, c’est une ligne droite sans le moindre accroc. On ne parle pas d’un mec qui a dû galérer, créer quelque chose, comprendre les réalités du terrain. Non, lui, on lui a ouvert toutes les portes, et il a juste eu à ne pas se prendre les pieds dans le tapis.

Michel Onfray résume bien le personnage :
👉 "Il a le charisme d’un banquier d’affaires et la pensée d’un stagiaire chez McKinsey."

Et ça, ça donne quoi en pratique ? Un président qui fait des phrases longues et vides, avec la gestuelle d’un VRP sous coke qui essaye de nous vendre un grille-pain à 4000 balles en nous expliquant que c’est une avancée technologique.

LE CLUB DES ÉLITES : UNE SECTE, MAIS AVEC DU CHAMPAGNE

Alors, les gars, vous connaissez la French-American Foundation ? Non ? Normal, c’est un club tellement fermé que même ton banquier n’y aurait pas accès, et pourtant il en connaît des magouilles.

La French-American Foundation, c’est un peu la franc-maçonnerie, mais sans le tablier et les poignées de main cheloues. Là-bas, pas besoin de réciter des trucs en latin dans une cave, on te serre la main avec un grand sourire et on t’offre un verre de champagne pendant qu’on te programme pour devenir président.

"Young Leader", ça sonne bien, hein ?

Ça fait dynamique, ambitieux, audacieux… Alors qu’en fait, c’est juste un label pour garantir que t’es un mec fiable pour les puissants. Un peu comme un bon taureau reproducteur, sauf que là, au lieu de saillir des vaches, tu vas baiser un pays entier.

Philippe de Villiers ne mâche pas ses mots :
👉 "Macron, c’est l’enfant chéri du système. Il a été formé pour servir une idéologie mondialiste et européiste."

Et en effet, dans la liste des anciens Young Leaders, bizarrement, on ne retrouve pas de petits artisans ou de mecs qui bossent à l’usine. Non, non, que des banquiers, des PDG de multinationales, des hauts fonctionnaires bien propres sur eux. Quelle coïncidence, hein ?

Et Macron là-dedans ? Bah, c’est le majordome idéal. Il sait bien faire semblant d’être indépendant, mais en vrai, il suit le programme à la lettre. Un coup, il fait du théâtre en engueulant un ministre, et la semaine suivante, il signe les décrets qu’on lui glisse sous le pif, bien sagement.

Florian Philippot enfonce le clou :
👉 "Young Leader, c’est le tampon qui garantit qu’un président ne sera jamais souverain. Macron est un pion atlantiste, pur et simple."

Bref, le Young Leader, c’est comme un bon gigolo : il faut qu’il soit charmant, bien habillé, et surtout qu’il sache dire "oui" à tout ce qu’on lui demande.

MACRON : LE STAGIAIRE IDÉAL POUR LES PUISSANTS

Tu sais ce que c’est un bon stagiaire ? C’est un type qui ferme sa gueule, qui prend des notes, qui fait semblant de comprendre, et qui surtout, surtout, ne pose jamais de questions qui fâchent. Eh ben, Macron, c’est exactement ça, mais avec un costard à 5000 balles et un avion présidentiel.

Ce mec, il est pas président, il est en mission d’intérim pour la haute finance. Son job, c’est d’assurer la continuité du programme : détricoter les acquis sociaux, vendre le pays morceau par morceau, et faire croire aux Français que c’est pour leur bien. En gros, c’est un commercial, mais au lieu de te refourguer un abonnement à la salle de sport, il te vend la précarité avec un grand sourire.

Pourquoi lui ? Parce qu’il était déjà formaté pour faire semblant d’être moderne.

On l’a vendu comme un président jeune, dynamique, novateur… mais en réalité, c’est juste un mec qui parle comme un PowerPoint de McKinsey. Il enchaîne les phrases creuses, les concepts fumeux, et quand il veut te faire croire qu’il bosse, il te sort une réforme pondue dans un cabinet de conseil.

👉 Frédéric Lordon : "Macron, c’est un contrôleur de gestion qui se prend pour un stratège."

Sauf que gérer un pays, c’est pas comme gérer un fichier Excel. Résultat ? Ben, c’est le bordel. Grèves, crises, inflation, réformes absurdes, et lui, il continue d’aligner des phrases vides comme un étudiant en école de commerce sous coke en plein oral de fin d’année.

Un manager de start-up qui tutoie ses employés avant de les virer

Macron, c’est aussi un mec qui pense qu’il faut "moderniser la France". Traduction : casser les droits des travailleurs et rendre la vie encore plus pourrie pour les petites gens. Mais il le fait avec la coolitude d’un patron de start-up.

Il te tutoie, il t’explique que "il faut se réinventer", que "il faut accepter la disruption", et à la fin, il te vire en te disant que c’est une opportunité pour toi de "rebondir vers un nouveau projet professionnel".

👉 Charles Gave : "Il pense que l’économie, c’est de la com’. Résultat : le pays se casse la gueule, mais avec une belle mise en scène."

Le pire ? Il croit en son propre bullshit. Ce mec est tellement persuadé d’être un génie qu’il pense que les gilets jaunes étaient juste des illettrés qui ne comprenaient pas la beauté de son projet de start-up nation.

Et quand ça gueule trop, il fait quoi ? Il sort les CRS, les grenades de désencerclement et les LBD. Parce que bon, faut pas déconner, un bon stagiaire ne laisse jamais les petites mains renverser la boîte.

INDÉPENDANT ? NON, IL PREND SON BRIEF À WASHINGTON ET BRUXELLES

Alors, celle-là, on nous l’a vendue en boucle : "Macron, c’est un homme libre, un président visionnaire, il n’obéit à personne, il ne se laisse pas dicter son agenda."

Mouais.

C’est sûr qu’un mec qui a été couvé par les banques, formaté par la French-American Foundation et adoubé par les patrons du CAC40, il va se réveiller un matin en se disant : "Tiens, si je rendais la France souveraine et indépendante des intérêts étrangers ?" Spoiler : non.

Macron, le type qui joue les frondeurs en public… et qui signe tout en coulisses

Tu l’as déjà vu, Macron, quand il prend son air de mec sérieux devant une caméra ? Il fronce les sourcils, il lève une main d’expert, et il te sort une punchline en carton genre "La France n’est la vassale de personne."

Et puis cinq minutes après, il est à Bruxelles en train de signer tous les traités comme un stagiaire en train d’accepter les CGU de Spotify sans les lire.

👉 Emmanuel Todd : "Macron est un vassal des États-Unis, il exécute sans réfléchir les intérêts de Washington."

En gros, il fait le fier devant nous, mais en vrai, il attend que Washington et l’Union européenne lui envoient sa liste de devoirs à faire pour la semaine.

France souveraine ? Laissez-moi rire.

Macron en chef d’État souverain, c’est comme un mec qui te dit qu’il a arrêté de fumer… avec une clope au bec.

Le gars obéit aux consignes européennes, impose des réformes à la sauce allemande, applique les stratégies de l’OTAN comme un bon petit soldat et va faire des bisous à BlackRock en leur expliquant que tout va bien, qu’ils peuvent continuer à se gaver.

👉 Éric Verhaeghe : "L’illusion du président réformateur s’effondre dès qu’on regarde qui dicte vraiment l’agenda économique et social."

Et quand il fait mine de dire "non" aux Américains ou aux Allemands, c’est pour mieux dire "oui" deux jours plus tard, mais discrètement. Parce que bon, faut pas froisser les patrons.

Bref, Macron, c’est comme un poisson rouge dans un bocal : il croit qu’il nage librement, alors qu’en vrai, il tourne en rond et il bouffe les miettes qu’on lui balance.

MACRON, LE MEC QUI VOULAIT ÊTRE DE GAULLE MAIS QUI FINIRA COMME TONY BLAIR

Alors lui, il s’y voyait déjà : le grand homme, la statue en marbre sur la place publique, les pages d’histoire écrites en lettres d’or… Macron, le visionnaire, l’homme du destin, le De Gaulle 2.0.

Mais attendez… DE GAULLE ???

Mon cul, oui.

De Gaulle, c’était un mec qui envoyait bouler les Américains et les Allemands quand ils essayaient de faire de la France un paillasson. Macron, lui, il leur apporte du café et il leur cire les pompes en leur demandant s’ils veulent un cookie avec.

👉 Philippe de Villiers : "Il n’est pas à la hauteur de la fonction. Il joue un rôle, mais il n’a pas la carrure."

C’est pas De Gaulle, c’est Tony Blair sous acide, un petit VRP mondialiste qui te vend la France comme un vieux fond de stock chez Amazon.

Il parle comme un philosophe, mais il pense comme un banquier

Tu l’as déjà entendu, Macron, en conférence de presse ? Le mec te sort des phrases de trois kilomètres de long, avec des concepts hyper chiadés, des références littéraires et des mots savants… sauf qu’à la fin, t’as rien compris et t’as juste envie de prendre un Doliprane.

👉 Natacha Polony : "Ce n’est pas un président, c’est un influenceur politique pour la finance internationale."

De Gaulle parlait aux Français. Macron parle aux marchés. Et le seul truc qu’il a retenu de l’histoire, c’est que les petits doivent fermer leur gueule pendant que les gros se servent.

Après l’Élysée ? BlackRock, Amazon, Uber Eats ?

Parce que bon, faut être réaliste : Macron, c’est un intérimaire de la présidence. Son passage à l’Élysée, c’est juste une ligne sur son CV, une expérience pro avant d’aller bosser pour ceux qui l’ont mis là.

On parie quoi ? Après son mandat, il finit chez BlackRock comme conseiller spécial ? Ou bien il se met à la tête d’un fonds d’investissement et il nous explique comment "booster la compétitivité en dynamisant les flux de marché" pendant qu’on bouffe des pâtes premier prix ?

👉 François Asselineau : "Il n’a jamais été élu pour gouverner, mais pour appliquer les directives de Bruxelles et Washington."

Et pendant ce temps-là, nous, on aura juste eu droit à un quinquennat de PowerPoint, une masterclass en enfumage, et une belle leçon sur "comment se faire enfiler avec élégance."

CONCLUSION : L’ÉLÈVE MODÈLE, LE CANCRE DE L’HISTOIRE

Macron, c’est le mec qui a toujours été premier de la classe. Le chouchou du prof, le fayot qui lève la main avant même que la question soit posée. Tu vois le genre ? Le gars qui récite bien sa leçon, qui sourit à la maîtresse, mais qui, dès que tu le mets en autonomie, se met à copier sur le voisin parce qu’en vrai, il pige rien.

Et bien ça donne quoi quand tu files un pays à un premier de la classe ?
Ça donne un stagiaire à la tête de l’État, un type qui croit que diriger, c’est faire des réunions et aligner des slides PowerPoint. Sauf que la France, c’est pas une start-up. Quand tu te rates, c’est pas juste un mauvais trimestre, c’est des millions de gens qui galèrent.

👉 Philippe de Villiers : "Macron, c’est un acteur, un homme de théâtre. Il joue un rôle, mais il n’a ni la profondeur ni la vision."

Et maintenant ? Bah, comme tout bon Young Leader, il va bientôt rendre les clés et passer à autre chose. Et nous, les Français, on n’aura plus qu’à recoller les morceaux, pendant que lui ira facturer ses conférences à 100 000 balles le quart d’heure chez JP Morgan ou Goldman Sachs.

Young Leader un jour, Young Leader toujours : la retraite dorée est déjà prête.

👉 Charles Gave : "Les Young Leaders ne dirigent pas, ils exécutent. Ils ne pensent pas, ils appliquent. Macron n’a jamais été un chef d’État, juste un employé du système."

Et voilà comment on se retrouve avec le premier président en CDD de l’histoire de France. Il nous a vendu un destin de grandeur, et on a eu un consultant en management. Il voulait être le Mozart de la politique, il finit en Michel Sardou du capitalisme : il radote les mêmes chansons et ne comprend pas pourquoi tout le monde en a marre.

Pendant ce temps-là, nous, on a juste eu droit à une masterclass sur comment se faire enfiler avec style et sans vaseline.

Allez, rideau.

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