1. Accroche : “Bayrou et le budget qui tue : petits entrepreneurs, ouvrez l’œil, vous êtes les prochaines victimes.”
Vous pensiez que le 49.3, c’était juste une manœuvre politique pour éviter de perdre du temps à l’Assemblée ? Mauvaise nouvelle : c’est un couteau qui vous est déjà planté dans le dos, et vous ne le sentez même pas encore. François Bayrou et son gouvernement n’ont pas simplement verrouillé le débat parlementaire. Ils ont signé l’arrêt de mort des autoentrepreneurs, des PME, des services publics en région, et du peu de souveraineté qu’il restait à la France. Tout cela, bien sûr, sous couvert de “responsabilité budgétaire”. Mais à qui profite cette responsabilité ? Certainement pas à vous.
Ce budget est un piège tendu aux petites entreprises et aux classes moyennes. En surface, il semble parler de rigueur, de coupes nécessaires pour stabiliser la dette. Mais sous la surface, c’est une trahison totale. Philippe de Villiers le dit : “Ce gouvernement utilise les outils européens, le 49.3, la dette et la technocratie pour vous dépouiller lentement mais sûrement. Et vous regardez ailleurs.”
On vous impose un budget que vous n’avez pas voté, dont vous ignorez les véritables conséquences, mais que vous paierez très cher. Littéralement. Quand les factures de TVA vous tomberont dessus, quand les services locaux fermeront, quand vos marges de manœuvre s’effondreront, il sera trop tard pour réagir. Alors, ouvrez les yeux maintenant.
Ce qu’on va vous montrer ici, c’est ce que personne ne vous dit à la télévision : comment ce budget est une machine à broyer les petits et à enrichir les gros. Dupont-Aignan l’appelle “le budget des traîtres”. De Villiers parle de “trahison nationale”, et Charles Gave d’“imposture économique”. Ce ne sont pas que des mots. Ce sont des alertes rouges qu’on choisit d’ignorer jusqu’au moment où elles explosent en pleine face.
Vous vous dites peut-être que c’est exagéré, que ce sont des figures politiques qui aiment crier au loup. Mais si vous saviez ce qui vous attend, vous ne dormiriez plus la nuit. La TVA obligatoire dès 20 000 € pour les autoentrepreneurs ? Un piège économique mortel. La privatisation rampante des hôpitaux et écoles ? Déjà en cours. Les exonérations fiscales pour les multinationales pendant qu’on tue les PME ? Un scandale en marche.
Vous êtes sur le point de découvrir ce qu’ils ont voulu cacher sous des chiffres technocratiques incompréhensibles. Ce budget n’est pas une solution. C’est un désastre programmé. Et si vous ne le comprenez pas aujourd’hui, vous le comprendrez demain, lorsque vous serez vous-même touché.
Alors, avant que tout s’effondre, il est temps de tout savoir. Il est temps de censurer ce gouvernement avant qu’il ne soit trop tard. Préparez-vous. Vous allez voir ce qu’ils n’avaient pas prévu que vous découvriez.
2. Le 49.3, un instrument de la trahison nationale selon de Villiers et Dupont-Aignan
Le 49.3. Ce chiffre, ces deux points et ce petit trois sont devenus un symbole sinistre. En apparence, c’est juste un article de la Constitution, une porte de sortie pour un gouvernement en difficulté. Mais en réalité, c’est l’arme fatale de la trahison démocratique. Philippe de Villiers le dit sans détour : “Quand un régime ne sait plus convaincre, il impose. Et quand il impose, c’est qu’il a perdu le contact avec son peuple.”
L’arme a été dégainée deux fois en quelques semaines par François Bayrou, sous prétexte qu’il fallait “agir vite”. Mais vite pour qui ? Certainement pas pour les artisans, les indépendants, les commerçants, les petits patrons qui n’ont jamais été consultés. Ils ne sont que des dommages collatéraux dans ce jeu de pouvoir. En revanche, pour les multinationales, pour les technocrates de Bercy et pour les banquiers, la vitesse est parfaite : plus on passe rapidement, moins on soulève de questions.
Nicolas Dupont-Aignan le dénonce avec ferveur : “Le 49.3 est devenu l’outil des élites européennes pour faire passer en force des budgets qui détruisent la souveraineté nationale.” Il ne voit pas seulement une manœuvre politique, mais un signe d’allégeance à Bruxelles. “C’est toujours la même méthode : on évite les débats publics pour appliquer des directives budgétaires imposées par les technocrates européens.” De Villiers, lui, parle même d’“Europe des banques” : “On ne fait plus un budget pour les Français, on le fait pour rassurer les marchés financiers.”
Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que ce genre de manœuvre finit toujours par revenir comme un boomerang. Charles Gave avertit : “Un gouvernement qui utilise le 49.3 ne contrôle plus rien. Il est déjà en train de s’effondrer, mais il ne veut pas que ça se voie.” Et qui paiera la facture de cet effondrement ? Les classes moyennes. Les petits patrons. Vous.
Le 49.3 n’est donc pas une simple formalité constitutionnelle. C’est un aveu de faiblesse. Un gouvernement fort aurait négocié, débattu, et convaincu. Un gouvernement faible coupe court, impose, et prend le risque de l’explosion sociale. Dupont-Aignan prévient : “Quand on verrouille le débat, le peuple finit par déverrouiller la rue.”
La censure est plus qu’un vote symbolique. C’est la seule arme qu’il nous reste pour stopper cette dérive autoritaire. Attendez encore, et demain, ce ne sera pas qu’un budget qu’on imposera sans vote. Ce sera une réforme des retraites. Puis une nouvelle taxe. Puis des coupes encore plus violentes. Et un jour, vous vous réveillerez dans un pays où votre voix n’aura plus aucune importance.
Est-ce que c’est cela, la France que vous voulez ?
3. La TVA sur les autoentrepreneurs : le piège économique mortel
Vous pensiez que devenir autoentrepreneur, c’était la solution ? Que c’était la porte d’entrée vers la liberté professionnelle et l’indépendance financière ? Mauvaise nouvelle : ce gouvernement est en train de sceller cette porte à double tour. Avec leur nouvelle règle de TVA obligatoire dès 20 000 € de chiffre d’affaires, les autoentrepreneurs vont être les premières victimes d’un massacre économique silencieux.
Charles Gave est clair : “Avec ce seuil bas ridicule, on condamne les petits à crever ou à revenir sous le joug du salariat précaire.” Imaginez la scène : vous avez travaillé dur, vous avez trouvé des clients, vous commencez à vous stabiliser, et là, boum, dès que vous dépassez 20 000 € de CA, vous êtes obligé de facturer 20 % de plus à vos clients. Et qui va absorber cette augmentation ? Personne.
Le problème, c’est que la plupart des autoentrepreneurs – chauffeurs VTC, freelances, artisans – n’ont pas les marges nécessaires pour survivre à ce choc. Soit ils augmentent leurs prix et perdent des clients, soit ils absorbent la TVA et travaillent à perte. Dans les deux cas, c’est la mort lente. C’est du sabotage économique pur et simple.
Philippot l’explique avec une lucidité glaçante : “Ils veulent tuer l’autoentrepreneuriat parce qu’ils détestent l’idée que des gens puissent s’en sortir par eux-mêmes.” La France des petites réussites dérange les technocrates, car elle échappe aux grandes structures, aux banques, aux cotisations massives. Ce que le gouvernement veut, c’est une armée de salariés dociles, corvéables, et précaires. Un autoentrepreneur, par définition, est hors de contrôle. C’est intolérable pour un système qui ne fonctionne qu’en broyant les petits.
Et ça ne s’arrête pas là. Les charges sociales augmentent aussi, les coûts d’énergie explosent, les subventions locales disparaissent. Les autoentrepreneurs ne tombent pas seulement à cause de la TVA, ils s’effondrent sous un poids accumulé. Et qui en profite ? Les grands groupes. Pendant que les indépendants sont étranglés, les multinationales continuent de bénéficier de leurs exonérations fiscales.
Nicolas Dupont-Aignan tire la sonnette d’alarme : “On est en train de démolir un système qui donnait une chance à des milliers de Français de se reconstruire.” Les chauffeurs VTC, les artisans, les développeurs web, les plombiers, tous ceux qui pensaient pouvoir vivre dignement de leur travail indépendant vont se retrouver piégés, avec une seule option : abandonner ou retourner au salariat.
Vous croyez que c’est exagéré ? Regardez ce qui se passe déjà : des centaines d’autoentrepreneurs ferment chaque semaine sans que personne n’en parle. Ce n’est pas une prévision apocalyptique, c’est une réalité qu’on vous cache. Et si vous ne sentez pas encore le feu, c’est simplement parce que vous êtes à la périphérie de l’incendie. Mais il finira par vous atteindre.
Alors, posez-vous la question : qui seront les prochains à tomber ?
4. Le sacrifice des campagnes : de Villiers et Dany Boon s’unissent contre les coupes
Bienvenue dans la France périphérique, celle qu’on oublie toujours quand on écrit les budgets à Paris. Vous la connaissez, cette France : c’est celle des petites communes, des villages, des bourgs où tout le monde se connaît et où les services publics sont souvent le dernier rempart contre l’isolement total. Mais cette France-là, le gouvernement de Bayrou a déjà décidé de la sacrifier sur l’autel de la rigueur budgétaire.
Philippe de Villiers, fils de la Vendée, le dit avec une colère non feinte : “Ils vont la laisser mourir en silence, sans jamais assumer ce qu’ils font.” Les coupes budgétaires dans les communes rurales ne sont pas des accidents, elles sont des décisions conscientes, prises dans les bureaux climatisés de la capitale. Plus de budget pour entretenir les routes, moins de subventions pour les écoles de village, la fermeture progressive des centres de santé locaux... C’est une lente agonie planifiée.
Dany Boon, enfant du Nord et défenseur des classes populaires, est lui aussi furieux : “Quand ils auront fini de couper les budgets, il n’y aura plus rien dans les campagnes. Les gens n’auront même plus un médecin pour soigner leurs gosses.” Il ne parle pas que des grandes coupes spectaculaires, mais aussi de toutes ces petites décisions discrètes : la suppression d’un bus scolaire ici, la réduction des financements pour une maison de retraite là-bas. Chaque petit coup de rabot est une entaille qui saigne lentement les territoires.
Et ce qui rend les choses encore plus insupportables, c’est que les campagnes sont punies pour un déséquilibre qu’elles n’ont même pas créé. Les grandes villes sont celles qui concentrent les dépenses publiques excessives, mais ce sont les villages qui paient l’addition. Philippot en rajoute une couche : “Les technocrates ne connaissent pas la vie dans les villages. Ils ne savent pas ce que c’est que de parcourir 30 km pour aller voir un médecin, ou de ne plus avoir de lycée à proximité.”
Nicolas Dupont-Aignan dénonce une “politique d’abandon systématique”. Il avertit : “Les petites villes et les campagnes sont les premières touchées, mais les villes moyennes suivront. Et quand elles tomberont, ce sera toute l’économie locale qui s’effondrera.”
Parce que, ne vous y trompez pas, la disparition des services publics entraîne la disparition des commerces locaux. Sans écoles, les familles déménagent. Sans hôpital, les retraités partent. Sans population, les commerces ferment. C’est un effet domino d’une violence inouïe, et le gouvernement le sait parfaitement. Mais tant que ça ne touche pas les arrondissements parisiens, ils s’en fichent.
Le pire dans tout ça ? Une fois que les campagnes seront mortes, personne ne les ressuscitera. Ce ne sont pas les multinationales qui viendront rouvrir des boulangeries, des pharmacies ou des écoles. Elles n’ont rien à y gagner. Ce désert sera permanent.
Alors, vous voulez vraiment attendre que votre village devienne un musée vide ? Ou est-ce le moment de censurer ces élites qui regardent mourir la France profonde sans lever le petit doigt ? La réponse est entre vos mains.
5. Un budget taillé pour les multinationales, pas pour les PME
Regardez bien ce budget, et vous verrez ce qui se cache sous les lignes comptables ennuyeuses : une guerre économique déguisée. Une guerre où les petites entreprises locales sont sacrifiées, tandis que les multinationales trinquent au champagne en coulisses. Vous pensiez que ce gouvernement défendait les “forces vives de la nation” ? Non, il défend les conseils d’administration du CAC 40.
Philippe de Villiers n’y va pas par quatre chemins : “Ce budget est un transfert organisé de richesse des petits vers les gros.” Tandis que les boulangers, les petits commerçants et les artisans croulent sous les taxes locales, les cotisations sociales et les hausses des prix de l’énergie, les grands groupes bénéficient d’exonérations fiscales et de niches spéciales. “On laisse Amazon, Total et consorts respirer, pendant qu’on étouffe les PME.”
Florian Philippot, avec sa précision habituelle, dévoile le mécanisme : “On parle de rééquilibrage fiscal, mais c’est un mensonge. Ce budget favorise les grandes firmes en leur offrant des réductions sur les charges et les impôts de production. Les PME, elles, n’ont rien. Elles sont les victimes silencieuses.” Il explique que les exonérations offertes aux multinationales sont cachées dans des articles techniques que personne ne lit. “C’est un scandale, mais bien ficelé : les médias n’en parlent pas.”
Prenons un exemple concret : la taxation de l’énergie. Tandis que les boulangeries paient des factures électriques démentielles, les grandes entreprises négocient des tarifs préférentiels avec l’État sous prétexte de “maintenir leur compétitivité internationale”. Dupont-Aignan explose : “C’est une blague ? On maintient la compétitivité d’Airbus, mais pas celle de la boulangerie du coin ?”
Les petits commerçants, les restaurateurs, les artisans – tous ceux qui font le tissu économique local – sont laissés à l’abandon. Charles Gave alerte sur un effet domino imminent : “Quand une PME tombe, c’est tout un écosystème local qui s’effondre : les emplois, les fournisseurs, les services locaux. Ce gouvernement ne comprend pas l’importance des PME pour la stabilité économique.”
Et n’oubliez pas : les PME ne peuvent pas délocaliser, elles. Contrairement aux multinationales, elles ne peuvent pas partir produire ailleurs pour économiser sur la main-d'œuvre ou les impôts. Elles sont prises au piège. Philippot et de Villiers parlent d’un véritable “massacre économique”. “Les multinationales vont prospérer sur les ruines des petits.”
Mais ce n’est pas un accident, c’est une stratégie. Philippot enfonce le clou : “Ils veulent une économie concentrée, où seules les grosses entreprises dominent les marchés.” Pourquoi ? Parce que c’est plus facile à contrôler. C’est la vision néolibérale : concentration, précarisation, et dépendance.
Si vous pensez que ce budget est neutre, détrompez-vous. Il est écrit par les gagnants, pour les gagnants. Et si on ne censure pas ce gouvernement maintenant, attendez-vous à voir des milliers de PME disparaître dans les trois prochaines années. Vous êtes prévenus.
6. Les services publics seront privatisés : hôpitaux et écoles d’abord
Vous croyez encore que les hôpitaux publics et les écoles rurales sont des piliers intouchables de la République ? Oubliez ça. Ils sont en train d’être démantelés sous vos yeux, méthodiquement, sans bruit. Ce budget n’est pas juste une histoire de chiffres, c’est le début de la privatisation des services essentiels. Et comme d’habitude, les premiers à souffrir seront ceux qui n’ont pas les moyens de payer des alternatives privées.
Philippe de Villiers en fait une analyse implacable : “Ils asphyxient délibérément les services publics pour que le privé devienne la seule issue possible.” C’est une technique bien connue. On coupe progressivement les financements, on laisse les hôpitaux et les écoles se dégrader, et quand la situation devient invivable, on nous explique que la seule solution est de confier ça au privé. Il appelle ça la “stratégie de l’étranglement silencieux.”
Regardez ce qui se passe déjà :
- Les écoles rurales ferment parce qu’on supprime les financements pour les petites classes.
- Les hôpitaux de proximité réduisent leurs services, faute de personnel et de moyens.
- Les maisons de retraite publiques tirent la langue, laissant le champ libre aux grands groupes privés qui facturent des milliers d’euros par mois.
Charles Gave ne mâche pas ses mots : “Ce n’est pas un budget, c’est un plan d’évacuation du secteur public.” Pourquoi ? Parce que les grandes multinationales de la santé, de l’éducation et des services sociaux sont prêtes à prendre la relève. “Quand l’État se retire, le privé prend la place, mais pas aux mêmes conditions.” Le privé, c’est plus cher, moins accessible, et entièrement orienté vers le profit.
Prenez les hôpitaux. Avec les coupes budgétaires actuelles, les délais pour obtenir un rendez-vous dans le public explosent. Le service se dégrade, et les patients finissent par se tourner vers des cliniques privées hors de prix. “C’est exactement ce qu’ils veulent,” explique de Villiers. “Une santé à deux vitesses, où seuls les riches peuvent se faire soigner correctement.”
Même scénario pour l’éducation. Les écoles rurales ferment, les familles déménagent en ville, et les écoles privées récupèrent les élèves. Dany Boon, en colère, raconte : “Dans les villages, on n’a plus de profs, plus de bus scolaires. On est en train de pousser les enfants pauvres vers l’échec scolaire.”
Et ne vous faites pas d’illusions : ce processus est irréversible. Une fois que le secteur public est détruit, il ne renaît pas. Philippot prévient : “Vous ne verrez jamais une clinique privée redevenir un hôpital public. Ce qui est privatisé reste privatisé.”
Alors, que faites-vous ? Vous attendez que votre hôpital ferme et que vos enfants doivent faire 50 km pour aller en cours ? Ou vous censurez maintenant ceux qui orchestrent ce démantèlement ? Parce que demain, ce sera trop tard.
7. Le grand écran de fumée des migrants : la diversion parfaite
Vous entendez les médias ? “Submersion migratoire”, “crise des frontières”, “explosion des flux migratoires”. À chaque fois qu’un gouvernement est en difficulté, on vous ressort le même discours. Et cette fois-ci, Bayrou ne fait pas exception. Ce n’est pas qu’une obsession : c’est un écran de fumée. Un écran destiné à cacher la vraie crise : celle de l’effondrement économique et social que ce budget est en train de provoquer.
Nicolas Dupont-Aignan le dit clairement : “Chaque fois qu’ils parlent des migrants, c’est qu’ils ont quelque chose à cacher. Aujourd’hui, ils cachent la casse sociale programmée.” On agite la peur d’une submersion fictive pour détourner l’attention des vrais problèmes : la suppression des services publics, la destruction des PME, la montée des taxes. Pendant que tout le monde débat sur les migrants, le gouvernement passe des réformes désastreuses en douce.
Philippe de Villiers, pourtant très critique sur les questions migratoires, n’est pas dupe non plus. “Ils manipulent l’opinion pour que les Français se concentrent sur une fausse menace, pendant que la vraie menace, c’est eux. Le 49.3, le budget anti-pauvres, les hausses de TVA, c’est ça le vrai danger.” Selon lui, la rhétorique migratoire sert à diviser le peuple et à masquer la réalité : “Ils veulent qu’on s’écharpe sur les migrants pour éviter qu’on s’unisse contre leur politique économique.”
Florian Philippot va encore plus loin : “Ils sont déjà en train de préparer le discours suivant : quand la crise économique éclatera, ils accuseront les migrants. Ils diront que c’est leur faute si le système social est en crise, alors que ce sera la conséquence directe de ce budget.” C’est le même schéma que dans d’autres pays européens : on détruit l’État-providence, puis on blâme les étrangers pour les pénuries.
Mais attention, ce discours de diversion n’est pas juste un jeu de communication, c’est une arme politique. Pendant que les Français se demandent si leur pays est “submergé”, Bayrou et ses alliés technocrates continuent de signer des accords avec les grands groupes privés, de couper les subventions aux petites communes et d’étrangler les indépendants avec des hausses de charges.
Charles Gave résume bien la situation : “Ce n’est pas une crise migratoire. C’est une crise de la dette, une crise des inégalités, et une crise de la dépendance économique.” Tant qu’on vous fera croire que le problème vient des migrants, vous ne poserez pas les bonnes questions :
- Pourquoi les budgets des hôpitaux sont-ils coupés ?
- Pourquoi les autoentrepreneurs sont-ils asphyxiés par la TVA ?
- Pourquoi les multinationales ne paient-elles presque pas d’impôts alors que les PME coulent ?
Et le pire ? Quand la bombe économique explosera, on utilisera cette division sociale pour empêcher toute mobilisation collective. Philippot le martèle : “Diviser pour mieux régner. Si les Français sont trop occupés à se disputer entre eux, ils ne se soulèveront pas contre ceux qui les ont trahis.”
Alors, la prochaine fois que vous entendez parler de “submersion migratoire”, posez-vous cette question : à quel autre désastre essaient-ils de vous faire fermer les yeux ?
8. L’ombre de la dette : la France devient un zombie économique
Imaginez un corps en mouvement, mais sans vie réelle. Un zombie. C’est exactement ce que la France est en train de devenir sous ce budget : une économie morte-vivante, qui avance par habitude mais se dirige droit vers l’effondrement. Et le pire, c’est que ceux qui tiennent les rênes savent parfaitement ce qui est en train de se passer. Mais ils s’en foutent, parce que vous serez les seuls à payer les pots cassés.
Charles Gave tire la sonnette d’alarme : “Ce budget n’est pas là pour redresser la France. Il est là pour acheter du temps, pour éviter que la vérité éclate en pleine lumière.” Mais quelle vérité ? Celle d’une dette incontrôlable, gonflée artificiellement pour maintenir l’illusion que tout va bien. En réalité, nous sommes en train de marcher sur une bombe à retardement économique. Et quand elle explosera, les classes moyennes seront balayées.
Le problème, explique Gave, c’est que la dette n’est plus utilisée pour investir dans l’avenir, mais pour boucher les trous d’un système défaillant. On emprunte pour payer des dépenses courantes, pour combler les déficits des caisses de retraite, pour financer des aides d’urgence... mais pas pour créer de la richesse. “C’est une fuite en avant. Ce n’est pas une dette productive, c’est une dette toxique.” Et ce poison s’infiltre partout.
Philippe de Villiers rejoint l’analyse : “Nous sommes en train de recréer les conditions de la catastrophe grecque. Mais personne ne veut le dire, parce que les politiciens savent que ce sera l’émeute dès que les Français comprendront la vérité.” Il accuse le gouvernement d’entretenir l’illusion d’un “État protecteur”, alors qu’en réalité, la dette est en train de miner les fondations mêmes de notre économie. Ce n’est plus une question de “sacrifices nécessaires”, c’est une question de survie.
Nicolas Dupont-Aignan, lui, voit les choses sous un angle géopolitique : “Cette dette est utilisée comme un outil de soumission.” Plus la France est endettée, plus elle est vulnérable face aux marchés financiers et aux institutions européennes. “Bruxelles n’a même plus besoin de nous imposer des mesures d’austérité. Nos propres dirigeants le font d’eux-mêmes, pour plaire aux créanciers.” Et qui sont ces créanciers ? Des banques, des fonds d’investissement, et des élites qui n’ont aucun intérêt à voir la France prospérer.
Mais le plus inquiétant, c’est ce qui se passera lorsque la crise de la dette éclatera. Charles Gave annonce déjà un scénario de panique : hausse des impôts, effondrement des services publics, chômage de masse. Ce ne sera pas progressif, ce sera brutal. “Et comme toujours, ce sont les classes moyennes et les petits épargnants qui seront les premières victimes.”
Vous pensez être à l’abri parce que vous avez un emploi stable, quelques économies, une maison à crédit ? Détrompez-vous. Quand la bulle de la dette éclatera, ce seront les contribuables ordinaires qui seront appelés à la rescousse. Ils augmenteront les impôts, ponctionneront les livrets d’épargne, et laisseront les banques privées indemnes. Dupont-Aignan prévient : “Regardez ce qui s’est passé à Chypre. Ils ont pris l’argent directement sur les comptes bancaires. Croyez-moi, ce n’est pas impossible ici.”
Alors, allez-vous attendre la catastrophe, ou est-ce le moment de censurer ceux qui jouent avec notre avenir comme si c’était un simple pari financier ? Ne dites pas que vous n’avez pas été prévenus.
9. Mobilisation imminente : les prochains Gilets jaunes seront des autoentrepreneurs
Souvenez-vous des Gilets jaunes. Ce mouvement qui a éclaté en 2018, parti d’une hausse des taxes sur le carburant, a secoué le pays pendant des mois. Pourquoi ? Parce qu’il ne s’agissait pas seulement de carburant. C’était un cri de révolte des classes moyennes et populaires, étouffées par un système qui les pressait jusqu’à la dernière goutte. Aujourd’hui, les mêmes conditions sont réunies, mais cette fois-ci, les autoentrepreneurs et les indépendants sont au centre de la prochaine explosion sociale.
Florian Philippot l’annonce déjà : “Ce budget va provoquer une nouvelle vague de révoltes. Ce ne sera pas les ronds-points cette fois-ci, ce sera les rues et les places publiques, et ce sont les petits entrepreneurs qui porteront la colère.” Pourquoi ? Parce que la TVA obligatoire à partir de 20 000 €, les hausses de charges et les coûts énergétiques insupportables vont les pousser au bord du précipice. Les artisans, chauffeurs VTC, développeurs web, graphistes, boulangers… Tous ceux qui ont choisi l’indépendance sont piégés.
Les premiers signes de la mobilisation sont déjà là. Des collectifs d’indépendants se créent discrètement, des chauffeurs VTC prévoient des blocages en mars, des artisans commencent à exprimer leur ras-le-bol sur les réseaux sociaux. Nicolas Dupont-Aignan soutient activement ces mouvements : “Ils ont raison de se lever. Ce budget les tue à petit feu, et si nous ne faisons rien, la France perdra sa force de travail indépendante.”
Dany Boon, lui aussi engagé pour les classes populaires, explique que les campagnes pourraient bien rallier le mouvement cette fois-ci : “Les artisans ruraux, les petits commerces qui ferment à cause des coûts d’électricité, ils sont tous au bord de l’implosion.” Si les campagnes et les autoentrepreneurs s’unissent dans la rue, ce sera le début d’un mouvement social d’une ampleur jamais vue.
Et ne croyez pas que le gouvernement l’ignore. Philippe de Villiers l’affirme : “Ils savent que la colère monte. Ils essaient de la contenir avec des primes ponctuelles et des promesses de revalorisation des aides, mais ça ne suffira pas.” Parce que cette fois, ce n’est pas une revendication isolée. C’est une révolte contre un système entier.
Charles Gave prédit même un effet boule de neige : “Ce ne sera pas qu’un mouvement de contestation. Ce sera une remise en question fondamentale du modèle économique et politique actuel.” Un modèle où les petits paient pour les gros. Où les indépendants sont écrasés par la TVA pendant que les multinationales font des bénéfices record. Où les campagnes sont laissées pour mortes pendant que les grandes métropoles prospèrent.
Si vous pensez que la prochaine mobilisation sera encore une petite vague de manifestations dispersées, détrompez-vous. Cette fois, ce sont les autoentrepreneurs – des travailleurs qui n’ont plus rien à perdre – qui prennent les devants. Et lorsqu’un indépendant est dos au mur, il ne négocie pas. Il agit.
Alors posez-vous cette question : serez-vous parmi eux, ou attendrez-vous qu’ils se battent seuls jusqu’à ce qu’il soit trop tard ?
10. Conclusion : la censure est un devoir national
Censurer un gouvernement, ce n’est pas un caprice. C’est un acte de survie. Quand les décisions prises dans les bureaux ministériels mettent en péril la vie économique des autoentrepreneurs, des PME, des artisans, des commerçants, et qu’elles étranglent les classes moyennes sous un fardeau de taxes et de charges, ne pas censurer, c’est accepter l’effondrement.
Philippe de Villiers le résume brutalement : “Censurer Bayrou, c’est censurer le système qui vend la France à la découpe.” Parce que ce budget n’est pas un simple plan d’ajustement. C’est un signal de fin de partie. Une fois qu’il sera adopté et appliqué, la privatisation des services publics sera presque irréversible. Les petits entrepreneurs seront réduits à l’état de salariés précaires, soumis aux géants du CAC 40. Et la dette continuera de gonfler jusqu’à ce qu’elle explose en pleine figure des contribuables.
Nicolas Dupont-Aignan appelle à une prise de conscience urgente : “Si ce gouvernement survit, vous perdrez vos écoles locales, vos hôpitaux de proximité, et votre indépendance économique. Chaque jour qui passe sans qu’on les censure est un jour de plus où votre avenir s’assombrit.”
Florian Philippot, lui, met en garde contre l’inaction : “Laisser passer ce budget, c’est accepter 10 ans de privatisations, de coupes, et de précarité généralisée. Ce n’est pas juste une question de censure parlementaire, c’est une bataille pour la survie des classes moyennes.”
Mais ce n’est pas uniquement une bataille économique. C’est une bataille idéologique. Ce budget, avec son recours au 49.3, est un symbole de l’autoritarisme technocratique. Charles Gave explique que “quand un gouvernement impose un budget sans débat, il ne gouverne plus. Il administre un système d’élites déconnectées.” Et ce système ne changera pas si vous ne le forcez pas à changer.
La censure, dans ce contexte, n’est pas un geste symbolique. C’est la seule arme légale qu’il nous reste. Une arme pour stopper la privatisation rampante, pour empêcher les grandes firmes de s’accaparer les marchés, pour protéger les services publics, et pour éviter que les autoentrepreneurs soient sacrifiés.
Mais la vraie question, c’est : qu’allez-vous faire ? Est-ce que vous allez laisser ce gouvernement vous ruiner, fermer vos écoles, et transformer votre village en désert économique ? Ou allez-vous agir, partager cet article, et rejoindre la vague de mobilisation qui monte ?
Philippe de Villiers l’a dit, et il a raison : “Ce n’est pas juste Bayrou qu’il faut censurer. C’est tout un système qui doit tomber.” Ne restez pas spectateurs. Prenez position. Parce que si vous ne bougez pas maintenant, demain, il ne restera plus rien à sauver.
Alors, que faites-vous ?
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