Le grand mensonge Covid : contrats secrets, victimes oubliées, et la prochaine crise en embuscade

I. OUVERTURE : LE MENSONGE QUI DÉVOILE LE SYSTÈME

"On nous a pris pour des idiots. Mais pire que ça, on nous a pris pour des cobayes."

Il ne s’agit pas simplement de faux pas, d’erreurs d’aiguillage ou de "gestion imparfaite" d’une crise sans précédent. Non. Ce que vous êtes sur le point de lire pourrait bien vous donner envie de revoir tout ce que vous avez cru au sujet de cette pandémie et de ce qu’elle a détruit sur son passage. Des vies humaines. Des économies. Des vérités. Un système qui n’a jamais fonctionné pour nous, mais contre nous.

Revenons au début. Vous vous souvenez du printemps 2020, ce moment où l’on nous a demandé de rester chez nous pour "quelques semaines" et où on voyait des vidéos terrifiantes de médecins en combinaison intégrale, comme si nous étions plongés dans un film catastrophe hollywoodien ? Le confinement, disait-on, était notre seule chance de survie. Puis est venu le déluge : les masques qui ne servaient à rien avant de devenir obligatoires, les tests déployés à la va-vite, et enfin, la solution-miracle : le vaccin. À chaque étape, il fallait obéir, sans poser de questions. Parce que si vous posiez des questions, vous deveniez un danger public.

Mais voilà, les questions n’ont jamais cessé de surgir, et elles ne disparaissent pas, même aujourd’hui. Pourquoi certains documents liés à la gestion de la crise ont-ils été classifiés pendant 50 ans ? Pourquoi les victimes d’effets secondaires sont-elles si vite réduites au silence ? Pourquoi les gouvernements n’ont-ils jamais envisagé d’autres solutions, malgré les alertes de nombreux médecins sur le terrain ? Ce n’est pas de la paranoïa. Ce sont des faits.

Écoutez le témoignage de cet homme de 43 ans, père de deux enfants :
"Je me suis fait vacciner parce que je devais rendre visite à ma mère malade en maison de retraite. On n’avait pas le choix. Trois mois plus tard, j’ai commencé à avoir des douleurs au thorax. Diagnostic : myocardite post-vaccinale. Aujourd’hui, je suis sous traitement à vie."

Lui, il n’est pas un cas isolé. Il y en a des milliers. Certains souffrent en silence. D’autres n’ont pas eu la chance de pouvoir témoigner.

Il est temps de s’interroger. Pas sur les morts du Covid – ils sont réels, bien sûr. Mais sur la manière dont la peur a été utilisée comme un levier de contrôle, une arme sociale capable de museler les voix dissidentes. Est-ce qu’on a combattu une maladie, ou est-ce qu’on a assisté à la plus grande opération de manipulation du XXIe siècle ? Si vous pensez que cette question est exagérée, tant mieux : continuez à lire, et préparez-vous à être surpris.

II. COMMENT LE GOUVERNEMENT A CRÉÉ UNE ILLUSION DE CONTRÔLE

Le vrai génie d’une manipulation réussie, c’est de la rendre indétectable à ceux qui en sont victimes. Et sur ce coup-là, il faut bien l’admettre : ils ont été bons. Très bons. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est ce que révèlent les faits. On vous a servi un scénario écrit d’avance, avec des personnages soigneusement sélectionnés : le scientifique messianique, le ministre paternaliste, et bien sûr, le grand méchant invisible, le virus lui-même.

A. Les modèles catastrophes : la prophétie auto-réalisatrice

Dès le départ, on nous a bombardés de chiffres apocalyptiques. Des millions de morts annoncés, des hôpitaux qui allaient s’effondrer sous la pression. Mais posez-vous cette question : d’où venaient ces prévisions ? Ces fameux modèles mathématiques, censés prédire l’avenir mieux qu’une boule de cristal, ont été réalisés sur des bases si fragiles qu’on aurait pu les écrire sur un post-it. Résultat : une panique massive qui a justifié des mesures extrêmes.

Prenez cet homme d’affaires de 56 ans :
"Ma boîte a fermé pendant le premier confinement. Je n’ai jamais pu la rouvrir. On m’avait dit que c’était temporaire, qu’on "sacrifierait l’économie pour sauver des vies". Mais aujourd’hui, j’ai tout perdu, et je ne sais même pas si c’était nécessaire."

Les erreurs des modèles ne sont pas qu’un problème technique, elles sont un outil de contrôle politique. Faites peur, et vous ferez obéir. Et si les chiffres sont faux ? Tant pis. Le but est atteint.

B. Des contrats secrets et des laboratoires protégés

Les gouvernements ont signé des accords avec les firmes pharmaceutiques que nous ne sommes pas autorisés à lire. Pourquoi ? Vous avez bien lu. Ces contrats, qui concernent la santé de millions de personnes, sont verrouillés sous des clauses de confidentialité. La plupart des États ont renoncé à demander des comptes aux laboratoires en cas de problèmes. Autrement dit : si quelque chose tourne mal, c’est vous, le citoyen lambda, qui assumez les conséquences.

Mais attendez : pourquoi ces clauses sont-elles si cruciales ? Qu’est-ce qu’on essaie de cacher ? Certains parlent de résultats d’essais cliniques bâclés, de données ignorées volontairement pour accélérer la mise sur le marché des vaccins. Ces hypothèses ne sont plus seulement des théories : elles deviennent des pistes d’enquête.

C. Réduire au silence les voix dissidentes : la méthode implacable

Si vous avez osé critiquer la gestion du Covid à l’époque, vous vous souvenez probablement de ce qu’on vous a fait subir. Complotiste, irresponsable, anti-science. La vérité, c’est qu’il ne fallait pas que vous parliez.

Des médecins ont été suspendus. Des chercheurs ont été écartés de leurs projets. Des journalistes ont vu leurs articles censurés par les grands médias. Un scientifique m’a raconté :
"On m’a dit que si je continuais à contester les décisions officielles, je risquais de perdre mes subventions de recherche. Alors j’ai fermé ma gueule."

Ce n’était pas un débat scientifique ouvert. C’était une guerre d’opinions où le gouvernement a écrasé toute résistance par la peur sociale et professionnelle. Nous ne nous sommes pas seulement battus contre un virus. Nous nous sommes battus contre un système qui nous voulait silencieux. Et beaucoup ont perdu.

III. LES SÉQUELLES : CE QUE LES AUTORITÉS ONT MINIMISÉ

Les séquelles du Covid ne se limitent pas à une toux persistante ou à une fatigue prolongée. Ce que les autorités ont réussi à enterrer, c’est bien plus grave : des milliers de personnes vivent aujourd’hui avec des effets secondaires qui auraient dû faire la une des journaux. Mais au lieu de cela, ces histoires sont devenues des murmures à peine audibles. Les gouvernements ont minimisé, puis ignoré, puis effacé.

A. Effets secondaires graves : les dossiers oubliés

Un homme de 29 ans, autrefois marathonien, témoigne :
"J’ai reçu ma deuxième dose, et une semaine plus tard, j’ai commencé à avoir des douleurs dans la poitrine. On m’a dit que c’était "le stress". Mais quand j’ai été hospitalisé pour une myocardite, ils ont arrêté de répondre à mes appels. Aujourd’hui, je ne peux plus courir."

Ces cas de myocardites, thromboses, AVC ou troubles neurologiques ne sont pas des légendes urbaines. Ils sont réels. Mais la manière dont ils ont été gérés est digne d’un scandale d’État : on les a classés en "incidents isolés". Les chiffres officiels sont ridicules comparés à la réalité des témoignages. Et pourtant, les médecins ont reçu des consignes pour ne pas relier systématiquement ces cas aux vaccins. Officiellement, "le lien de causalité n’est pas établi". Officieusement, tout est fait pour qu’il ne le soit jamais.

B. Les "cancers turbo" : une bombe à retardement

Les "cancers turbo" sont un phénomène dont personne ne veut parler. Des tumeurs agressives et fulgurantes apparaissent chez des patients en bonne santé, souvent jeunes. Ces cas, nombreux, ont pourtant été ignorés par les autorités sanitaires. Pourquoi ? Parce qu’admettre leur existence reviendrait à ouvrir la boîte de Pandore.

Ce phénomène pourrait s’expliquer par les inflammations massives causées par la protéine Spike des vaccins ARN. Des chercheurs ont émis cette hypothèse, mais leurs études ont été rejetées sous prétexte qu’elles manquaient de données robustes. La vérité, c’est qu’on ne leur a jamais laissé le temps de rassembler ces données.
"Ma sœur avait 35 ans. Elle a développé un cancer du sein en seulement quelques mois après sa vaccination. Les médecins ont dit que c’était une coïncidence. Aujourd’hui, elle est morte, et je refuse de croire à cette coïncidence."

C. Les séquelles psychologiques : une société traumatisée

Les confinements, les pertes d’emplois, la séparation des familles… Ce que nous avons vécu n’a pas simplement affecté nos corps, mais aussi nos esprits. Des milliers de suicides ont été enregistrés dans les mois qui ont suivi les confinements. Les violences domestiques ont explosé. Les enfants souffrent encore de troubles anxieux liés à l’isolement forcé.

Un père raconte :
"Mon fils a peur des contacts humains. Il ne veut plus retourner à l’école. Chaque fois qu’il voit une foule, il panique. On m’a dit que ce serait temporaire, mais ça fait maintenant deux ans. Mon enfant ne sourit plus."

Le véritable scandale n’est pas seulement que ces séquelles existent, mais qu’elles soient considérées comme des "dommages collatéraux" acceptables. Des vies entières détruites pour une promesse de protection qui, aujourd’hui, semble de plus en plus vide de sens. Le gouvernement ne fait pas de suivi réel sur ces séquelles, car cela reviendrait à admettre son échec. Et c’est précisément pour cela que nous ne devons pas nous taire.

IV. LE PACTE DU SILENCE : POURQUOI AUCUN COMPTE N’EST RENDU

Si vous pensez qu’il suffit de prouver un tort pour obtenir justice, détrompez-vous. Dans cette affaire, la vérité n’a jamais eu le moindre pouvoir. Ce n’est pas la vérité qui décide, mais ceux qui la cachent. Pourquoi aucun des grands décideurs de cette crise ne semble inquiet ? Pourquoi tout glisse sur eux comme l’eau sur un imperméable ? C’est parce qu’ils ont scellé un pacte, et que ce pacte fonctionne.

A. Des indemnisations discrètes pour acheter le silence

Ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que certains patients ayant souffert d’effets secondaires ont été indemnisés. Pas publiquement, bien sûr. Ces paiements sont conditionnés par des accords de confidentialité. Vous acceptez l’argent, vous taisez votre histoire.

Un jeune père raconte :
"Ma femme a eu une paralysie faciale après sa deuxième injection. J’ai essayé de contacter un avocat, mais on m’a orienté vers un programme d’indemnisation spécial. On nous a proposé une somme d’argent, mais à condition de ne jamais en parler publiquement. J’ai refusé. Et depuis, nous n’avons plus de nouvelles."

Cette stratégie est imparable : vous ne pouvez pas prouver l’existence d’un scandale si les victimes elles-mêmes sont réduites au silence. Et pire encore, les indemnisations sont financées par de l’argent public. Ce sont vos impôts qui achètent leur silence.

B. Les contrats secrets : des clauses protectrices scandaleuses

Les gouvernements ont signé des contrats avec les grands laboratoires pharmaceutiques dans une opacité totale. Des clauses prévoient que les laboratoires ne peuvent être tenus responsables des effets secondaires graves. En d’autres termes : si vous tombez malade, ce n’est pas leur problème.

Les rares fuites de ces contrats révèlent des détails sidérants :
- Les États ont accepté d’acheter les vaccins même en cas d’inefficacité.
- Les labos ne sont pas obligés de divulguer les données complètes de leurs essais cliniques.
- En cas de litige, les contentieux sont traités à huis clos, loin des tribunaux publics.

En clair, tout a été fait pour que les entreprises soient intouchables. Et vous voulez le pire ? Ces informations sont protégées par des clauses de confidentialité pouvant durer des décennies.

C. Les médias complices et la manipulation de l’information

Pendant la pandémie, les grands médias ont servi de relais docile à la parole gouvernementale. Vous ne pouviez pas regarder la télévision sans être bombardé de messages pro-vaccins et de critiques acerbes envers ceux qui osaient poser des questions. Pourquoi une telle uniformité dans la narration ? Parce que les médias eux-mêmes ont bénéficié de subventions spéciales versées par l’État.

Un ancien journaliste témoigne :
"On m’a interdit de publier certains articles qui remettaient en question les données officielles. On m’a dit que cela nuirait à la "responsabilité sociale" du média. La vérité, c’est qu’ils avaient peur de perdre leurs financements publics."

Les réseaux sociaux ont aussi été de la partie. Des algorithmes ont été programmés pour diminuer la portée des contenus critiques et amplifier les messages conformes à la ligne officielle. La censure n’était pas déclarée, elle était subtile, mais efficace.

Le pacte du silence ne tient que parce que chaque maillon de la chaîne joue son rôle à la perfection : les gouvernements couvrent les labos, les médias couvrent les gouvernements, et les victimes sont priées de se taire. Mais ce pacte est fragile, car il repose sur une chose : le fait que nous, citoyens, acceptions de ne pas poser de questions. Combien de temps encore allons-nous jouer leur jeu ?

V. UNE BOMBE À RETARDEMENT : LE PIRE EST PEUT-ÊTRE DEVANT NOUS

Si vous pensez que le pire est derrière nous, détrompez-vous. Ce que nous avons vécu pourrait n’être qu’un prélude. Un échauffement avant la vraie tempête. Ce n’est pas du catastrophisme, c’est une analyse des tendances : les dettes colossales, les technologies médicales incontrôlées, et une population traumatisée, prête à accepter tout ce qu’on lui impose "pour sa sécurité". Le terrain est prêt pour la prochaine crise.

A. La dette Covid : un piège financier planétaire

Le Covid n’a pas seulement laissé des cicatrices médicales. Il a creusé un trou béant dans nos finances publiques. En deux ans, des centaines de milliards ont été dépensés : subventions aux entreprises fermées, aides d’urgence, et surtout, des commandes de vaccins par millions de doses, parfois excédentaires et inutilisées.

Cette dette, vous allez la payer. Pas maintenant, mais progressivement, à travers les impôts, l’inflation et la précarisation des classes moyennes. Le plus insidieux ? Ce trou financier a été volontairement gonflé. Pendant que les citoyens se débattaient pour boucler leurs fins de mois, les multinationales, elles, ont vu leurs profits exploser.

Un restaurateur, ruiné par les confinements, témoigne :
"J’ai dû fermer mon restaurant, vendre ma maison et déménager chez mes parents. Pendant ce temps, je voyais les grandes chaînes de livraison de repas faire des chiffres record. Et aujourd’hui, on me demande de "comprendre" que c’était nécessaire. Comprendre quoi ? Que j’ai servi de chair à canon économique ?"

Le Covid a permis une redistribution massive des richesses : des millions de petites entreprises ont coulé, mais les grandes multinationales ont prospéré. Et cette dette, paradoxalement, est devenue une arme de domination. Chaque futur investissement public, chaque nouvelle crise, sera justifié par la nécessité de "combler la dette Covid".

B. La prochaine pandémie est déjà en préparation

On nous parle déjà de futures "pandémies périodiques". Mais demandez-vous pourquoi. Pourquoi est-ce soudain devenu inévitable ? Peut-être parce que certaines institutions ont trouvé le modèle parfait : un mélange de crise sanitaire, de contrôle social et de profits astronomiques.

Des vaccins ARN sont déjà en développement pour d’autres virus respiratoires. Certains gouvernements ont déjà signé des accords préliminaires avec les mêmes laboratoires. Les cartes sont prêtes, il ne manque que le coup de départ.

Un ancien conseiller de l’OMS a récemment confié :
"La pandémie de Covid a servi de répétition générale. Les mécanismes sont en place pour gérer la prochaine crise avec encore plus de fermeté et moins de tolérance pour la contestation."

Mais voici la question qui dérange : la prochaine crise sera-t-elle naturelle ou fabriquée ?

C. Un peuple prêt à tout accepter : le vrai danger

Ce n’est pas le virus qui est le vrai danger. C’est notre capacité collective à tout accepter, sans poser de questions. Nous avons été enfermés, masqués, piqués, surveillés. Et à chaque étape, la majorité a accepté sans broncher. Pourquoi ? Parce que la peur était trop forte. Parce que ceux qui résistaient étaient stigmatisés.

Un étudiant raconte :
"J’étais contre le pass sanitaire, mais je n’ai rien dit. J’avais trop peur qu’on me traite de complotiste ou qu’on m’interdise l’accès à l’université. Aujourd’hui, je regrette de ne pas avoir eu le courage de parler."

Ce qui nous attend, si nous ne changeons rien, c’est un cycle sans fin. Une crise, suivie d’une solution imposée, suivie d’un endettement supplémentaire, suivie d’un contrôle accru. Et à chaque fois, nos libertés reculeront d’un cran. La vraie bombe à retardement, ce n’est pas seulement la prochaine pandémie. C’est notre résignation. Combien de temps encore allons-nous attendre avant d’exiger des comptes ?

VI. CONCLUSION : RESTERONS-NOUS LES MOUTONS DU SYSTÈME ?

"Il n’y aura pas de retour à la normale, car la normale n’était qu’une illusion." Voilà ce que nous devons comprendre. Ce que nous avons vécu n’était pas simplement une crise sanitaire. C’était une démonstration brutale de pouvoir : celui d’une poignée de décideurs capables de suspendre nos libertés, de manipuler l’information et de nous faire accepter l’inacceptable au nom de notre "sécurité". Mais la vraie question, maintenant, est la suivante : allons-nous laisser cette leçon disparaître dans l’oubli collectif ?

Regardez autour de vous. Combien de ceux qui ont souffert osent encore parler ? Les familles brisées, les commerces ruinés, les victimes des effets secondaires abandonnées. Chacune de ces histoires est une preuve vivante que le système a échoué, et pourtant, ces preuves sont systématiquement ignorées. Pourquoi ? Parce qu’admettre l’échec reviendrait à s’autodétruire. Alors, ils préfèrent nous faire oublier.

Un ancien chef d’entreprise témoigne :
"Quand mon restaurant a fermé, on m’a dit que c’était temporaire. Quand ma femme a fait un AVC après son vaccin, on m’a dit que c’était une coïncidence. Quand j’ai cherché justice, on m’a dit que le temps des comptes viendrait. Je ne veux plus attendre. J’ai attendu assez longtemps."

Ce témoignage, c’est celui d’un homme qui a compris qu’aucun compte ne sera rendu tant que nous resterons passifs. Le gouvernement ne se jugera pas lui-même. Les laboratoires ne se dénonceront pas. Les médias ne reconnaîtront pas leur complicité. Alors qui le fera ? Nous. Vous. Moi. Ceux qui refusent de tourner la page.

L’idée n’est pas de sombrer dans la vengeance ou la haine. Ce qu’il nous faut, c’est des enquêtes indépendantes, des tribunaux citoyens, des commissions internationales capables de creuser là où les gouvernements ont fermé la porte. Nous devons exiger des réponses, des sanctions, et surtout, des garanties que cela ne se reproduira pas.

La peur ne doit plus être notre boussole. Si nous ne bougeons pas, alors la prochaine crise nous trouvera encore plus vulnérables, encore plus soumis. Mais si nous choisissons d’agir maintenant, nous pourrons briser ce cycle infernal. La question est : voulez-vous vraiment être spectateur, encore une fois ?

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