Bill Gates : Le Grand Bluff du Temps et de la Technologie

1. Introduction – Bill Gates, un génie ou un escroc du continuum espace-temps ?

Imaginez un monde où Bill Gates n’est qu’un nerd sans talent, un petit malin incapable d’écrire la moindre ligne de code sans bug, mais qui, par un incroyable coup du sort, devient l’empereur du logiciel. Trop gros pour être vrai ? C’est pourtant ce qui s’est passé.

Alors soyons sérieux deux secondes : comment un type qui n’a jamais inventé quoi que ce soit, qui s’est contenté de racheter un OS bricolé à la va-vite (MS-DOS) et de coller une interface mal foutue dessus, a pu dominer la tech pendant des décennies ?

Et si tout cela n’était qu’un coup de maître… de la machine à voyager dans le temps ? Parce qu’à bien y regarder, il y a beaucoup trop d’incohérences dans l’ascension du bonhomme. Un peu comme si un touriste du futur était revenu dans les années 70 avec un plan bien précis pour piquer les bonnes idées aux bonnes personnes, et s’approprier l’informatique mondiale.

Bill Gates, un voyageur temporel sans scrupules ? On s’accroche, ça va secouer.


2. MS-DOS : Le vol du siècle – ou comment braquer IBM sans arme ni talent

Le mythe veut que Bill Gates, jeune génie de l’informatique, ait conclu un deal légendaire avec IBM en leur refourguant un OS révolutionnaire. Problème : cet OS, il ne l’avait même pas écrit. En réalité, il l’a racheté pour une poignée de dollars à un programmeur indépendant, Tim Paterson, qui avait lui-même bricolé un clone de CP/M, le vrai OS de l’époque.

Là où Gates a été malin (ou chanceux ?), c’est qu’IBM, dans son infinie stupidité, a signé un contrat dans lequel Microsoft gardait la propriété de MS-DOS. Résultat ? IBM vendait des PC à la pelle, mais c’est Microsoft qui faisait fortune avec la licence du système d’exploitation.

Steve Jobs aurait pu dire :

« Bill Gates, c’est le gars qui vole ton vélo et qui revient te le vendre en te faisant croire que c’est lui qui l’a inventé. »

C’était le début de l’arnaque du siècle.


3. Windows : Quand Xerox et Apple se font enfler en beauté

Quand Microsoft a sorti Windows en 1985, il s’agissait déjà d’une copie éhontée. L’interface graphique n’était ni une invention de Bill Gates, ni même de Microsoft. Elle venait de Xerox PARC, qui l’avait développée sans imaginer qu’un jour, quelqu’un serait assez vicieux pour la commercialiser sans vergogne.

Steve Jobs, lui, avait flairé le bon coup et bossait sur le Macintosh. Mais Gates, toujours avec son flair d’opportuniste absolu, s’est pointé chez Apple, a récupéré leurs idées en mode « je veux juste tester », puis a sorti son propre Windows.

Linus Torvalds aurait pu ironiser :

« Si Gates avait dû coder un vrai OS, il serait encore en train de chercher pourquoi son terminal affiche ‘Syntax Error’. »

Et pourtant, c’est lui qui a gagné la guerre.


4. Bill Gates, philanthrope ou businessman avec un scalpel ?

À ce stade, Bill Gates a compris un truc :
1. Voler la tech, ça marche, mais ça finit par se voir.
2. Devenir le « sauveur de l’humanité », c’est mieux pour l’image.

C’est là qu’arrive la Bill & Melinda Gates Foundation, qui balance des milliards pour « éradiquer la pauvreté », « sauver les enfants » et surtout… breveter des traitements médicaux dans les pays pauvres.

Jack Tramiel (Commodore) aurait pu ricaner :

« Un vrai entrepreneur ne donne rien gratuitement, sauf si ça lui rapporte au centuple. »

Alors, pourquoi tant de générosité ? Parce que derrière les vaccins et les médicaments soi-disant humanitaires, il y a toujours des brevets et des investissements massifs dans les labos pharmaceutiques. Résultat : les pays pauvres deviennent dépendants de ses solutions. Générosité ? Non. Business.


5. Le Bug de l’An 2000 : et si tout ça était prévu ?

Le fameux bug de l’An 2000, une faille censée plonger le monde dans le chaos, a surtout permis à Microsoft de vendre des mises à jour d’urgence à prix d’or. Curieusement, c’est Windows qui était le plus vulnérable… alors que les autres systèmes (comme Linux ou les vieilles bécanes Atari) n’avaient aucun problème.

Les créateurs de l’Atari ST auraient pu lâcher :

« C’est drôle comme les catastrophes informatiques concernent toujours Microsoft, jamais les systèmes bien foutus. »

Une pure coïncidence, bien sûr.


6. La privatisation du savoir : quand Gates verrouille la tech

Au fil des années, Gates s’est rendu compte qu’il pouvait pousser le délire encore plus loin : breveter des logiciels, breveter du code, breveter des algorithmes.

Richard Stallman (GNU/Linux) aurait crié au scandale :

« Breveter du code, c’est voler les idées du domaine public ! »

C’est ainsi que Microsoft a réussi à s’approprier des concepts qui auraient dû appartenir à tout le monde. C’est aussi pour ça qu’aujourd’hui, la moindre innovation technologique dépend d’un écosystème de licences contrôlé par une poignée d’entreprises… avec Microsoft toujours au centre du jeu.


7. Conclusion – Bill Gates, l’homme qui a hacké l’histoire ?

Alors, que retenir de cette belle fable ?

Bill Gates est-il un génie ? Oui, mais pas en informatique. C’est un maître de la récupération, du deal douteux et de la manipulation médiatique.

Steve Wozniak aurait pu avouer :

« Gates a toujours su manipuler les gens. Même nous, on l’a sous-estimé. »

Son véritable talent, ce n’est pas d’avoir créé quoi que ce soit, c’est d’avoir su être au bon endroit au bon moment, avec les bonnes idées… piquées aux bonnes personnes.

Et si tout cela était un plan pré-écrit par un voyageur du futur ? Ça expliquerait pas mal d’incohérences, non ?

Quoi qu’il en soit, la prochaine fois que vous maudirez un écran bleu de la mort, souvenez-vous que Bill Gates n’a peut-être pas inventé Windows… mais il a sûrement inventé la plus grande escroquerie de l’histoire de la tech.

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