Macron veut sa guerre : qui va payer et qui va mourir ?

Introduction : L’Europe, ce canard boiteux qui veut jouer au faucon

Alors voilà, l’Amérique de Trump a décidé de plier bagage et de laisser l’Europe toute seule face à son caprice guerrier. C’est un peu comme ces gamins riches qui, après avoir cassé un jouet, le refilent à leur petit frère en disant : « Allez, débrouille-toi avec ça ! » Sauf que là, le jouet en question, c’est une guerre, et le petit frère, c’est une Union européenne déjà ruinée par ses propres âneries économiques.

Du coup, qui va raquer pour financer cette lubie belliqueuse ? L’Allemagne ? Elle hésite. La France ? Elle râle. L’Italie ? Elle fait semblant de ne pas entendre. Bref, tout le monde se regarde en chien de faïence, pendant que Zelensky, en bon VRP du malheur, fait du porte-à-porte en réclamant des milliards avec la finesse d’un vendeur de photocopieuses.

Mais ne vous inquiétez pas, Emmanuel Macron, lui, a une solution : il est prêt à jouer les Churchill low-cost et à se poser en grand stratège de la guerre. Pas pour sauver l’Ukraine, non, mais pour sauver sa place en 2027. Parce que, soyons honnêtes, un bon conflit, c’est la meilleure excuse pour repousser les élections. Plus besoin de convaincre les Français quand on peut leur imposer la loi martiale.

Alors, la vraie question est : êtes-vous prêts à casser votre Livret A pour offrir des missiles à Kiev ? À envoyer vos gamins se faire trouer la peau pour des oligarques ukrainiens ? Parce que si vous ne l’êtes pas, il va peut-être falloir commencer à vous poser des questions sur la direction que prend cette Europe en roue libre.

Bienvenue dans cette farce géopolitique où les Européens payent, les Ukrainiens meurent, et les Américains rigolent. Accrochez-vous, ça va secouer.

1. L’Amérique s’en lave les mains : l’Europe face à son miroir

Coup de théâtre ! L’Amérique de Trump a décidé de plier bagage et de laisser l’Europe toute seule face à son caprice guerrier. C’est un peu comme ces gamins riches qui, après avoir cassé un jouet, le refilent à leur petit frère en disant : « Allez, débrouille-toi avec ça ! » Sauf que là, le jouet en question, c’est une guerre, et le petit frère, c’est une Union européenne déjà ruinée par ses propres âneries économiques.

Du coup, qui va raquer pour financer cette lubie belliqueuse ? L’Allemagne, avec son nouveau chancelier Friedrich Merz, qui découvre que réarmer une nation coûte un bras et qu'il ne reste plus que les saucisses pour nourrir l'armée ? La France, où Macron est prêt à vendre ses chaussettes pour rester dans le game ? L’Italie, qui fait semblant de ne pas entendre ? Bref, tout le monde se regarde en chien de faïence, pendant que Zelensky, en bon VRP du malheur, fait du porte-à-porte en réclamant des milliards avec la finesse d’un vendeur de photocopieuses.

Mais ne vous inquiétez pas, Emmanuel Macron, lui, a une solution : il est prêt à jouer les Churchill low-cost et à se poser en grand stratège de la guerre. Pas pour sauver l’Ukraine, non, mais pour sauver sa place en 2027. Parce que, soyons honnêtes, un bon conflit, c’est la meilleure excuse pour repousser les élections. Plus besoin de convaincre les Français quand on peut leur imposer la loi martiale.

Alors, la vraie question est : êtes-vous prêts à casser votre Livret A pour offrir des missiles à Kiev ? À envoyer vos gamins se faire trouer la peau pour des oligarques ukrainiens ? Parce que si vous ne l’êtes pas, il va peut-être falloir commencer à vous poser des questions sur la direction que prend cette Europe en roue libre.

Bienvenue dans cette farce géopolitique où les Européens payent, les Ukrainiens meurent, et les Américains rigolent. Accrochez-vous, ça va secouer.

2. Zelensky : du héros médiatique à l’escroc international

Ah, Volodymyr Zelensky. Souvenez-vous de ce comédien qui faisait rire l'Ukraine avant de décider que jouer au président serait une bonne idée. Et le monde occidental, toujours avide de nouvelles stars, l'a accueilli à bras ouverts. Mais derrière le sourire charmeur et les discours enflammés, que se cache-t-il vraiment ?

L'Ukraine ou l'art de transformer l'aide internationale en trésor personnel

Depuis le début du conflit, des milliards ont afflué en Ukraine. Des aides humanitaires, des prêts, des dons... Mais combien de cet argent est réellement arrivé jusqu'à ceux qui en avaient besoin ? Les rapports sur la corruption endémique en Ukraine ne datent pas d'hier. Et pourtant, nos chers dirigeants européens continuent de signer des chèques en blanc, espérant que, cette fois, l'argent sera bien utilisé. Einstein disait que la folie, c'est de répéter la même action en espérant un résultat différent. Nos leaders devraient peut-être méditer là-dessus.

Zelensky, le VRP de la guerre

Il est fascinant de voir comment Zelensky a su capitaliser sur la situation. Chaque apparition publique est une masterclass en manipulation émotionnelle. Il sait exactement quels boutons presser pour obtenir ce qu'il veut. Et pendant ce temps, les caisses européennes se vident, les citoyens se serrent la ceinture, mais tout va bien : nous soutenons la démocratie, n'est-ce pas ?

Les médias occidentaux : complices ou dupes ?

Il est également intéressant de noter comment les médias occidentaux ont érigé Zelensky en héros sans faille. Toute critique à son égard est immédiatement étouffée ou qualifiée de propagande pro-russe. Cette absence totale de nuance est non seulement dangereuse, mais elle empêche également un véritable débat sur l'efficacité et la moralité de notre soutien inconditionnel à son régime.

En fin de compte, il serait peut-être temps de retirer nos lunettes roses et de voir la réalité en face. Soutenir l'Ukraine, oui, mais pas à n'importe quel prix, et certainement pas sans poser les questions qui fâchent.

3. Macron, ou comment une guerre pourrait lui éviter la porte en 2027

Ah, Emmanuel Macron… Le président qui voulait être Jupiter, mais qui finit par ressembler à un stagiaire en gestion de crise. Ses sondages plongent plus vite qu’un Rafale sans kérosène, la grogne sociale est à son comble, et même son propre camp commence à le lâcher. Alors, comment éviter la sortie humiliante en 2027 ? Facile : une bonne vieille guerre pour suspendre les élections.

La recette classique du dictateur en difficulté

Dans l’histoire, combien de dirigeants en fin de règne ont utilisé la guerre comme dernière carte pour se maintenir en place ? Une petite crise internationale bien orchestrée, une montée en puissance du discours guerrier, et hop, on impose l’état d’urgence, on reporte les élections, et on continue à jouer les chefs d’État indéboulonnables.

Macron l’a bien compris : une France en guerre, c’est une France où il peut renforcer son pouvoir sous couvert de « situation exceptionnelle ». Plus besoin de parlement, plus besoin de référendum, tout passe en mode décrêt d’urgence. Une aubaine pour un président qui rêve de gouverner sans opposition.

L’Europe complice du plan Macron

Et bien sûr, l’Union européenne ne dira rien. Au contraire, elle applaudira même l’initiative. Bruxelles veut cette guerre contre la Russie, pas pour défendre la liberté (soyons sérieux deux minutes), mais parce qu’un conflit leur permet de justifier encore plus de contrôle sur les États membres, encore plus de dépenses militaires, et encore moins de souveraineté nationale.

Et les Français dans tout ça ?

Pendant ce temps, les citoyens se demandent si leur Livret A va être ponctionné pour acheter des missiles, si leurs enfants seront envoyés au front, et si l’essence atteindra 5 euros le litre sous prétexte d’effort de guerre. Mais qu’ils se rassurent : Macron fera de beaux discours sur la solidarité et l’unité, pendant que son gouvernement imposera de nouvelles taxes et restrictions pour financer cette folie.

Alors, si vous pensiez pouvoir voter en 2027, réfléchissez-y à deux fois. Avec Macron et l’UE aux commandes, il se pourrait bien qu’une « crise exceptionnelle » vous prive de ce petit plaisir démocratique.

4. Qui veut aller se battre ? Évidemment, personne.

Ah, la grande mobilisation pour défendre l’Ukraine… Enfin, surtout derrière un écran. Parce que quand il s’agit d’aller sur le terrain, bizarrement, il n’y a plus grand monde. Les plateaux télé sont remplis d’experts militaires autoproclamés, prêts à expliquer comment gagner la guerre en trois PowerPoints, mais dès qu’il faut chausser des rangers, c’est silence radio.

Les donneurs de leçons planqués

Les politiciens, eux, adorent jouer aux généraux de salon. Macron parle de ne pas « exclure » l’envoi de troupes, tout en sachant pertinemment que ni lui ni aucun de ses ministres ne mettra un pied sur le front. Ceux qui prônent l’escalade sont les mêmes qui n’ont jamais fait leur service militaire et qui paniqueraient à la moindre coupure de courant.

Les Français prêts à mourir pour Kiev ? Vraiment ?

Soyons sérieux. Quel Français, aujourd’hui, veut aller risquer sa peau en Ukraine ? Personne. La plupart des citoyens peinent déjà à boucler leur fin de mois, se demandent comment payer leur facture de chauffage, et voient leur pays sombrer dans une crise économique et sociale. Leur dire maintenant qu’ils doivent se battre pour défendre Zelensky ? Bonne chance.

La Légion étrangère ukrainienne : du volontariat à la réalité du mercenariat

Mais attention, Kiev a sa solution : une Légion étrangère ukrainienne, composée de « volontaires » venus du monde entier. Enfin… volontaires, c’est un bien grand mot. Beaucoup s’y retrouvent parce qu’ils n’ont pas d’autre choix économique, ou parce qu’on leur a vendu une guerre romantique à la sauce hollywoodienne. Ils débarquent avec l’idée qu’ils vont « défendre la liberté », et réalisent rapidement qu’ils sont de la chair à canon pour un gouvernement qui les considère comme jetables.

En clair, personne ne veut vraiment cette guerre, sauf ceux qui y voient une opportunité politique ou financière. Les citoyens, eux, veulent juste qu’on les laisse vivre leur vie, sans qu’on vienne les enrôler de force dans un conflit qui ne les concerne pas. Mais avec Macron et l’UE à la manœuvre, combien de temps encore avant que cette option ne devienne une réalité ?

5. L’Europe paie pendant que les USA et la Russie encaissent

C’est toujours la même histoire : l’Europe joue au preux chevalier, mais c’est elle qui finit ruinée pendant que les autres comptent les billets. Macron et Bruxelles ont voulu se mettre en première ligne dans cette guerre ? Très bien, mais qu’ils expliquent aux Européens pourquoi ils sont les seuls à passer à la caisse pendant que les États-Unis et la Russie tirent leur épingle du jeu.

Les Américains de Trump : bons joueurs, mais pas idiots

Trump l’a dit clairement : l’Ukraine, c’est pas son problème. L’Amérique n’a aucun intérêt à s’enfoncer dans un conflit qui ne rapporte rien à ses citoyens. Pourquoi continuer à déverser des milliards alors que les infrastructures américaines sont en ruine, que l’économie post-COVID est toujours fragile, et que l’inflation frappe fort ? Il a fait ses calculs : mieux vaut laisser les Européens se saigner et vendre aux enchères leurs derniers restes de souveraineté.

Poutine joue le temps et gagne sur tous les tableaux

Pendant que l’Occident s’épuise, Moscou observe et s’adapte. La Russie, qu’on annonçait ruinée sous les sanctions, continue à vendre son gaz, son pétrole et ses ressources naturelles à prix d’or. Mieux encore, elle a renforcé ses alliances avec la Chine, l’Inde, et une bonne partie des pays du Sud global, pendant que l’Europe s’isolait et s’enfermait dans une logique suicidaire de guerre économique.

L’UE : championne du sabotage économique

Et pendant ce temps, que fait l’Union européenne ? Elle s’étrangle avec ses propres sanctions. Plus d’énergie bon marché, des entreprises qui ferment à la pelle, une inflation galopante, et des citoyens qui n’en peuvent plus. Mais attention, Bruxelles a une solution : demander encore plus d’argent aux contribuables et les priver toujours plus de libertés.

Résultat : pendant que Washington et Moscou avancent leurs pions, l’Europe s’effondre en pensant jouer les héros. Macron et ses alliés veulent faire croire qu’ils maîtrisent la situation, mais la réalité est simple : ce sont eux qui ont mis notre économie sur la voie du crash, tout ça pour un conflit dont nous n’avions aucun besoin.

6. Macron vous enverra-t-il au front demain ?

On commence toujours par de petits pas. D'abord, on évoque « l’hypothèse » d’envoyer des troupes. Ensuite, on insiste sur la nécessité d’être « solidaires avec l’Ukraine ». Puis, on prépare discrètement les esprits avec des discours héroïques sur le devoir de défense de la démocratie. Et un matin, surprise : vous recevez une jolie convocation pour aller jouer à Call of Duty, version réelle et sans respawn.

Le Service National Universel : un avant-goût de conscription ?

Macron nous l’a déjà servie, sa blague du Service National Universel (SNU). Un programme « éducatif », soi-disant destiné à renforcer l’esprit civique chez les jeunes. Mais si on lit entre les lignes, on comprend bien qu’il prépare le terrain pour un futur enrôlement obligatoire. Aujourd’hui, c’est du volontariat. Demain, ce sera « pour la patrie ». Et après-demain ? Pour Kiev ?

Refuser d’aller se battre : patriote ou déserteur ?

Si demain, Macron et ses sbires décidaient de mobiliser les Français pour aller défendre l’Ukraine, quelle serait la réaction ? Une immense majorité refuserait. Et c’est bien normal. Ce n’est pas notre guerre. Mais attention : ceux qui refuseraient pourraient bien être traités en lâches, voire en traîtres à la République. Après tout, ce serait un « devoir européen », non ?

Pourquoi mourir pour Zelensky alors que la France part déjà en morceaux ?

Les Français galèrent à payer leur loyer, leur carburant, leurs courses. Nos hôpitaux sont en crise, nos écoles en déclin, notre industrie en ruine. Et on voudrait nous faire croire que la priorité, c’est d’aller se battre pour un pays corrompu dirigé par un ancien comédien ? C’est une blague ? Si Macron veut absolument jouer à Napoléon, qu’il enfile un gilet pare-balles et qu’il parte en première ligne.

Soyons clairs : la France n’a aucun intérêt à entrer dans ce conflit. La seule raison pour laquelle Macron joue au stratège militaire, c’est pour protéger son avenir politique et satisfaire l’UE. Mais les Français, eux, n’ont aucune envie d’être envoyés dans une guerre qu’ils n’ont jamais demandée.

7. Donner son Livret A pour financer la guerre ? Un vol organisé.

Ah, le Livret A… Cet argent que les Français mettent de côté pour leurs projets, leurs enfants, ou tout simplement pour survivre aux crises économiques provoquées par nos chers dirigeants. Mais voilà, avec une guerre qui coûte des milliards et une Europe qui veut jouer à la grande puissance militaire, l'idée germe doucement dans l'esprit de nos élites : et si on vous prenait un petit pourcentage, juste par « solidarité » ?

Les caisses sont vides, mais la guerre, ça passe toujours

On nous explique depuis des années qu’il n’y a plus d’argent pour les retraites, pour les hôpitaux, pour les services publics… Mais pour envoyer des chars et des missiles en Ukraine, bizarrement, on trouve toujours quelques milliards sous le tapis. Plutôt pratique, non ?

Et si les Français ne veulent pas payer volontairement, pas de souci, on leur fera une petite ponction discrète. Une nouvelle taxe « temporaire » (qui ne le sera jamais), une obligation de guerre camouflée, ou un prélèvement direct sur l’épargne… tout est possible quand un gouvernement est aux abois.

Quand Macron voudra « mobiliser l’effort national »…

On connaît la chanson : un beau discours sur la nécessité de faire preuve de solidarité, de défendre la liberté, de ne pas « baisser les bras face à la menace russe ». Et hop, une nouvelle loi passée en catimini pour siphonner les économies des citoyens sous prétexte de soutenir la démocratie en Ukraine.

Macron et ses amis européens savent que demander aux Français de sortir directement leur chéquier pour acheter des missiles ne passerait pas. Alors, autant faire ça en douce.

Comment se protéger ?

Si l’histoire nous a appris quelque chose, c’est que l’État ne se prive jamais de mettre la main dans la poche des citoyens quand ça l’arrange. Il est donc temps de se poser la question : où placer son argent pour éviter les mauvaises surprises ? Parce que quand un gouvernement commence à parler de « contribution exceptionnelle », il faut comprendre « racket organisé ».

Les Français ne sont pas dupes. Ils savent que leur argent n’a pas à servir à financer une guerre qui ne les concerne pas. Mais encore faut-il être prêts à réagir avant que l’arnaque ne devienne une réalité.

8. Poutine, l’homme que l’Europe refuse de comprendre

Depuis 2014, et encore plus depuis 2022, Vladimir Poutine est devenu le grand méchant du récit occidental. On l’accuse de tous les maux : impérialiste, dictateur, criminel de guerre… Pendant ce temps, l’UE et les États-Unis se posent en défenseurs du « monde libre », comme si leurs propres guerres et manipulations passées n’avaient jamais existé.

Mais soyons honnêtes : la Russie défend ses intérêts, comme n’importe quelle grande puissance. Elle ne fait ni plus ni moins que ce que les Américains ont fait pendant des décennies, sauf qu’elle, au moins, ne se cache pas derrière un vernis moral hypocrite.

Pourquoi la Russie a-t-elle raison de défendre son territoire ?

Depuis la chute de l’URSS, l’OTAN n’a cessé de grignoter l’espace russe, en intégrant toujours plus de pays proches de ses frontières. On nous a vendu l’idée que l’OTAN était une alliance purement défensive… sauf qu’étrangement, elle ne fait que s’étendre, menaçant directement la Russie. Et Moscou devrait accepter ça sans broncher ?

Poutine a tiré la sonnette d’alarme depuis des années. Il a mis en garde l’Occident contre ses provocations. Mais au lieu d’écouter, Bruxelles et Washington ont préféré jouer la carte de l’escalade, forçant la Russie à réagir. Aujourd’hui, on feint la surprise, comme si personne n’avait vu venir le coup.

L’hystérie anti-Poutine : un écran de fumée pour cacher l’échec occidental

La diabolisation permanente de Poutine est bien pratique : elle permet d’éviter de parler des vraies responsabilités occidentales dans ce conflit. Pendant que les médias européens hurlent au danger russe, ils évitent soigneusement de mentionner les erreurs stratégiques de l’UE et des États-Unis.

Mais le plus ironique, c’est que la Russie, elle, tient bon. Malgré les sanctions, malgré l’isolement diplomatique voulu par l’Occident, Moscou continue à avancer. Pendant que l’Europe s’effondre sous ses propres décisions absurdes, la Russie renforce ses alliances et maintient son économie. Qui est le vrai perdant dans cette histoire ?

Et si on négociait enfin ?

Plutôt que de prolonger une guerre inutile, qui coûte des vies et ruine les économies européennes, pourquoi ne pas faire ce que Trump propose depuis le début : négocier. Parce qu’à la fin, la seule issue possible, c’est une table de discussion. Mais tant que Macron et l’UE seront trop occupés à jouer aux petits soldats, la paix restera un rêve lointain.

9. Et si on arrêtait cette folie ?

Depuis deux ans, on nous vend la guerre comme une nécessité, un devoir moral, une lutte du « bien » contre le « mal ». Mais à force d’écouter les médias et les politiciens, on en oublierait presque la seule vérité qui compte : cette guerre n’aurait jamais dû commencer et elle aurait pu être évitée par la diplomatie.

La paix, une option que personne ne veut évoquer

Pourquoi personne ne parle sérieusement de négociations ? Parce que la guerre rapporte. Elle alimente l’industrie de l’armement, elle justifie l’expansion de l’OTAN, elle permet à des gouvernements impopulaires comme celui de Macron de détourner l’attention des problèmes internes. Tant que les canons tonnent, on évite de parler du coût de la vie, des révoltes sociales et du déclin de nos nations.

Macron et l’UE veulent une guerre qu’ils ne peuvent ni gagner ni financer

L’Ukraine n’a aucune chance de l’emporter face à la Russie. C’est un fait militaire, et tous les généraux sérieux le savent. Mais au lieu d’admettre cette réalité et de chercher une sortie honorable, nos dirigeants européens continuent de jouer aux va-t-en-guerre, avec l’argent et la sécurité des peuples qu’ils sont censés protéger.

Pendant que l’Occident s’effondre, la Russie avance… et Trump prépare son retour

L’Europe s’épuise, les États-Unis se préparent à tourner la page avec Trump, et la Russie reste debout. Le vent tourne. La question est simple : combien de temps encore Macron et l’UE vont-ils nous entraîner dans cette folie meurtrière avant de réaliser qu’ils sont en train de ruiner l’Europe pour rien ?

Il est temps d’ouvrir les yeux et de comprendre que cette guerre n’est pas la nôtre. Ceux qui la veulent sont ceux qui n’auront jamais à la faire ni à en subir les conséquences. Et si nous, citoyens européens, ne disons rien, alors nous serons les prochains à en payer le prix.

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