Ce n’est pas une fraude. C’est pire : c’est légal.

Introduction – L’accroche

Tu sais ce qu’il y a de plus terrifiant que les escrocs ?
Les honnêtes gens qui respectent la loi… et qui t’enfoncent quand même jusqu’à l’os.

Car dans notre époque post-démocratique, le plus grand scandale n’est pas ce qu’on interdit — mais ce qu’on autorise.

🔍 Prends un peu de recul. Regarde les milliards d’euros qui partent dans des fonds européens sans contrôle réel. Regarde la France qui crie au trou budgétaire tout en arrosant la guerre à l’étranger. Regarde un président qui vit comme Louis XIV sous acide, pendant que toi, tu comptes les centimes à la caisse du Lidl.

Et tu sais ce que te répondent les institutions ?
"Tout est légal."

Ah. Alors tout va bien.

Non.

Rien ne va.

Et justement, c’est ça, le problème.

On ne parle plus d’une fraude isolée, d’un abus planqué, d’un élu pris la main dans le pot de confiture.
On parle d’un système entier où la fraude n’a même plus besoin de se cacher, parce qu’elle a été rédigée noir sur blanc dans les lois qu’ils ont eux-mêmes écrites.

Un monde où on peut : - s’augmenter son salaire en pleine crise sociale ✔️
- envoyer des milliards dans des guerres sans déclaration parlementaire ✔️
- voter des budgets qu’aucun citoyen n’a jamais validés ✔️
- te faire croire que voter une fois tous les 5 ans, c’est de la démocratie ✔️

Et pendant ce temps-là, toi, tu n’as même pas le droit de dire ce que tu veux faire de tes impôts.
Tu n’as pas le droit de dire non à la guerre.
Tu n’as pas le droit de cocher « j’accepte » ou « je refuse » ligne par ligne comme dans les CGU d’une appli.

Le citoyen paie. Le citoyen subit. Le citoyen ferme sa gueule.

Mais… ça commence à grincer.
Tu le sens, non ? Ce moment où le mot “légal” commence à puer la trahison.

Alors non, ce n’est pas une fraude comme dans les films.
C’est pire.
C’est une trahison validée, votée, tamponnée, respectueuse de toutes les procédures.
Une escroquerie maquillée en “république moderne”.

Et le plus dingue ?

C’est qu’on pourrait en sortir. Facilement. Si on osait faire ce qu’ils redoutent le plus :
penser autrement. Créer nos propres règles. Reprendre le stylo.

Tu viens ?
On rouvre la Constitution... au cutter.

1. La loi, cette vieille pute bien habillée


Tu l’as sûrement déjà vue. Elle trône, solennelle, dans toutes les institutions : la Loi. On la cite comme une grand-mère sacrée. On l'invoque comme un dieu païen. On dit qu’elle protège les faibles, encadre les puissants, et qu’en son nom tout s’équilibre.

Mais faut être lucide : la Loi, aujourd’hui, c’est une prostituée de luxe.

Elle fait ce qu’on lui dit.
Elle se laisse payer pour obéir.
Et elle s’habille toujours proprement pour qu’on ne voie pas ce qu’elle fait la nuit.

Regarde bien :
- Les élus votent leurs propres salaires.
- Les anciens ministres touchent des retraites à vie en plus de leurs jetons de présence.
- Les sénateurs refusent les réductions d’effectif pendant que les hôpitaux implosent.

Mais tout ça est légal.
Parce que c’est eux qui écrivent les règles du jeu. Et devine quoi ? Ils ne s’oublient jamais.

Tu veux la meilleure ?
Quand le peuple fraude pour survivre, c’est un délit.
Quand les élites fraudent en respectant leurs lois, c’est de la “gestion publique responsable”.

Légal ne veut plus dire juste.
Légal ne veut plus dire équitable.
Légal veut juste dire : "On a verrouillé les portes du château. Essayez même pas de grimper les murs."

Et pendant que toi tu te tapes des amendes pour une erreur dans ta déclaration fiscale, eux envoient des milliards en Europe, en Ukraine, dans les banques, dans les cabinets de conseil, avec le sourire... et l’immunité parlementaire.

Alors la Loi, on la respecte ?
Oui.
Mais pas aveuglément.
Plus maintenant.

Parce que si elle oublie d’où elle vient — du peuple, pas du trône
alors elle ne mérite plus qu’une chose :
qu’on la réécrive nous-mêmes. À l’encre noire. Ou à la flamme.

2. Les milliards fantômes : bienvenue dans la compta hallucinée de l'Europe


Tu te rappelles de cette époque bénie où on comprenait encore à quoi servait l’argent public ?
Moi non plus.

Aujourd’hui, c’est comme si on te disait :

"Bon, on va prélever 30 à 50 % de ton revenu… et ensuite, tu vas devoir deviner à quoi ça sert. C’est un jeu. Tu vas adorer."

Bienvenue dans la gestion holographique de l’Europe.
Celle où les milliards sont votés en grandes pompes dans des salles feutrées à Bruxelles…
…puis se volatilisent dans des programmes aux noms tellement flous qu’on dirait des Pokémon légendaires :
- NextGenerationEU,
- Mécanisme de Résilience,
- Pacte Vert
- Facilité pour la relance et la résilience (tu sens l’odeur du PowerPoint ?)

Ils ont même inventé une règle :

"Au moins 37 % pour l’écologie, 20 % pour le numérique."

Sauf que personne ne t’explique qui vérifie ça, comment, ni à quel moment on rend des comptes.
Et quand on creuse, on tombe sur des joyeusetés comme : - des projets frauduleux à plusieurs centaines de millions en Italie ou Roumanie,
- des audits flous,
- des consultants surpayés pour évaluer des résultats flous d'autres consultants.

C’est comme confier ton portefeuille à un prestidigitateur sourd et aveugle qui te dit :

"T’inquiète, je vais faire apparaître de la croissance verte."

En France ?
Le gouvernement hurle qu’il manque 40 milliards…
…mais il continue de verser sa contribution européenne, d’envoyer des milliards à l’Ukraine, et de dépenser sans débat.
Et quand on demande des comptes, la réponse c’est :
"C’est prévu dans les traités. On a signé. C’est légal."

Ah, donc c’est pour ça que tu fais tes courses au Lidl et que tu reportes ton dentiste à l’année prochaine ?
Parce qu’on a "signé" ? Sérieusement ?

On ne parle pas ici d’un détournement secret.
On parle d’un gaspillage visible, institutionnalisé, organisé…
…et protégé par des couches de complexité volontairement incompréhensibles.

Ce n’est pas une erreur.
C’est une stratégie.

Quand l’opacité devient une méthode de gouvernance,
quand les milliards deviennent immatériels,
et que le peuple n’a plus les moyens d’en suivre la trace,

alors oui : on est dans une fraude. Pas judiciaire. Mais démocratique.
Et le fait qu’elle soit légale rend l’arnaque encore plus obscène.

3. La démocratie version Uber Eats : vous commandez une réforme, vous recevez une guerre


Tu te souviens de ce que t’avais commandé en 2017 ? Ou en 2022 ?
C’était quoi, déjà, dans le menu ?
— Une réforme des retraites équitable ?
— Une République exemplaire ?
— Une transition écologique forte et sociale ?

Et qu’est-ce qu’on t’a livré à la place ?
— Une retraite à 64 ans sans vote.
— Des cabinets de conseil à 3 000€ la slide.
— Des blindés, des missiles, et un ticket illimité pour l’OTAN Express.

C’est ça, la démocratie Uber Eats :
Tu votes pour un plat.
Mais la cuisine, elle, fait ce qu’elle veut.
Et toi, t’as même pas le droit de râler. C’est marqué dans les CGU : "Pas de remboursement en cas de trahison électorale".

Prenons un exemple concret : la guerre en Ukraine.
As-tu voté pour que la France participe financièrement à un conflit armé ?
As-tu coché quelque part :

"Oui, j’accepte que mes impôts servent à acheter des obus pour un conflit dont je ne contrôle ni l’origine ni la fin."
Non.

Mais l’argent part quand même. En milliards.
Et attention, hein, on te dit pas que tu finances une guerre.
On te parle de "soutien humanitaire renforcé", de "coopération stratégique", de "défense des valeurs européennes".

Putain, même les communiqués de McDo sont plus honnêtes.

Et pendant ce temps, quand tu veux voter une loi ou un projet en ligne ?
Pas possible. Pas prévu. Pas sécurisé.
Mais pour t’imposer des choix géopolitiques majeurs, là, pas de souci.
Ils ont tous les outils. Tous les traités. Tous les drones.

La démocratie s’est faite hacker par des managers politiques qui t’offrent un faux menu
— où le peuple choisit entre poulet et poisson,
— pendant qu’on lui sert de la merde au napalm.

Tu sais ce qui manque ?
Un bouton "je renvoie ce gouvernement pour non-respect de commande".
Un vrai système de vote ligne par ligne, programme par programme.
Pas ce simulacre où tu signes en bas sans lire les 400 clauses en petits caractères.

Parce que voter pour un candidat, ce n’est pas signer une procuration absolue.
Et ce n’est pas donner le droit de t’embarquer dans un conflit, dans une dette, ou dans un plan à 800 milliards sans te consulter.

Alors non, on ne veut plus du menu imposé.
On veut notre cuisine, nos ingrédients, et notre mot sur la recette.
Et si ça leur pose un problème…
…ils peuvent aller livrer ailleurs.

4. Les mendiants à Rolex : pourquoi on vous dit qu’il n’y a plus d’argent… sauf pour l’élite


"Y’a plus de sous."
"Les caisses sont vides."
"Il va falloir faire des efforts."
Voilà ce qu’on nous répète, la bouche sèche, le regard grave, les sourcils froncés —
pendant que les mêmes types repartent en voiture avec chauffeur direction restaurant étoilé, en touchant 10 000 balles par mois pour signer des lois que tu ne comprends même plus.

Bienvenue en Absurdistan budgétaire, où le peuple serre la ceinture pendant que l’élite pète les coutures de ses costards.

Tu veux des exemples ?

  • Bayrou qui dit qu’il faut "trouver 40 milliards".
    Mais ne t’inquiète pas : la France continue de verser sa part pleine au budget européen, sans revoir un centime.

  • Des aides militaires envoyées à l’Ukraine pendant que l’armée française manque de matos de base et que les pompiers galèrent à se faire rembourser des bottes.

  • Des millions alloués à des cabinets privés pour expliquer au gouvernement… comment gouverner.

Et toi ?
Toi, tu fais ton calcul mental au supermarché pour savoir si tu peux prendre du fromage ET du PQ cette semaine.

Et pourtant, la République t’explique qu’on est tous dans le même bateau.
Oui. Mais eux sont en yacht. Toi, t’es en bouée percée.

Le pire, c’est quand ils osent te parler de "solidarité nationale".
Ils t’expliquent que l’effort doit être partagé.
Mais qui partage quoi, en fait ?
Toi, tu partages ton salaire, ton logement, ta santé mentale.
Eux, ils partagent... un apéro au Sénat.

Leur rigueur budgétaire est à géométrie de classe.
Tu veux une retraite à taux plein ? Non, désolé.
Mais eux, ils cumulent salaires, indemnités, et retraites spéciales sans jamais se poser de questions.

Alors quand tu entends "il n’y a plus d’argent",
traduction :

"Il n’y a plus d’argent pour vous."

C’est pas une erreur de gestion.
C’est un modèle.
Un système où les élites vivent comme des aristos 2.0, pendant que le peuple est traité comme une variable d’ajustement.
Et le plus fou ?
Ils ont réussi à faire croire que c’était normal.

Eh bien non. C’est pas normal.
C’est organisé.
Et comme toute organisation, ça peut se démonter. Pièce par pièce. Budget par budget.
À condition qu’on arrête de croire à leurs phrases toute faites.
Et qu’on commence à écrire les nôtres.

5. Ce que le peuple n’autorise pas est-il légitime ?


C’est la question que personne ne veut poser.
Celle qui claque comme un coup de marteau dans la vitrine d’une République bien rangée.

Parce qu’on nous a appris que la légitimité vient du vote, point.
Tu votes tous les cinq ans, tu fermes ta gueule entre les deux, et si tu râles, on te répond :

“Mais enfin monsieur, c’est la démocratie ! Vous avez voté, non ?”

Mais non.
On n’a pas voté pour ça.

On n’a pas voté pour financer des guerres à l’autre bout du continent.
On n’a pas voté pour que des cabinets de conseil écrivent nos lois.
On n’a pas voté pour que des élus vivent comme des rois, tout en nous expliquant qu’il faut "faire des sacrifices".

On a voté pour des promesses.
Et on a reçu des trahisons en série.
On a signé un contrat qui a été déchiré dans notre dos.

Alors voilà la vraie question :
👉 Quand une décision est prise contre la volonté du peuple,
👉 quand elle ne figure nulle part dans le programme,
👉 quand elle engage notre argent, notre avenir, notre sécurité,
… est-elle encore légitime ?

Et si la réponse est non — comme le bon sens le hurle —
alors il ne suffit plus de râler dans un post Facebook ou un comptoir de bar.

Il faut repenser la légitimité.

Elle ne vient pas de l’étiquette d’un élu.
Elle ne vient pas d’une procédure ou d’un texte ancien.

Elle vient du peuple. Point.

Et si le peuple ne peut pas dire : - "Je refuse de financer cette guerre."
- "Je n’accepte pas cette réforme."
- "Je veux affecter mon impôt à ce qui me semble juste."

…alors ce n’est pas une démocratie.

C’est un simulacre.
Une vitrine.
Un théâtre pour nous endormir.

Alors aujourd’hui, il est temps de reprendre ce qu’on nous a volé :
non pas le droit de voter,
mais le droit de dire NON.
Là, maintenant, en direct.
À chaque décision.

Et peut-être même…
le droit de tout reprogrammer.

6. Conclusion : si ce n’est pas une fraude judiciaire, c’est une forfaiture démocratique


Voilà où on en est.
On vit dans un pays où l’on peut légalement te faire les poches,
légalement te mentir,
légalement te sacrifier au nom de principes flous

…et ensuite t’expliquer, la main sur le cœur, que tout est conforme.

Le système est si bien huilé que la trahison est devenue une procédure.
Plus besoin de corruption dans l’ombre :
on trahit à visage découvert, avec un badge, une cravate et un article de loi.

Mais la vraie révolution ne viendra pas des pavés.
Elle viendra de ce que tu sais maintenant.

Tu sais que ce que tu vis n’est pas une erreur.
C’est un choix.
Leur choix.

Et il est temps que nous fassions le nôtre.

Alors, appel à ceux qui lisent ces lignes :

Ne laissez plus les mots se retourner contre vous.
Reprenez-les.
Réécrivez les règles.
Pas pour instaurer le chaos,
mais pour reconstruire un ordre qui nous ressemble.

Pas un simulacre de démocratie.
Pas un théâtre de marionnettes.
Pas un menu imposé à 60 millions de couverts.

Mais une vraie souveraineté.
chacun peut dire : "Je décide ce que je finance. Je décide ce que je refuse. Je décide ce que je construis."

Parce que ce n’est pas une fraude judiciaire.
C’est une forfaiture démocratique.

Et tant qu’on ne l’aura pas appelée par son nom,
ils continueront à dormir tranquilles…
…dans leurs draps en lin de contribuable.

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