Le virus n'était pas seul : le système nous a bien n****s

1. Bienvenue dans l’apocalypse sponsorisée par Pfizer™ – Le Covid, une pandémie ou une campagne marketing à 3 doses ?

Bienvenue dans le monde d’après. Celui où on t’enferme pour ton bien, où une boîte pharmaceutique décide de ta liberté de mouvement, et où le pangolin devient le bouc émissaire le plus médiatisé depuis Jésus.

Le Covid ? Oh, ce petit virus de rien du tout... T’as entendu les violons : « un fléau mondial, une pandémie sans précédent, un danger pour l’humanité ». Spoiler : c’était surtout un business modèle en or massif. Niveau rentabilité, même Pablo Escobar en pleurerait de jalousie dans son cercueil climatisé. Pfizer, Moderna, AstraZeneca : des noms qui sonnent comme des sponsors de Formule 1, sauf qu’ici, c’est ta grand-mère qui sert de crash test.

Et pendant ce temps-là, le virus, lui, se la coule douce, peinard. Normal, il a été élevé en laboratoire comme un veau sous cloche. Si tu crois encore à la thèse du pangolin enrhumé qui aurait éternué sur un vendeur de soupes à Wuhan, mon pauvre ami, j’ai une centrale nucléaire à te vendre dans le Larzac.

Non, ce n’était pas une pandémie. C’était une démonstration grandeur nature de ce que peut faire une société qui a remplacé la pensée critique par le QR code. Une campagne de pub mondiale. « Une piqûre pour tous, et que ça saute ! » Sauf que c’est nous qu’on a sauté.

Confinés comme des rats de laboratoire, assignés à résidence pour avoir éternué trop fort, condamnés à bouffer notre propre haleine derrière un masque made in Bangladesh, pendant que ceux qui "savent" passaient à la télé pour nous expliquer que "le virus ne circule pas le jour" (véridique) et que le jogging est une activité subversive digne du Goulag. Oui, courir seul dehors, c’était potentiellement un acte terroriste viral.

Tu veux la vérité ? Le virus a fait des morts, certes. Mais le système qui a orchestré la panique, qui a verrouillé la planète à double tour, qui a fabriqué l’obéissance avec de la peur distillée par seringue… lui, il est toujours bien vivant. Et en pleine forme. Grâce à toi. Grâce à nous.

Alors non, cette apocalypse n’était pas naturelle. Elle était sponsorisée, optimisée, marketée. Bienvenue dans la première pandémie 100% premium avec abonnements mensuels à vie : dose 1, dose 2, dose 3, et n'oublie pas de liker ta dose de rappel.

On commence à t’injecter le doute ? T’inquiète, la suite arrive.

2. Plateaux télé et blouse blanche : le nouveau show à la mode où le médecin est aussi mannequin et VRP

Il fut un temps, pas si lointain, où un médecin, ça bossait en blouse tachée de café à l’hôpital, entre deux gardes harassantes et trois diagnostics ratés. Puis est arrivé le Covid. Et soudain, miracle : les toubibs sont devenus des stars de plateau, des influenceurs de la seringue, des chroniqueurs de la catastrophe.

On les voyait partout, tout le temps. Le matin sur France Inter, le midi sur BFMTV, le soir chez Hanouna, la nuit dans tes cauchemars. Chaque phrase, chaque mot, chaque soupir devenait vérité sacrée. Et plus c’était flou, plus c’était bon. La science, désormais, c’est un avis. Avec un micro.

Prenons le casting :

  • Martin Blachier, l’épidémiologiste caméléon. Un jour "pas de danger", le lendemain "on va tous mourir", puis "les masques c’est utile", avant de terminer sur "j’ai toujours eu raison". Ce gars a changé d’avis plus vite que ton ex changeait de mec.

  • Karine Lacombe, éternellement indignée, la voix tremblante de certitude. Dès qu’on parlait de traitements alternatifs, elle faisait une réaction allergique en direct. À croire qu’elle touchait une prime à chaque fois qu’elle prononçait "Pfizer" avec amour.

  • Jean-François Delfraissy, le Gandalf du Conseil scientifique. Toujours la voix grave, l’air accablé, le front soucieux. Sauf que lui, c’est pas un magicien : c’est le mec qui disait qu’il fallait fermer les écoles… sauf si vraiment, c’était trop chiant politiquement.

  • Éric Caumes, qui a passé plus de temps à fumer la pipe de la contradiction qu’à analyser des résultats cliniques. Il était contre les masques, puis pour, contre le vaccin, puis pour, puis "avec réserve", sauf sur les plateaux où il était "sans réserve" pour parler de tout.

  • Michel Cymes, ah Cymes… Le médecin-showman. Il a nié la gravité du virus, puis s’est excusé, puis est revenu distribuer des leçons. Un peu comme si le Titanic avait été coulé par un clown qui t’explique ensuite comment nager.

Pendant ce temps, ceux qui osaient penser autrement ? Raoult, Perronne, Montagnier... Dézingués en direct. Pas invités. Décrédibilisés. Coupables d’hérésie scientifique. Ils ne portaient pas la bonne parole. Celle du consensus en kit vendu avec 3 doses et un pass sanitaire.

Mais le problème n’est pas ces médecins. Le vrai problème, c’est nous. On les a écoutés. Religieusement. On a bu leurs paroles comme si elles avaient été estampillées par Jésus lui-même en blouse blanche. Alors qu’en réalité, c’était un sketch.

La médecine est devenue une émission de télé. Et nous, on a zappé notre bon sens.

Tu veux voir ce qu’ils nous ont vraiment injecté ? Attends la suite.

3. Pfizer : le vaccin miracle ou le lubrifiant mondial pour le fisting capitaliste ?

Ah, Pfizer. Ce doux nom qui évoque à la fois la science de pointe et le gang bang financier. Si t’as encore en tête que cette boîte est l’ange gardien de l’humanité, c’est que t’as confondu la notice du vaccin avec un conte de fées pour adultes naïfs.

Parce qu’il faut le dire une bonne fois pour toutes : Pfizer n’a pas sauvé le monde. Pfizer a sauvé ses actionnaires. Et ils leur ont bien rendu : record de bénéfices, action au sommet, PDG qui se frotte les mains avec plus de plaisir que toi devant un test antigénique négatif à la veille de Noël.

Tu veux les chiffres ? En 2021, l'entreprise a généré plus de 100 milliards de dollars de chiffre d’affaires, dont la moitié grâce à leur vaccin. Un jackpot viral. C’est plus rentable qu’un cartel mexicain, avec en bonus l’immunité juridique internationale. Oui, parce qu’au cas où tu aurais oublié : si tu fais une réaction chelou, tu peux aller te plaindre... à ton chat.

Et pendant qu’on nous vendait le sacro-saint triptyque "efficace, sûr, indispensable", les effets secondaires étaient soigneusement rangés sous le tapis. Fatigue, myocardite, troubles menstruels ? "Circulez, y a rien à voir !", t’expliquait Karine entre deux interventions sur LCI, avec ce sourire crispé de VRP en pleine reconversion spirituelle.

Mais là où ça devient délicieux, c’est que Pfizer lui-même a reconnu, sous la pression, que son vaccin n’empêchait pas la transmission du virus. Tu sais, ce truc qu’on t’a hurlé en boucle pendant deux ans : "Fais-toi vacciner pour protéger les autres". Eh bien non. Tu t’es vacciné pour faire du chiffre. Pour participer à un grand élan collectif... de dividendes.

Et n’oublions pas leur feuille de route digne d’une télé-réalité sadique : dose 1, dose 2, dose 3, booster, variante Delta, Omicron, prochain variant sponsorisé par Disney+. On est devenus des abonnés Netflix de la seringue. Chaque piqûre, une mise à jour, comme un iPhone en fin de vie.

Mais il ne fallait surtout pas poser de questions. Parce que si tu le faisais, tu étais un complotiste, un antivax, un nuisible. En gros, t’étais un danger public, pendant que Pfizer encaissait des milliards grâce à ta docilité.

Alors, miracle scientifique ou braquage planétaire sous perfusion d’urgence sanitaire ? Moi, je dirais les deux. Sauf que dans cette histoire, le virus ne nous a pas tant pénétrés que le système qui l’a utilisé pour tester notre soumission.

Prochaine dose ? Accroche-toi. On va parler des dissidents qu’on a cloués au pilori pendant qu’on serrait les dents à chaque injection.

4. La chasse aux sorciers : ceux qui ont tenté de dire "Et si on essayait autre chose ?"

À l’époque de la grande messe Covidienne, oser dire "Et si on faisait autrement ?" équivalait à crier "Je suis Satan" en pleine messe à Lourdes. À la seconde où tu ne récitais pas le catéchisme vaccinal, t’étais cramé, banni, annulé. Les plateaux TV se refermaient comme des pièges à cons, et tu devenais "le danger public numéro un". Pas parce que tu étais dangereux. Non. Parce que tu pensais.

Bienvenue dans la chasse aux sorciers version 2.0, où les autodafés sont numériques et les bûchers s’appellent Twitter, YouTube et fact-checking sponsorisé.

Prenons Didier Raoult, par exemple. Le type propose un traitement à base d’hydroxychloroquine (une molécule connue depuis plus longtemps que la coupe mulet) et devient en une semaine la rockstar des anti-salles de presse. Les médias l’encensent, puis le lapident dès qu’il commence à dire que peut-être, possiblement, le vaccin miracle n’est pas si miraculeux que ça. Résultat ? Rayé de la carte. Mieux traité que le pangolin, mais pas de beaucoup.

Christian Perronne, lui, a eu l’audace de dire que les mesures sanitaires étaient absurdes, que les labos avaient un agenda, et que le narratif officiel sentait la fake news sous Botox. Réaction ? Exclusion. Radiation. Déshumanisation. On lui a mis un nez rouge de clown en guise d’argument. Ironique pour un type qui avait bossé toute sa vie dans la santé publique.

Luc Montagnier, prix Nobel (oui monsieur), est passé du rang de légende vivante à "vieux gâteux complotiste" parce qu’il a osé remettre en question la narration officielle sur l’origine du virus et les effets secondaires des vaccins. Un prix Nobel qu’on a jeté dans le caniveau médiatique comme une vieille boîte de masques usagés.

Mais eux au moins, ils ont proposé quelque chose. Des pistes. Des idées. Des alternatives. Même discutables. Ils ont refusé de bêler. Pendant que les médecins de plateau se disputaient sur les dates du prochain confinement comme des chroniqueurs météo sous LSD, ces gens-là posaient les questions que personne ne voulait entendre.

Et tu sais quoi ? Ce n’est même pas qu’ils avaient forcément raison. C’est juste qu’ils avaient le droit d’exister dans le débat. Un droit qu’on leur a volé.

Aujourd’hui, ceux qui ont cherché des solutions autres que "Vaccin, Gel, Obéis", on les regarde avec dédain. Mais ce sont eux qui nous ont rappelé que la science, ce n’est pas une messe. C’est un doute. Une méthode. Une confrontation d’idées.

Et dans cette pandémie, ce doute-là a été assassiné.

Alors, t’as encore confiance dans les grands prêtres de la seringue ? Ou tu veux aller voir ce que devient la foi vaccinale quand elle vire à l’hystérie collective ?

5. Le vaccin comme religion : "Si tu n’as pas la foi Pfizer, tu es un hérétique complotiste"

Et là, on entre dans le meilleur épisode de cette série dystopico-médicale : le vaccin comme sacrement. Le rite d’initiation pour être accepté dans la nouvelle société. Plus fort qu’un baptême, plus engageant qu’un mariage, plus contraignant qu’un divorce au Vatican : le Pfizer Credo.

« Tu crois pas au vaccin ? T’es un complotiste. »
« Tu veux attendre un peu pour voir les effets secondaires ? T’es un danger public. »
« Tu proposes un autre traitement ? Va brûler en enfer, sorcier d’hydroxychloroquine. »

Et ainsi s’est construite une religion mondiale, avec ses saints (les infectiologues de plateaux), ses messes (les conférences de presse du gouvernement), ses psaumes ("on est en guerre", "on sauve des vies", "il faut se vacciner pour les autres")… et son enfer réservé aux non-vaccinés. Un enfer pavé de QR codes, de pass suspendus et de regards hostiles dans la file du Monoprix.

Tu te souviens ? À un moment, ne pas être vacciné, c’était limite pire que d’être pédophile. T’avais droit à tout : exclusion, pression sociale, suppression de droits, humiliation publique. Et le plus drôle ? Tout ça sans aucune base scientifique solide sur la transmission post-vaccinale. Mais chut. Fallait pas le dire. C'était hérétique.

Les plateaux télé étaient devenus des tribunaux de l’Inquisition. Blachier, Lacombe, Caumes… La Sainte Trinité qui t’expliquait, entre deux pauses pub pour des yaourts probiotiques, que le doute c’est le mal, que l’individu doit se sacrifier pour le collectif, et que si tu tousses sans être vacciné, tu devrais avoir une étoile jaune "covidé" sur ton manteau.

Même la langue a muté : "Non-vacciné", "antivax", "pro-vax", "vaccino-sceptique"… un vocabulaire de guerre, digne d’un conflit religieux. Tu n’étais plus un citoyen. Tu étais un croyant, un mécréant, ou un apostat. Et gare à toi si tu changeais d’avis.

Et bien sûr, derrière tout ça, la grande prière silencieuse : "Faites que Pfizer dépasse les bénéfices de l’année dernière." Le dieu des dividendes écoutait, pendant que toi, tu t'injectais une énième dose pour avoir le droit d’aller bouffer une crêpe en terrasse.

On a transformé un produit pharmaceutique en acte de foi. On a remplacé le débat par l’excommunication. Et on s’est prosternés devant la seringue comme devant un totem magique, espérant qu’il nous délivre de nos peurs.

Spoiler : il ne l’a pas fait.

Prêt à passer à l’épisode suivant ? On va causer gros sous, conflits d’intérêts et sodomie morale en réunion de crise.

6. Des millions dans la poche, zéro remords dans les yeux : bienvenue dans le business de la peur

Ah… le business de la peur. Le seul marché où le client redemande à payer pour être encore plus terrorisé. À ce stade, même les fabricants de films d’horreur pourraient porter plainte pour plagiat.

Souviens-toi : mars 2020, monde à l’arrêt. Et en coulisse ? Jackpot. Parce que pendant que toi, tu faisais du pain maison en pleurant sur TikTok et que tu paniquais à cause d’un éternuement, certains remplissaient des coffres-forts à la louche.

Les labos pharmaceutiques ? Jackpot.
Les plateformes de télétravail ? Jackpot.
Les vendeurs de masques au prix du bitcoin ? Jackpot.
Les ministres avec des parts dans tout ce cirque ? Silence radio, mais bon... 🤑

La peur, c’est comme le pétrole : plus elle est noire, plus elle rapporte. Et là, on était en pleine marée noire psychologique. On t’a parlé de morts à la télé, matin, midi et soir. Des cercueils par milliers, des hôpitaux débordés, des courbes exponentielles comme si le virus était un influenceur en pleine ascension.

Et qui profitait de cette panique ?
Pas les soignants. Pas les malades. Pas ta tante Josette en EHPAD.
Mais les grands noms du cartel de la santé mondialisée : Pfizer, Moderna, McKinsey, et tous ces cabinets de conseil qui savent aussi bien gérer une pandémie qu’un enfant de trois ans sous LSD.

Tu te souviens des contrats opaques signés à l’arrache entre les États et les labos ? Des milliards claqués sans transparence, sans consultation, sans débat ? Et si tu demandais à voir ces documents… hop, "secret défense". Pas de bol : t’as pas signé le NDA du cauchemar.

Et que dire des conflits d’intérêts ? Les experts qui vantaient les vaccins sur les plateaux avaient souvent un pied dans les labos et l’autre dans les chaînes d’info. Une sorte de grand écart moral qui ferait exploser le périnée à n’importe quel yogi.

Mais le clou du spectacle, c’est que même les ratés ont rapporté : doses périmées par millions, scandales étouffés, campagnes de rappel inutiles… Chaque bourde était une opportunité de refacturer.

Et pendant ce temps ? Toi, tu applaudissais à 20h comme un con. T’achetais des masques à 3€ pièce. Tu téléchargeais des attestations de sortie comme si c’était des Pokémon rares. Et tu disais merci. Merci à ceux qui te volaient la liberté en t’offrant la peur en retour.

Alors ouais, des millions dans la poche, zéro remords dans les yeux. Mais t’inquiète : ils nous referont le coup. Nouveau virus, nouveau plan média. Et toi ? Tu redemandes ta dose.

Tu veux la vérité crue ? La vraie mutation, c’est pas celle du virus. C’est celle de ton cerveau.

Allez, viens. La suite va piquer un peu.

7. Et si le vrai virus, c’était le conformisme ?

On a tous cherché le virus. Partout. Dans les chauves-souris, les pangolins, les tubes à essai, les postillons de joggeurs... On a mis des visières, des gants, du gel, des masques sur les oreilles s’il le fallait. On a nettoyé les caddies comme si c’était des objets sacrés contaminés par Satan lui-même. On a désinfecté nos mains au point de les rendre plus sèches qu’un toast de Wasa oublié au soleil.

Mais jamais, jamais on ne s’est demandé si le vrai virus, c’était pas dans notre tête.
Pas dans le cerveau en tant qu’organe, non. Dans la structure.
Dans notre incapacité à dire : “Attends, ça n’a aucun sens leur truc.”

Parce que le conformisme, lui, il a tué bien plus vite que n’importe quelle souche.
C’est lui qui a poussé les gens à appeler la police sur leur voisin qui faisait un barbecue pendant le confinement.
C’est lui qui a foutu des gosses de 6 ans masqués 8h par jour comme si c’étaient des greffiers contaminés.
C’est lui qui a fait qu’un type sain, jeune, en pleine forme, s’est fait injecter trois doses pour avoir le droit de boire un mojito en terrasse.

On a fait comme tout le monde, parce que faire autrement, c’était socialement suicidaire.
Refuser de se conformer, c’était risquer d’être traité de complotiste, de fou, de meurtrier en puissance.
Alors on a baissé les yeux. On a présenté notre QR Code comme un passeport pour l’acceptation.
On a obéi.

Et le pire ? On a commencé à aimer ça.
À aimer qu’on nous dise quoi penser.
À aimer qu’un journaliste random décide si ce qu’on dit est “scientifique” ou “désinformation”.
À aimer cette soumission douce, cette obéissance confort, livrée avec Amazon Prime et deux masques gratuits.

Le virus de la peur n’a pas été éradiqué, car il n’est pas biologique. Il est psychologique.
Et il a muté dans la plus dangereuse des formes : l’amour du confort au prix de la liberté.

Alors non, le problème, ce n’est pas que le virus venait d’un labo.
Le problème, c’est que notre cerveau collectif est devenu un aquarium.
Et qu’on tourne tous en rond, dans l’eau tiède du “on n’a pas le choix”.

T’as encore un peu de lucidité dans le bocal ? Parfait.
Parce que le dernier chapitre va balancer la vérité qui gratte, qui dérange, et qui fout des gifles existentielles.

8. Conclusion : Qui est le connard qui a fabriqué le Covid ? Spoiler : c’est pas une personne. C’est un système. Et vous, vous en faites partie.

Alors ? T’es venu ici pour avoir un nom. Un coupable. Un mec à pendre haut et court sur la place publique avec une seringue plantée dans le front et une pancarte "J’ai créé le Covid" autour du cou ? T’es déçu ? Parfait. T’as tout compris.

Parce que ce connard-là, ce n’est pas un généticien chinois, un stagiaire qui a éternué à Wuhan, ni même un PDG de Big Pharma avec des dents aussi blanches que son casier judiciaire est sale.
Non. Le vrai artisan de cette gigantesque mascarade planétaire... c’est un système.

Un système construit sur la peur.
Un système qui se nourrit de ton besoin de sécurité.
Un système qui t’a conditionné à dire "oui" dès qu’on te parle de "responsabilité collective".
Un système qui a remplacé la science par le slogan, le débat par la censure, la logique par le dogme.

Et ce système, tu le nourris à chaque fois que tu te tais alors que tu sais.
À chaque fois que tu préfères hocher la tête plutôt que de risquer l’isolement.
À chaque fois que tu traites de "complotiste" quelqu’un qui pose une vraie question.
À chaque fois que tu dis "Je ne suis pas d’accord, mais bon, faut bien s’adapter."

Alors oui, t’as le droit d’être en colère. Moi aussi, je le suis. Mais arrête de chercher un seul connard. Il y en a des milliards. Pas forcément malveillants, juste bien dressés. Obéissants. Inoffensifs. Et donc dangereux.

Et si vraiment tu veux pendre un responsable, commence par regarder ton reflet dans l’écran de ton smartphone.
Celui avec lequel tu scannais ton pass pour aller acheter du PQ pendant qu’un ministre signait des contrats secrets à 2 milliards l’unité.

Tu veux de la révolte ? De la vraie ? Alors commence par la désobéissance intellectuelle.
Commence par dire "non".
Commence par réfléchir.
Commence par arrêter de croire que la vérité vient de la télé et que le bien est livré en seringue.

La pandémie, c’est fini.
Le conditionnement, lui, est toujours actif.

Et toi, tu vas faire quoi maintenant ?

Allez, on se revoit pour la prochaine crise.
Elle arrive. Ils sont déjà en train d’imprimer les nouvelles affiches.

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