Vaccin universel : Génie ou Génocide du rhume ?

I. Le vaccin universel : une promesse révolutionnaire

Tu connais cette sensation ? Ce petit frisson d'espoir mêlé à un énorme soupçon de méfiance ? C’est exactement ce que provoque cette annonce d’un vaccin universel contre les coronavirus. Un peu comme si quelqu’un débarquait demain matin et te disait : “Bon les gars, j’ai trouvé un moyen de supprimer les pubs sur YouTube à vie… gratuitement”. T’es content… mais tu sens l’arnaque venir, non ?

Eh bien ici, c’est pareil.

On nous explique que ce nouveau vaccin va faire un truc que ni Pfizer, ni Moderna, ni aucun labo jusqu’ici n’a réussi à faire : protéger durablement contre le COVID, le MERS, et même certains rhumes. Oui, les rhumes, ce truc que ta grand-mère soigne encore au grog et au plaid sur les genoux.

Mais comment est-ce possible ?

→ L’idée est simple et géniale (sur le papier) :
Les coronavirus sont des fourbes. Ils cachent leurs zones sensibles sous un manteau de sucres (les glycanes), façon armure de chevalier en bonbons Haribo. C’est ça qui les rend difficilement attaquables. Sauf que là, les chercheurs ont trouvé un moyen d’enlever cette carapace sucrée, comme un gamin qui racle la couche de chocolat d’un Kinder Surprise. Une fois les parties fragiles à découvert, boum, le système immunitaire peut les défoncer tranquillou.

Résultat : un vaccin qui ne court plus après les mutations du virus mais qui vise une partie tellement stable qu’il faudrait un cataclysme moléculaire pour qu’elle change.

Et cerise sur le vaccin : il marcherait aussi contre certains rhumes. Finis les nez qui coulent comme des robinets percés en hiver ? C’est le rêve, non ?

Mais attends, attends… Est-ce qu’on vit vraiment dans un conte de fées biotech où un gentil vaccin universel va débarquer pour nous sauver TOUS, sans contrepartie, sans plan B, sans arrière-pensée ?

Hmm... Laisse-moi te raconter la suite.

II. Big Pharma : intérêt ou sabotage ?

Alors là, accroche-toi bien à ton Doliprane, parce qu’on va rentrer dans la zone grise. Le terrain glissant. Le royaume obscur de la logique capitaliste pharmaceutique. Oui, Big Pharma, ces gens-là mêmes qui vendent des cachets à l’unité plus cher que l’or au kilo.

Parce qu’il faut être clair : à première vue, un vaccin universel, c’est le cauchemar du business model classique.

Fini les petites maladies saisonnières ultra-rentables ? Fini les sirops à 8 balles pour apaiser un nez qui coule ? Fini les pastilles au goût radioactif censées "lubrifier" ta gorge ? Fini les antibios prescrits "au cas où" parce que ton rhume traîne un peu trop ?

→ Dit comme ça, c’est un suicide commercial.

Sauf que non.

Parce qu’en vrai, Big Pharma, c’est pas des poètes. C’est des comptables.

Et le calcul est simple : - Vendre des traitements ORL = des cacahuètes. - Vendre un vaccin universel sous brevet exclusif = un diamant brut.

Mets-toi à leur place : tu préfères vendre 1 milliard de vaccins à 100 balles pièce à tous les gouvernements du monde, ou écouler 20 millions de boîtes de sirops à 5 euros dans les pharmacies de quartier ?

Bah voilà.

Et puis attention, hein, les rhumes ne vont pas disparaître à 100%. Il y aura toujours d’autres virus, des bactéries, des allergies, des maux de gorge parce que t’as chanté "Bohemian Rhapsody" au karaoké trop fort après 3 mojitos.

Donc les médocs de confort ? Ils resteront. Mais en produit dérivé. Comme les t-shirts de Star Wars ou les mugs "Je peux pas, j'ai Covid". Pas le cœur du business. Juste du bonus.

Et cerise sur la seringue : imagine un vaccin vendu comme un "pack premium" : → Vaccin universel + supplément immunité + abonnement annuel pour être sûr d’être "protégé" contre tout.

Ah bah voilà, ça redevient rentable hein.

Donc non, Big Pharma ne va pas saboter ce vaccin. Ils vont le marketer, l’emballer, le vendre en édition collector si besoin.

Parce que dans ce business, ce n’est jamais la santé qui commande.

C’est le chiffre.

III. Le rôle (et le fantasme) de Bill Gates

Ah… Bill Gates. Ce bon vieux Billou. Le patron des virus, version Windows 95. Passé maître dans l'art de te vendre un antivirus après t’avoir vendu le virus.

C’est fou comme son nom revient toujours dès qu’on parle de vaccins, de santé mondiale ou de population planétaire. Un peu comme un boomerang complotiste qu’on n’arrive jamais à perdre au fond du jardin.

Alors, qu’est-ce qu’il fabrique encore dans cette histoire de vaccin universel ?

A. Le Bill Gates version Bisounours philanthrope

Officiellement, Bill Gates, c’est le mec qui s’est reconverti en grand sauveur de l’humanité.
Lui, son dada, c’est la santé mondiale.
Moins de bébés qui meurent, moins d’épidémies, plus de gens en forme (et donc… moins d’enfants pour compenser les morts prématurées).

C’est une stratégie démographique soft : tu améliores la santé → les gens font moins de gosses → la population mondiale se stabilise.
Cool, non ?

En plus, il finance les labos, les recherches, les vaccins… Bref, il met les mains dans le cambouis sanitaire.

Sauf que…

B. Le Bill Gates version Boss Final du nouvel ordre mondial

… certains voient en lui un sorcier techno-industriel.

Un type qui veut sauver le monde… mais surtout en être le propriétaire.

Vacciner toute la planète avec un produit universel = avoir une emprise gigantesque.
Imagine : une seule piqûre, un seul vaccin distribué mondialement… et breveté par des boîtes où il a peut-être des billes.

L’idée qui fait frémir les complotistes :
→ Et si ce vaccin, c’était un "hub de contrôle sanitaire" déguisé ?
→ Et si derrière la seringue se cachait un QR code à vie, un certificat mondial, une identité biométrique ?

C’est là que les fantasmes prennent feu :
Bill Gates, le gourou technologique, l’ami des virus… qui te vaccine une fois pour toutes, mais te connecte au passage à son joli petit système mondial.

Une piqûre pour les gouverner tous.

C. Mais la vraie question est ailleurs…

Bill Gates est-il vraiment le maître du monde ou juste un milliardaire mégalo qui veut laisser une trace ?

Peu importe finalement.

Le vrai sujet, c’est : → Qui contrôle les brevets de ces vaccins universels ?
→ Qui décidera des prix, des conditions d’accès, des mises à jour (et oui, pourquoi pas un rappel payant dans 10 ans, "version premium boostée" comme sur ton smartphone) ?
→ Et surtout, que feront les États, les agences de santé, les populations… face à ce nouveau pouvoir technologique injecté directement sous la peau ?

Parce qu’au fond, Bill Gates ou pas…

Le vrai virus, c’est peut-être pas celui qu’on croit.

IV. Conclusion : un vaccin... et plein de questions

Alors voilà où on en est :

Sur le papier, ce vaccin universel a tout du Graal scientifique.
Une sorte de vaccin Jedi, sabre laser en main, prêt à trancher dans le lard des pires coronavirus. COVID, MERS, rhumes ? À genoux devant l'ultra-technologie des chercheurs.

Mais dans les coulisses ?

Là, c’est une autre série. Pas Star Wars. Plutôt Game of Thrones meets Breaking Bad.

→ Big Pharma ? Ils ont déjà sorti les calculettes et les PowerPoint aux investisseurs :
"Regardez messieurs-dames : moins de sirops... mais un vaccin vendu par milliards."

→ Bill Gates ? Peu importe qu’il soit vu comme un sauveur visionnaire ou un boss de fin de partie complotiste. Ce qui compte, c’est que ses idées sont déjà dans les labos, les institutions, les ONG, les grandes conférences mondiales. Sa vision façon "vacciner pour mieux réguler" est déjà une stratégie mainstream.

→ Et nous ? Nous voilà au milieu de ce grand Monopoly mondial, les manches retroussées, les narines qui coulent encore un peu, à se demander :
"Mais... est-ce qu'on veut vraiment un monde où on n'a plus jamais un petit rhume pour se faire plaindre, poser un RTT ou justifier un grog au miel devant Netflix ?"

Parce qu'au fond...
Est-ce qu’un monde sans rhumes, sans COVID, sans virus… c’est vraiment un monde plus sain ?
Ou un monde plus lisse, plus contrôlé, plus... aseptisé ?

Est-ce que l'humain est fait pour être invincible ?

Ou est-ce qu’on est juste des créatures biologiques qui ont besoin, parfois, de se rappeler qu’on est vulnérables ?

Alors dis-moi...

Toi, t’en penses quoi ?
→ Tu le prends ce vaccin universel, les yeux fermés ?
→ Ou tu te méfies de cette médecine "miracle" qui pourrait bien aussi être un outil de gestion planétaire XXL ?

Vas-y, défoule-toi en commentaire.
Ton rhume, ta parano, ton ras-le-bol, ton espoir, ton complot préféré : je prends tout.

Après tout... c’est peut-être ça, le dernier truc qu’on peut pas encore breveter : ton opinion.

Source : https://trustmyscience.com/vaccin-universel-coronavirus-covid-19-mers-rhumes/

Billets en rapport

Commentaires