Démocrature® : Le poison, les caméras, et ton sourire complice

CHAPITRE 1 : Bienvenue en Démocrature® – Où le consentement s’achète avec un badge “citoyen responsable”

Bienvenue à tous dans notre formidable nation liberticide… euh, pardon, libérale. Ici, la liberté est sacrée. Tellement sacrée qu’on l’a mise sous cloche, avec un QR code, un bracelet électronique et une puce sous-cutanée (en précommande).

Dans ce doux pays des droits de l’homme et des “libertés numériques inclusives”, on te laisse le choix… du bras dans lequel tu veux qu’on t’injecte. Bras gauche ? Bras droit ? Quelle chance, tu vis dans une démocratie. Une Démocrature® 2.0 : tu votes tous les 5 ans pour ton prochain gestionnaire de prison, et en échange, on t’offre le Linky, la 5G, la reconnaissance faciale, le pass sanitaire, et 14 caméras pour te protéger… de toi-même.

Ah, le progrès !

Tu te souviens de ce temps où l’on te demandait ton avis avant de t’imposer un truc ? Ouais, moi non plus. Maintenant, c’est plus simple : on te fait croire que t’as le choix. On te présente un projet “citoyen”, un “débat public” — où personne ne débat, surtout pas toi — puis on passe la loi pendant que tu mates “The Voice” ou que tu choisis entre “chocolatine” et “pain au chocolat”, ce débat crucial pour l’avenir de la France.

Et ne t’inquiète pas pour ta santé mentale. Si tu remets en question cette mascarade, t’as deux options :

  1. On te traite de “complotiste” (valable même si tu cites un rapport officiel du Sénat),
  2. On te soigne… à coups de médicaments “sécurisés” par les mêmes labos qui négocient directement avec le gouvernement.

Tu veux encore rire ? Parlons des “médias libres”

Libres… de dire exactement ce que le milliardaire qui les possède autorise. C’est pratique : BFM, TF1, LCI, Le Parisien… même combat, même script. Ça s’appelle la diversité de l’information. Un peu comme si tu allais au restaurant et qu’on te proposait : “Burger McDo, Burger McDo, ou… Burger McDo au quinoa ?”.

Et si jamais tu tentes de diffuser une autre info ? Paf. Censure douce, shadow ban, démonétisation, ou fermeture de compte. Liberté d’expression garantie… tant que t’exprimes ce qu’on a validé.

Tu te sens surveillé ? Mais non voyons.

C’est pour ton bien. Grâce à la reconnaissance faciale, on sait où tu vas. Grâce au Linky, on sait à quelle heure tu tires la chasse. Grâce à Google, on sait ce que tu penses avant même que t’aies pensé à le penser. Et grâce à la 5G, on peut tout enregistrer en temps réel. Mais relax, c’est pour ta sécurité. Pour éviter les terroristes… et surtout éviter que tu deviennes un danger pour toi-même en te mettant à réfléchir.


Alors maintenant, je te pose une question simple, ami lecteur :

👉 Est-ce que tu kiffes cette ambiance ? 👉 Est-ce que tu te sens libre, sécurisé, protégé, guidé ? 👉 Ou est-ce que, parfois, dans le fond de ta gorge, y’a ce petit goût de vomi qui te dit que quelque chose cloche sévèrement ?

Dis-moi franchement : Tu comptes faire quoi avec tout ça ? Tu vas continuer à applaudir bien sagement ou tu vas finir par sortir les crocs ? Parce que pendant que tu hésites… on est déjà en train d’installer les scanners rétiniens dans les stations de métro.

La suite, tu la connais déjà : C’est pour ton confort. C’est pour ta sécurité. C’est pour la planète. C’est pour ton bien.

Mais jamais, jamais pour ton avis.

CHAPITRE 2 : Bon appétit, l’empoisonnement est inclus dans ton panier bio

T’as faim ? Parfait. On va te servir du cancer sauce durable, une diarrhée citoyenne, et pour finir, une bonne crème dessert enrichie en perturbateurs endocriniens. Bienvenue dans l’assiette de la modernité : tu manges ce que le lobby décide, tu bois ce que l’ARS tolère, et tu te réjouis d’avoir un Nutri-Score “A” sur ton paquet de pesticides compressés.

Un monde où le poison est légal. Et souvent subventionné.

Tu crois encore que ta nourriture est “contrôlée” ? Elle l’est. Par des gens qui mangent bio, sans glyphosate, dans des cantines réservées aux élus. Toi, t’as droit au menu du pauvre :

  • Glucose, amidon, acide citrique, E450, E120, E621...
  • Farine au glyphosate.
  • Fruits irradiés.
  • Légumes hors-sol, “matures” grâce à des produits qu’on ne peut même pas prononcer.

Et quand c’est “bio”, t’as droit au label européen certifié “non traçable mais tellement vert”.

Tu veux du lait pour ton bébé ? Attends, faut l’empoisonner d’abord.

Le lait infantile contient aujourd’hui plus de résidus chimiques qu’un laboratoire clandestin de Breaking Bad. Mais chut ! C’est validé par les agences sanitaires. Ces mêmes agences qui interdisent des produits en France… tout en les autorisant dans les DOM-TOM. Oui, les bébés guadeloupéens ont des estomacs en plomb, c’est bien connu.

Et pendant qu’on y est, on fout de l’aluminium dans les vaccins, du fluor dans l’eau, du microplastique dans le poisson, et on t’explique que “c’est dans les normes”. Tu veux rire ou pleurer ? Les deux en même temps ? Moi aussi.

Et dans ta salle de bain, c’est le bal des perturbateurs

Ton shampoing est plus toxique qu’un cocktail Molotov. Ton dentifrice ? Un concentré de perturbateurs hormonaux “au goût menthe fraîche”. Et si t’es une femme, félicitations : les crèmes “anti-âge” que tu mets sur ta peau t’attaquent la thyroïde, mais avec un parfum délicat de lavande synthétique.

Tu vois le piège ? On ne te tue plus au fusil. On t’endort avec des labels, on t’anesthésie avec des pubs, et on t’euthanasie lentement, mais avec le sourire. “La vie, la vraie”, sponsorisée par Monsanto et Danone.


Mais toi, lecteur·rice lucide (ou qui commence à flipper un peu), je te demande :

👉 Tu savais que c’était à ce point-là ? 👉 Tu continues à manger sagement tes “galettes bio” à l’huile de palme et ton eau en bouteille plastique “sans bisphénol A mais avec tout le reste” ? 👉 Ou tu commences à te dire qu’on se fout royalement de ta gueule, et qu’il va peut-être falloir arrêter d’applaudir avec ta fourchette ?

Pose-la. Regarde ton assiette. Et demande-toi : jusqu’à quand tu vas appeler ça “se nourrir” ? Parce que pendant ce temps-là, dans un coin sombre de Bruxelles, on est en train de valider les insectes et la viande de labo comme “nourriture d’avenir”. Et toi, tu vas dire merci.

Bon appétit.

CHAPITRE 3 : Écologie & enfants : cibles prioritaires de la politique moderne

S’il fallait résumer notre époque en une phrase, ce serait : “Détruis ce qui est vivant, vénère ce qui est artificiel.” Et devine quoi ? Ça commence avec les mômes et les loups. Oui, les deux. Parce que tout ce qui est sauvage, libre ou naturellement sain… on le dégomme. En silence. Et souvent avec des subventions.

Commençons par les enfants : terrain d'expérimentation numéro un.

On pourrait les protéger, leur filer des arbres, de l’herbe, des câlins et des contes. Mais non, on leur donne de l'écran, du béton, des masques à l’école, et Alfred Kinsey comme guide sexuel à 4 ans. Tu vois le problème ? Ils ne savent pas lire, mais on leur parle de consentement anal et de genres fluides. Et si tu bronches, t’es un “réac”. On appelle ça “l’ouverture d’esprit” – sauf que l’ouverture est surtout dans la boîte crânienne.

Pendant ce temps-là, les hôpitaux ferment, les maternelles aussi. Et les profs se retrouvent à faire de la gestion de crise au lieu d’enseigner. Mais c’est pas grave, on a des robots pédagogiques et du e-learning sous Windows 98. Vive le progrès.

Et la nature dans tout ça ? Elle gêne. Elle doit crever.

Regarde les loups. Animaux majestueux, mystérieux, sauvages. Résultat ? – Abattage validé. – Massacre autorisé. – Silence médiatique.

Tu veux parler d’écologie ? Parle plutôt de fermes-usines géantes, de poissons mutants, de déforestation en douce pour construire des lotissements verts, et de ces panneaux “zone naturelle protégée”… placardés sur des parkings Leclerc.

Ah, et pendant que t’y es, va dire bonjour aux abeilles. Enfin ce qu’il en reste. On leur a balancé tellement de néonicotinoïdes qu’elles font des crashs en plein vol. Mais c’est pas grave, Bayer a un plan : des abeilles robots. T’as compris ? On remplace le vivant par du silicone. C’est ça, l’avenir !

Tu penses que c’est une série dystopique ? Non, c’est l’actu.

Des enfants zombifiés aux hormones, des animaux exterminés, une planète sous respirateur artificiel… Mais t’inquiète, le ministre a dit : “La biodiversité est une priorité.” Comme la santé, l’éducation, la liberté d’expression… et tous les autres trucs qu’on est en train de détruire méthodiquement.


Alors maintenant je te demande, cher lecteur, chère lectrice :

👉 Quand est-ce qu’on va se rendre compte que tout ce qui est vivant est ciblé ? 👉 Est-ce qu’on va continuer à mettre nos enfants dans des écoles en ruine et à acheter des tomates sous lampe UV tout en repostant des pandas sur Instagram ? 👉 Est-ce qu’un jour on va péter un câble et dire : “Non, bande de salopards, vous ne toucherez plus à nos enfants, à nos forêts, à nos loups, à nos sources” ?

Ou est-ce qu’on va continuer à faire semblant que tout va bien pendant qu’on étouffe… sous du plastique certifié ISO 9001 ?

Parce qu’à ce rythme-là, la prochaine génération, elle connaîtra les arbres en PDF et les animaux en NFT.

CHAPITRE 4 : Votez bien, veaux dociles : la ferme électorale ouvre à 8h

Allez, mets ta plus belle chemise, va chercher ta carte d’électeur et surtout : souris ! Parce qu’aujourd’hui, tu vas faire semblant d’avoir du pouvoir. Aujourd’hui, tu vas voter. Pour quoi ? Pour qui ? T’en sais rien, mais tu vas voter. Parce qu’on t’a appris que “c’est ça, la démocratie”.

Spoiler : ce n’est pas de la démocratie, c’est une illusion d’optique.

Regarde bien : des corrompus multirécidivistes se présentent tous les cinq ans avec un programme qu’ils ne liront jamais, financés par des multinationales qu’ils prétendent réguler, dans des partis dont la moitié des membres fuira au premier scandale.

Et le lendemain de l’élection ? – On vend un aéroport. – On supprime une allocation. – On signe un accord de libre-échange. – On se fait sucer par BlackRock en douce.

Mais chut. C’est ça, “la démocratie moderne”. Une mise en scène molle pour maintenir les moutons en rang.

Tu veux un scoop ? Les barrages, les fleurons industriels, les bâtiments historiques : tout a été bradé.

Ton patrimoine national a été vendu comme une brocante en fin de marché. Et toi, pendant ce temps-là, tu débattes encore entre “pain au chocolat ou chocolatine”. Mais t’as raison. C’est essentiel.

Ah, et pendant qu’on parle de débats fondamentaux : – L’ISF a été supprimé. – L’APL a été réduite. – Les retraites ont été ponctionnées. – Les hôpitaux ont été fermés.

Et toi, t’as eu quoi en échange ? Une appli de facturation EDF et une pub TikTok sur “les gestes citoyens pour la planète”.

Et tu sais ce qui est fascinant ? Les gens qui y croient encore.

Ceux qui se disent : “Oui, mais ce candidat-là, il est différent !” “Cette fois, on reprend le pouvoir !” “Moi je vote blanc, je suis rebelle !” Non, mon chou. Tu es une statistique utile. Un chiffre dans une machine à légitimer l’oppression.

Et pendant ce temps, les vraies décisions sont prises ailleurs : dans des clubs privés, des think tanks sponsorisés par Total, Nestlé et Pfizer. Là où toi, tu ne mettras jamais les pieds. Même avec une carte d’électeur premium.


Alors dis-moi franchement :

👉 Tu crois encore qu’on choisit nos dirigeants ? 👉 Tu crois encore que voter va sauver quoi que ce soit ? 👉 Tu crois qu’ils en ont quelque chose à foutre de ton opinion ?

Ou bien tu commences à comprendre que la seule chose qu’ils craignent vraiment… c’est que tu te lèves sans leur permission ?

Parce que pendant que tu continues à croire à ce grand théâtre, eux, ils avancent. Et toi, t’hésites encore entre “Macron, Mélenchon ou pas d’rond”.

Mais t’inquiète, bientôt on ne votera même plus. Une IA s’occupera de ça pour toi.

Et elle s’appellera : Démocrature 3000. Avec reconnaissance faciale intégrée et estimation de conformité comportementale.

Tu kiffes ?

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