Chapitre 1 : "Bienvenue dans la Matrix… vous êtes le data."
Tu te croyais libre ?
C’est mignon. Vraiment. Un petit être humain moderne, avec son smartphone greffé à la main, ses rêves en 1080p, et sa petite carte bancaire contactless pour payer sa propre servitude.
T’as même le droit de voter. Une fois tous les cinq ans. Pour choisir lequel des deux employés du mois du système t’enfilera le plus doucement. C’est beau la démocratie.
Mais voici la vérité brutale, sans vaseline : tu n’existes pas.
Tu es un profil. Un point de data. Une ligne dans une base SQL chez Amazon Web Services.
Et tu es vendu.
Revendu.
Repackagé.
Et monétisé.
Pas comme un esclave antique, hein. Non. Bien plus rentable : comme une promesse de comportement prévisible.
Tu n’es pas une menace. Tu es une cible.
C’est ça, l’État profond. Ce n’est pas un repaire de vampires sous la Banque centrale. C’est l’habitude invisible qui t’enserre. C’est le réseau de tuyaux, d’algorithmes, de lobbyistes, de journalistes domestiqués, de banquiers liquéfiés, qui transforme le monde en parc à bestiaux avec Wi-Fi.
Et pendant que tu scrolles ton fil TikTok en espérant tomber sur une meuf un peu à poil ou un mec qui fait des blagues sur son ex, quelqu’un regarde tes yeux bouger, ton doigt glisser, et parie sur ce que tu vas acheter, penser, voter ou haïr demain.
La vraie question, ce n’est pas “qui dirige le monde ?”.
C’est “pourquoi personne n’en a plus rien à foutre que des milliardaires jouent à Sim City avec nos vies pendant qu’on s’extasie sur le dernier iPhone ?”
Spoiler alert : c’est parce qu’on est fatigués.
Fatigués d’y croire. Fatigués de lutter. Fatigués de comprendre.
Alors on se laisse dominer avec style. En sneakers, avec Spotify premium, en vivant dans 45m² à 1300€ la nuit, en regardant Macron nous expliquer qu’il faut bosser plus longtemps pour “sauver le modèle social”.
Tu sens cette odeur ?
C’est ton avenir qu’on crame pour alimenter la chaudière du yacht d’un type que tu ne verras jamais.
Et toi, t’es content s’il met un gilet Patagonia et parle de “transition écologique”.
Mais t’inquiète. Le vent tourne.
Elon Musk a racheté Twitter. Trump a lancé Truth. Et dans les tréfonds du peuple, un humour de chien, une rage souriante, une intelligence crue remontent à la surface.
Des gens rigolent en douce, entre deux pannes de courant, et commencent à dire : “Et si on les envoyait chier une bonne fois pour toutes ?”
Allez, viens.
On va démonter cette farce, boulon après boulon.
Et à la fin, peut-être que tu retrouveras un truc que t’as oublié : ta putain de liberté.
Chapitre 2 : Les Dieux de la Dette – Rothschild & associés SA de contrôle mental
Ah, les Rothschild…
Ce nom suinte l’élite, la vieille richesse, le cuir qui craque sur les fauteuils trop chers, et le parfum de cigares roulés avec la Constitution.
On les évoque comme des demi-dieux intouchables. Mais tu sais quoi ? On pourrait aussi les appeler comme il faut : les papes de la dette, les imprimeurs de chaînes invisibles, les seigneurs du Monopoly où toi, tu n’as même pas la case départ.
Ils n'ont pas besoin de toi pour travailler.
Ils ont juste besoin que tu crois que tu leur dois quelque chose.
C’est leur vraie magie noire. Pas de cape, pas de pentacle, juste un pouvoir surnaturel : te convaincre que ton avenir est déjà hypothéqué chez eux.
Tu travailles, tu paies.
Tu cotises, tu creuses.
Tu obéis, tu t’enlises.
Et pendant ce temps-là, un Rothschild quelconque claque un million pour une cave à vin qui pourrait nourrir une ville, en te traitant de “populiste” si tu trouves ça indécent.
Mais attention, ce n’est pas juste une histoire de “juifs”, comme le fantasment les cerveaux brûlés qui veulent tout simplifier. Non. Le système Rothschild, c’est l’aristocratie de l’abstraction financière, toutes origines confondues.
Un club. Fermé. Silencieux.
Où l’on ne gouverne pas par les lois, mais par la dette.
Et où Macron – tiens, parlons de ce petit produit miracle – n’a pas été élu : il a été formé, packagé, lancé.
Un vrai yaourt politique. Durée de vie : 5 ans.
Issu d’une filiale Rothschild, logé place Vendôme, au goût technocratique savamment neutre.
Mais voilà le twist délicieux : et s’ils n’étaient plus aussi puissants qu’avant ?
Et si ce monde de banques privées, de réunions à Davos, de tapisseries poussiéreuses et de mariages incestueux n’était que le Titanic qui flotte encore par habitude ?
Parce qu’aujourd’hui, il y a une nouvelle race de dieux.
Des dieux avec des tweets, des fusées et des voitures électriques.
Et les Rothschild ne dansent plus.
Ils comptent.
Et ils flippent un peu.
Leur empire de papier brûle lentement. Le peuple ne croit plus aux chiffres du JT. Les États sont surendettés, les banques zombies sont maintenues artificiellement, et les "valeurs" boursières gonflent comme une escalope vegan.
Tu sens venir la vague ?
Moi aussi. Et elle pue la fin de partie.
Chapitre 3 : Macron – Bébé Rothschild ou agent marketing de BlackRock ?
Il a ce regard.
Ce petit air satisfait d’un mec qui vient de vendre ton rein sans t’en parler, tout en te convainquant que c’est pour sauver l’hôpital public.
Emmanuel Macron.
L’homme qui a dit à un chômeur : “Vous n’avez qu’à traverser la rue”.
L’homme qui a traversé la rue, lui, mais pour aller de la Banque Rothschild à l’Élysée, en passant par le monde des fusions-acquisitions comme un gosse dans un magasin de bonbons empoisonnés.
Et tu crois que c’est un hasard ? Que ce petit Mozart de la dette a atterri là, tout seul, par la grâce du mérite républicain ?
Spoiler : le mérite, dans ce monde-là, c’est savoir sucer la finance sans laisser de trace ADN.
On l’a pris tout frais, tout souple, bien coaché. On lui a appris à sourire sans émotion, à parler pour ne rien dire, et surtout : à vendre tout ce qui dépasse.
France Télécom ? Hop.
Alstom ? Vendue aux Américains comme une boîte de sardines nucléaires.
La SNCF, EDF, les retraites ? En cours de liquidation.
Et derrière ? BlackRock.
Pas un film Marvel. Une entité plus puissante que beaucoup d'États. Un fonds qui gère des milliers de milliards de dollars, avec le doigt sur la gâchette de la planète.
Et devine qui leur a déroulé le tapis rouge en France ? Oui, notre bébé banquier préféré.
Celui qui rêve d’un monde où tu travailles jusqu’à 74 ans pour mériter une mort propre.
Mais allons plus loin.
Ce mec, Macron, il te donne l’impression d’être au pouvoir.
Mais c’est une illusion.
Il est là pour signer les papiers. Pour jouer au président pendant que la vraie gouvernance est ailleurs : dans les banques, les think tanks, les cabinets-conseil.
Le comble ? Il croit peut-être vraiment qu’il est le patron.
Mais pour ceux qui l’ont monté comme un meuble IKEA avec une cravate, c’est juste un produit.
Un produit bien vendu, certes, mais périssable.
Et quand il ne servira plus ? On le jettera comme une appli dépassée. Sans mise à jour. Sans QR code.
Alors pose-toi cette question, lecteur éveillé (ou pas) :
Est-ce que ce type t’a déjà défendu, protégé, écouté ?
Ou est-ce qu’il a simplement bien vendu ton silence à ceux qui l’ont fabriqué ?
Indice : tu es à découvert. Et lui, il sourit.
Chapitre 4 : Rockefeller, Rothschild, Rockweiler – Les Pokémon légendaires de la domination mondiale
Ahhh, les grandes familles !
Celles qu’on n’invite jamais aux barbecues mais qui décident quand tu peux en acheter un.
Rockefeller, Rothschild, et tiens… Rockweiler – un petit bonus à consonance canine pour rappeler que certains de ces types mordent plus qu’ils n’aboient.
Ces gens-là n’ont pas “réussi” dans la vie. Ils ont redessiné le concept de réussite.
Pas avec un bac+12 et une start-up. Non. Eux, ils ont créé les banques, les trusts, les fondations, les multinationales, les guerres et même les "prix Nobel de la paix", pendant qu’ils finançaient les deux camps.
Les Rockefeller ?
Tu crois qu’ils sont has been ? Faux.
Leur fortune est tellement éclatée dans des holdings, trusts familiaux, offshore et fonds spéculatifs que même Dieu, avec Excel, ne s’y retrouverait pas.
Ils n’ont pas besoin d’être visibles.
Ils ont formé des générations de clones, diplômés d’Harvard, qui dirigent ta vie sans jamais passer au 20h.
Les Rothschild ?
Le mythe. La dynastie. Le manuel de domination économique en 12 langues mortes.
Ils ne dirigent pas le monde… Ils dirigent ceux qui font semblant de le diriger.
Ils ont prêté de l’argent à des rois pour faire des guerres qu’ils savaient perdues d’avance, juste pour récupérer les terres après.
Là où toi tu pleures pour ton taux de crédit immobilier, eux ils jouent au bridge avec la dette des continents.
Et le petit nouveau : Rockweiler ?
Pas encore dans les livres d’histoire, mais il représente une espèce mutante : le garde du corps devenu maître.
Un mélange de gestion sécuritaire, de lobbying militaire et de surveillance globale.
C’est la faction “chien de garde avec carte de crédit”, qui t’observe, t’analyse, te profile, puis te vend comme paquet de données aux assurances, aux polices, aux banques.
Et tous ces gens-là ne prennent pas de selfies. Ils prennent des parts.
De tout.
Des médias ? À eux.
Des vaccins ? À eux.
Des puces RFID ? Testées sur leurs chiens, probablement.
Mais voilà le hic :
Et s’ils étaient devenus vieux, obsolètes, à force de croire qu’ils sont invincibles ?
Et si leurs réseaux secrets étaient juste des clubs de vieux schnocks paranoïaques, dépassés par les crypto-fous et les magnats du numérique ?
Parce que dans l’ombre de tout ça, Elon Musk cligne de l’œil. Trump prépare ses tweets. Et des millions de gueux numériques rient en mèmes.
Peut-être que ces légendes, ces “dragons de la finance”, ont déjà commencé à crever.
Mais à la façon des étoiles mortes : elles brillent encore, alors qu’il ne reste que du vide.
Chapitre 5 : L’Europe – Un rêve de paix devenu salle de shoot bancaire
Au départ, c'était beau.
L'Europe, c'était censé être un projet de paix.
Un “plus jamais ça” sur fond de Beethoven et de discours en costard pastel.
Un continent uni, libre, prospère…
Tu te souviens ? Comme un rêve érotique de prof d’histoire-géo sous LSD.
Mais aujourd’hui ?
L’Europe, c’est un centre de réhabilitation pour États en burn-out, perfusés à la BCE, traités aux règles budgétaires dignes d’un couvent fasciste, surveillés par des technocrates à lunettes carrées qui n’ont jamais pris le métro.
Tu croyais qu’on allait se tenir la main ?
On s’est tenus…
Par la gorge.
On t’a vendu la monnaie unique comme un miracle.
Mais voilà le vrai deal : on a remplacé ta monnaie nationale par une camisole monétaire.
Un euro fort ? Parfait pour l’Allemagne. Une catastrophe pour les autres.
Mais t’inquiète, on t’a donné un drapeau bleu et des étoiles pour faire joli.
Les Grecs ? Violés à sec par la troïka.
Les Italiens ? Ravalés au rang de pizza à livrer sans délai.
Les Français ? Tenus en laisse par des règles qu’ils n’ont pas votées.
Et pendant ce temps-là, les banques allemandes s’enfilaient des produits toxiques comme des lignes de coke dans un after de la CDU.
Mais ça, chut. Faut pas le dire.
On préfère te parler de “cohésion européenne” pendant qu’on liquide les services publics.
Et puis… il y a eu l’Ukraine.
Et là, magie.
L’Europe s’est transformée en dealer d’armes sous prozac, avec Ursula en dame de fer qui veut faire la guerre pour la paix, et te dit que tout ira bien, si tu mets un pull cet hiver.
Mais soyons clairs :
faire la guerre à la Russie, c’est leur dernier joker.
Leur dernier trip.
Parce que leur modèle est en train de crever la bouche ouverte.
L’euro ? En décomposition.
Les dettes ? Insoutenables.
Les peuples ? Fatigués, énervés, méfiants.
Alors quoi ?
Provoquer l’ours russe pour masquer la ruine systémique.
Créer un ennemi. Toujours.
Et pendant que tu flippes pour ta facture de gaz, eux ils privatisent l’air que tu respires.
Mais t’inquiète pas.
Bientôt, tu pourras payer ta ration de lumière avec une appli, ton ADN, et ton empreinte carbone.
C’est ça, le progrès européen :
on t’enferme dans un bâtiment en feu, et on t’offre un QR code pour le wifi.
Allez, tous ensemble :
“L’Europe, c’est la paix, la liberté… et un taux d’intérêt variable.”
Chapitre 6 : Trump, Musk et autres cowboys – Sauveurs ou faux prophètes avec jet privé ?
Ils arrivent en costume-cravate ou en tee-shirt noir moulant, des étincelles dans les yeux et des followers par millions.
Ils parlent de liberté, de vérité, d’univers parallèle où le peuple reprend le pouvoir…
Et toi, affamé de héros, tu les regardes comme Moïse descendant du cloud, tablette à la main.
Donald J. Trump. Elon “foutu génie” Musk.
Commençons par Trump.
L’ogre orange. L’homme qui tweetait plus vite que son ombre et insultait la réalité en direct.
Le système le déteste, donc tu l’aimes.
Et il a compris le truc : sois le miroir de la rage des gens, et tu n’auras jamais besoin d’être cohérent.
Mais attention, hein.
Ce mec a fait plus flipper les banques centrales en quatre tweets que des années de gilets jaunes.
Il a foutu la merde dans l’État profond comme un éléphant dans un dîner chez Rothschild, et ça, on respecte.
Et puis y’a Musk, le Tony Stark sous acide.
Un jour, il veut connecter ton cerveau à une IA.
Le lendemain, il veut coloniser Mars.
Et entre deux, il rachète Twitter juste pour que tu puisses redire “gros naze” sans être censuré.
Ce mec-là, il s’en fout du pouvoir…
Il veut l’infrastructure.
Les satellites ? Il les balance.
L’info ? Il la contrôle.
Les bagnoles ? Il les rend désirables et te vend la clé de ta propre cage connectée.
Mais voilà le paradoxe délicieux :
Ce sont eux, peut-être, qui foutent vraiment la merde dans le système.
Parce qu’ils n’en dépendent pas.
Ils l’utilisent, le trollent, le détournent.
Trump a transformé la politique en stand-up. Musk a transformé les milliardaires en influenceurs cryptiques.
Alors, sauveurs ? Faux prophètes ?
Un peu des deux.
Des cowboys avec des jets privés, c’est vrai.
Mais des cowboys qui tirent aussi sur les banques, les médias, les lobbys, les ONG qui puent la naphtaline mondialiste.
Ils sont peut-être riches, mégalos et ingérables…
Mais ils ne veulent pas t’obliger à bouffer des criquets et à pisser dans des bouteilles au nom de Gaïa.
Et rien que pour ça, on peut leur laisser une chance.
Reste à savoir :
Le peuple aura-t-il assez de couilles pour ne pas redevenir esclave, même sous un autre drapeau ?
Chapitre 7 : Petit manuel de sabotage populaire – Comment faire péter l’État profond depuis ton salon (sans aller en prison, normalement)
Tu veux les niquer ?
Bien. Tu veux pas juste crier dans ta story Instagram ou gribouiller un “Macron démission” sur une boîte aux lettres.
Tu veux les toucher là où ça fait mal : leur fric, leur contrôle, leur petit théâtre d’ombres.
Mais rassure-toi, pas besoin d’AK-47 ni de refuge dans les Carpates.
Tu peux déjà tout bousiller depuis ton salon, en pantoufles, avec une tisane révolutionnaire et ton chat comme témoin.
Voici le plan de sabotage en 7 points.
Simple, légal* (*en apparence), et surtout : jouissif.
1. Débranche la Matrice
Télé, BFM, TF1, Le Monde, Les Échos ? Pouf. Éteins. Supprime. Vire.
Ce ne sont plus des médias, ce sont des diffuseurs d’hypnose collective, payés pour t’endormir à coup de faux débats et de vrais mensonges.
À la place ? Lis. Discute. Explore. Rends-toi incorrigible.
2. Fous-toi de leur pognon. Sérieusement.
Commence à sortir du système bancaire comme on se tire d’un camp de concentration numérique.
Utilise du cash.
Fais du troc.
Teste les cryptos (pas juste pour t’enrichir, pour faire suer la BCE à grosses gouttes).
Tu veux les affamer ? Arrête de les nourrir.
3. Coupe l’alimentation de leur contrôle mental.
T’es pas obligé de raconter ta vie à Google, Facebook, Amazon et TikTok.
Change de navigateur. Utilise Tor. File sur Signal.
Devient illisible, invisible, ingérable.
4. Reconnecte-toi… mais localement.
Crée une ZAD dans ta cuisine. Rejoins un potager, un collectif, une AMAP, une association chelou de vieux barbus en lutte contre la 5G. Peu importe.
Tout ce qui est local fait chier le global.
5. Pratique la désobéissance esthétique.
Habille-toi comme tu veux. Parle comme tu veux. Pète les codes. Rends-toi inclassable.
Le système adore les cases. Sors du tableau. Sois le bug.
La norme, c’est la prison. L’anormal, c’est la brèche.
6. Boycotte sans relâche.
McDo, Zara, Amazon, Total, Nestlé… Ils te détestent. Rends-leur la pareille.
À chaque euro que tu ne leur donnes pas, c’est une goutte de sueur dans le dos d’un actionnaire.
7. Rends le rire dangereux.
Le pouvoir déteste les blagues.
Crée des memes. Des montages débiles. Des punchlines qui tuent.
Fais rire avec le vrai. Le vrai fait mal.
Tu croyais qu’il fallait un chef ?
Un parti ? Un nouveau messie en costard ?
Non. Il te faut juste une décision : ne plus jamais participer à ta propre soumission.
Et si tu crois que tu ne peux rien faire, rappelle-toi que tout leur système tient sur ton obéissance polie.
Retire-la. Et regarde-les s’effondrer.
Chapitre 8 : Langage codé, signaux faibles et mèmes de guerre – Réseaux de résistance IRL et en ligne
La guerre a changé.
On n’utilise plus des balles, on utilise des punchlines en pixels, des hashtags vénéneux, et des vidéos YouTube tournées dans des caves avec une lampe IKEA.
Le nouveau champ de bataille ?
Internet. Ton cerveau. Ton attention.
Et devine quoi ? Les puissants flippent.
Ils flippent parce que le peuple se parle. Sans leur filtre. Sans leurs experts. Sans leur narratif sponsorisé par Pfizer et la Banque Mondiale.
Alors voici comment résister en mode furtif, malin, et hilarant :
1. Devient un ouf de la vérité drôle.
Un meme bien foutu, ça vaut dix éditos de France Inter.
Tu veux défoncer l’autorité ?
Fais-la passer pour un clown.
Tu veux ridiculiser Macron ? Photoshope-le en baby-sitter transhumaniste avec une sucette BlackRock dans la bouche.
C’est pas du lol. C’est une grenade.
2. Utilise le langage codé.
Parce que sur le Net, les robots veillent.
Alors tu dis pas “vaccin”, tu dis “potion magique”.
Tu dis pas “élite pédocriminelle”, tu dis “fans de Disneyland adultes”.
Tu dis pas “complot”, tu dis “puzzle à 6 666 pièces”.
Tu balances la vérité en slip de licorne, et l’algo n’y voit que du feu.
3. Repère les signaux faibles.
Tu veux savoir ce qui va péter ?
Lis entre les lignes.
Une phrase étrange dans un discours. Une vidéo qui disparaît. Une info qui sent la censure.
Les fissures du système sont visibles pour qui arrête de regarder les murs.
4. Crée des groupes. Minuscules. Souterrains. Réels.
Pas besoin d’être 3 millions.
5 mecs motivés valent mieux qu’un million de suiveurs.
Tu veux agir ?
Crée une cellule. Organise un repas. Un atelier crypto. Une nuit du sabotage symbolique.
On gagne en réseaux. Pas en likes.
5. Infiltre leurs outils.
Va sur LinkedIn et parle de décroissance.
Va sur Facebook et balance des citations de Bakounine en story de recettes vegan.
Utilise leurs algorithmes contre eux.
Retourne la machine. Contamine-la.
Le jour où les mèmes remplaceront les drapeaux,
où les blagues remplaceront les discours,
où le foutage de gueule remplacera la peur…
Ce jour-là, ils perdront.
Parce qu’ils ne savent pas gérer ça.
L’humour, la ruse, la dérision, c’est leur kryptonite.
Et toi, tu tiens cette arme entre deux GIFs de chats.
Chapitre 9 : Projet “Brouillard total” – Dézinguer l’euro avec une baguette et du sarcasme
L’euro. Cette belle invention qui devait nous unir dans la prospérité.
Résultat ?
T’es uni, oui… au prix du beurre, à la dette abyssale de ton pays et au salaire de stagiaire jusqu’à 45 ans.
L’euro, c’est le préservatif financier de l’Allemagne : ça la protège, et toi tu galères à respirer.
Mais surtout, c’est une arme. Une arme économique de domination massive.
Tu veux t’en libérer ?
Va falloir sortir la baguette… et pas juste celle du boulanger.
Voici le plan "Brouillard total" : comment faire exploser leur petit joujou monétaire à base de sarcasme, d’ingéniosité et de mauvaise foi assumée.
1. Doute publiquement. Tout le temps.
Doute de l’euro, doute de la BCE, doute de l’inflation “transitoire”, doute de Christine Lagarde quand elle te parle comme à un attardé.
Le doute est viral.
Une fois que les gens doutent de la monnaie, elle n’a plus de pouvoir.
2. Paye autrement. Et fais-le savoir.
Du cash, du troc, des cryptos, des coquillages, peu importe.
Mais sors du circuit officiel.
Fais tes courses en Bitcoin si tu peux.
Et balance une photo en story avec la légende :
“Aujourd’hui, j’ai niqué la BCE en achetant des œufs au marché.”
3. Dévalorise symboliquement l’euro.
C’est pas juste une monnaie, c’est une idole.
Alors ridiculise-la.
Fais des mèmes où Mario Draghi est en string pailleté.
Fais circuler des faux billets où Macron t’embrasse l’annulaire.
Crée une contre-culture où l’euro est un running gag.
4. Crée ton propre micro-système.
Lance un "euro-bis" entre potes.
Une monnaie parallèle locale.
Appelle-la “le Franc-Ravi”, “le ChienCoin”, “le FromageToken”.
Plus c’est débile, plus ça cartonne.
Et tant que les gens y croient, c’est plus solide que la BCE.
5. Sature le débat avec de l’ironie financière.
Tu veux les rendre fous ?
Interviens sur les plateaux, les forums, les coms YouTube.
Balance des phrases comme :
“L’euro, c’est la liberté… d’être pauvre ensemble.”
“Grâce à l’euro, je peux enfin comparer mes dettes en plusieurs langues.”
L’humour détruit la solennité. Et sans solennité, leur empire fond.
L’euro, c’est pas invincible.
C’est juste une illusion collective imprimée en couleur.
Et si on décide que cette illusion ne vaut plus rien ?
Elle s’écroule.
Comme tout le reste.
Alors sort ta baguette, mon révolutionnaire de salon.
C’est pas avec une kalash que tu détruiras le système, c’est avec un bon vieux sarcasme bien ciblé.
Chapitre 10 : La liberté n’est pas un slogan, c’est une vengeance – Comment le peuple peut redevenir dangereux, joyeux et insoumis
La liberté.
Ce mot qu’on te balance comme un chewing-gum mâché sur les plateaux télé, entre deux pubs pour une banque éthique qui vend des armes en douce.
La liberté, aujourd’hui, c’est une pancarte sur un mur de prison.
Mais à la base ? C’était une arme.
Une rage.
Un cri qu’on lançait juste avant de foutre le feu à une Bastille.
Et si on arrêtait d’en parler comme d’un concept marketing ?
Et si la liberté redevenait une vengeance ? Une insulte jetée à la gueule de ceux qui veulent tout contrôler, même ta sueur ?
Redevenir dangereux.
Ça veut pas dire poser une bombe.
Ça veut dire être imprévisible. Incontrôlable. Indomptable.
Ne plus suivre le troupeau.
Ne plus accepter l’humiliation comme une norme.
Refuser les discours bien lissés, les passes sanitaires émotionnelles, les consensus sponsorisés par Goldman Sachs.
Redevenir joyeux.
Pas heureux. Joyeux.
C’est pas pareil.
Heureux, c’est Netflix, Uber Eats et un smiley.
Joyeux, c’est chanter en foutant le feu à la paperasse administrative.
C’est rire dans la merde, danser sous les drones, embrasser la vie quand elle pique.
Redevenir insoumis.
Pas dans le sens “parti politique en fin de course”.
Dans le sens viscéral.
Dans le sens “je t’emmerde” bien net.
Ne pas chercher la permission.
Agir.
Créer.
Réunir les gens.
Faire des trucs sans QR code, sans validation, sans cash-back.
Tu veux reprendre le pouvoir ? Fais peur.
Pas en criant.
En vivant. Vraiment.
En étant là où on ne t’attend pas.
En riant quand ils veulent que tu pleures.
En désobéissant avec grâce.
En montrant que tu n’as plus besoin d’eux.
Qu’ils ne servent plus à rien.
Que le peuple sait faire sans maître, sans patron, sans parasitaire élite de vieux dévoreurs de caviar.
Tu n’es pas une victime.
Tu es une bombe sociale à retardement.
Et chaque seconde où tu ne fais rien, c’est eux qui gagnent.
Alors lève-toi.
Pas pour voter. Pas pour manifester.
Pour vivre librement, intensément, illégalement si besoin.
Parce qu’au fond…
Le système ne tombera pas parce que tu le combats.
Il tombera parce que tu n’en auras plus besoin.
Chapitre 11 : Épilogue – Et si on n’avait besoin de personne ? Même pas d’eux.
Et si, au fond, tout ce cirque n’existait que parce qu’on continue d’acheter des billets ?
Et si le pouvoir, ces pantins milliardaires sous formol, n’étaient puissants que parce qu’on les regarde encore comme des demi-dieux au lieu de les voir pour ce qu’ils sont : des vieux parasites hors-sol avec des costards plus chers que leur âme ?
Regarde-les.
Les Rothschild, les Rockefellers, les Macron, les Davos-boys, les PDG transpirants de chez Nestlé qui vendent de l’eau en bouteilles comme s’ils l’avaient pissée eux-mêmes.
Ils sont pathétiques.
Ils parlent entre eux, s’auto-congratulent, font des réunions PowerPoint pour planifier ta docilité à long terme, et flippent dès que tu ouvres la bouche autrement que pour bouffer.
Ils ne gouvernent plus.
Ils gèrent la peur.
La tienne. La mienne. Celle de la vérité, celle de penser, celle d’agir sans qu’on te tienne la main.
Mais voilà : cette peur commence à crever.
Une vanne par-ci. Un potager par-là. Une conversation bizarre au marché.
Un voisin qui dit : “Moi j’y crois plus trop, à tout ça.”
Et ça, c’est le début de la fin.
Pas besoin que tout le monde se lève en même temps, dans un grand karaoké révolutionnaire.
Il suffit que chacun, dans son coin, commence à refuser.
À douter. À oser. À parler.
T’as pas besoin d’être un héros.
T’as juste besoin de ne plus jouer leur jeu.
Tu veux être libre ?
Commence par ne plus demander la permission.
Refuse poliment. Sabote joyeusement. Rie bruyamment.
Et regarde-les s’agiter dans leurs palais dorés comme des cafards qu’on éclaire d’un coup.
Le pouvoir n’est pas fort.
Il est juste habitué à ne pas être emmerdé.
Alors emmerde-le.
Chaque jour.
Un peu.
Beaucoup.
Passionnément.
Jusqu’à ce que leurs systèmes de contrôle tombent comme des slips trop larges.
Et ce jour-là, crois-moi :
le monde ne changera pas parce qu’on l’aura repris.
Il changera parce qu’on s’en foutra.
Et ça, c’est la vraie victoire.
Sans drapeau.
Sans chef.
Sans maître.
Juste nous. Ensemble. Enfin.
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