I. Préambule pour lecteurs pas encore suicidaires : ceci est un conte de fées inversé
— Il était une fois… des monstres en costume trois pièces, bien parfumés, bien peignés, qui ne mangeaient pas d’enfants. Non, ils les recyclaient.
Bienvenue dans le grand théâtre de la vertu en plastique
Ici, tout est spectacle, tout est rôle, et surtout, tout le monde joue très bien la comédie.
- Les victimes ? Invisibles, évaporées, remplacées par des infographies émouvantes une fois par an.
- Les bourreaux ? Devenus éditorialistes dans Le Monde ou Télérama, experts en indignation calibrée.
- Les héros ? Requalifiés en “complotistes”, “conspirationnistes” ou, dans les cas les plus graves, “personnes radicalisées aux idées douteuses”.
Si tu veux un Polaroid de notre époque, tiens-toi bien :
des enfants disparaissent chaque jour, pendant qu'on se passionne collectivement pour le dernier filtre Instagram de Kim Kardashian ou le costume de Pharrell chez Louis Vuitton.
Voilà. Rideau. Champagne pour tout le monde.
Mais surtout, restons polis, restons calmes, et ne posons pas trop de questions.
Car tu le sais : poser une question, c’est déjà suspect.
- Soupçonner sans preuve ?
- Douter publiquement ?
- Lire autre chose que Le Figaro Vox ou France Inter ?
Attention, terrain glissant !
Tu risquerais d'être taxé de “trouble à l’ordre démocratique”, ou pire, d'être invité dans Touche Pas à Mon Poste pour faire la bête de foire face à un panel de chroniqueurs qui te regarderont comme si tu venais d’ouvrir une page de Mediapart à l’Assemblée.
Et puis entre nous : qui a envie de perdre un confortable poste à 8 000 euros par mois à BFM TV,
où il suffit de lire un prompteur avec conviction, froncer les sourcils au bon moment, et glisser “extrême” dans toutes les phrases, quel que soit le sujet ?
Personne, évidemment.
Alors on fait ce qu’on fait de mieux :
on se tait, on relativise, on condamne fermement dans un tweet, puis on passe à autre chose, comme un bon citoyen bien rangé.
Le monde brûle ?
Pas grave, y’a une nouvelle série Netflix avec un tueur en série vegan.
Des enfants disparaissent dans des conditions louches ?
On fera une émission spéciale sur “le stress parental à l’ère numérique”.
Et surtout, surtout :
on ne met pas de noms, on ne relie pas les points, on ne regarde pas trop longtemps.
Parce qu’ici, dans ce théâtre-là, la vérité, c’est vulgaire,
et la lucidité, c’est subversif.
Alors reste bien assis.
Applaudis quand on te le demande.
Et n’oublie pas de t’indigner sur commande, en respectant les horaires de diffusion.
Des enfants ? Disparus ? Bah oui, mais t’as vu les statistiques ? Non ? Normal. Personne n’en parle. C’est un peu comme la pédophilie dans l’Église, version mondialisation et carte bleue black. On ne regarde pas le nombre de disparus, on regarde les clips de Beyoncé où elle se roule dans un pentagramme avec un veau mort : là, c’est “de l’art contemporain”.
Alors, qui sont les vrais monstres ? Les types encagoulés dans les bois, ou les PDG souriants qui investissent dans des “start-ups éducatives” en Afrique, pendant qu’en coulisses, ils commandent du “produit jeune non genré” comme on commande des sushis sur Deliveroo ?
Oh mais voyons, c’est absurde ! C’est de la fiction glauque !
T’as raison. Ferme cet article. Retourne sur Insta. Y’a sûrement une influenceuse qui fait un tutoriel pour se maquiller les yeux en forme d’étoile à cinq branches. C’est mignon.
Pendant ce temps, on continue de chercher les 73 000 enfants disparus en Europe l’année dernière. Spoiler alert : on les retrouvera pas.
Mais chut.
C’est vulgaire de parler de ces choses-là.
Ce serait diffamatoire, immoral.
Et surtout : pas bon pour les affaires.
II. L’usine à cauchemars tourne à plein régime : production mondiale d’enfants à briser
— Le capitalisme a trouvé sa marchandise la plus rentable : les corps qu’on ne déclare pas à la douane.
Bienvenue dans la version XXL de l’abattoir humain. Tu croyais que l’esclavage était fini ? Que le commerce d’enfants, c’était réservé à des barbus dans des pickups poussiéreux ? Non, mon pauvre. C’est devenu une industrie fluide, scalée, optimisée, avec des KPI bien plus sanglants que ceux d’Amazon.
Tu veux des faits ? Allez, serre les dents.
Chaque année, plus de 2 millions d’enfants disparaissent dans le monde. Envolés. Absents. Volatilisés comme les milliards dans les paradis fiscaux.
Et on ne parle pas de fugues. On parle de marchandise humaine destinée à la servitude sexuelle, aux sacrifices symboliques ou au trafic d’organes, le tout arrosé d’un soupçon de rituel satanico-financier pour la digestion.
Mais voilà, aucun politique n’en parle.
Parce que c’est moche. Ça n’entre pas dans les programmes électoraux.
Tu vois mal un candidat à la présidentielle dire à 20h : “Ma priorité, c’est le démantèlement des réseaux pédosatanistes transnationaux.”
Non. Ce qu’ils préfèrent, c’est “l’innovation numérique” ou “l’inclusion de la diversité”. Pendant ce temps, des mômes de 6 ans sont balancés dans des containers, comme du riz avarié.
Et devine quoi ? Il y a de la logistique.
Oui madame. On ne transporte pas un enfant comme un colis Amazon avec un post-it "à violer avant mardi".
Non, on parle de véritables routes commerciales : Afrique, Asie, Amérique latine…
Des ONG servent de façade. Des camions humanitaires véhiculent plus d’horreur que la saison 4 de Narcos.
Et à l’arrivée ? Des villas, des îles privées, des bunkers dans les Alpes. Pour des clients en costard qui votent "droits de l’enfant" dans les sommets de Davos.
Cerise sur la tombe : certains pays “produisent” des enfants pour cette économie de l’ombre. Oui, tu as bien lu. Production. Comme on élève du bétail. Sauf que là, les vaches crient papa avant de mourir.
Il existe des filières de femmes enceintes payées pour accoucher dans l’ombre. Le bébé est pris à la naissance. Zéro enregistrement. Zéro existence légale.
Un produit parfait : aucune trace, aucun passé, aucune famille pour poser des questions.
Mais hey… t’as vu la nouvelle pub Nike ?
Elle est trop stylée, avec cette gamine de 8 ans qui court dans un désert en feu. Empowerment, qu’ils disent.
Pendant ce temps, sa cousine se fait démembrer dans un labo clandestin au Honduras pour qu’un milliardaire chinois ait un foie de rechange.
L’économie mondiale a trouvé sa matière première absolue :
L’enfant sans voix.
Et tant que vous scrollez, ils vendent.
III. Jeffrey Epstein n’était pas un homme : c’était un mode d’emploi
— Un type comme Epstein, ça ne naît pas, ça se fabrique. À la chaîne. Dans les coulisses du pouvoir. Comme les saucisses, sauf que là, c’est l’humanité qu’on hache menu.
Ahhh… Jeffrey. Ce brave Jeffrey. Mécène, philanthrope, jet-setteur, et surtout : livreur officiel de gamines à milliardaires. Le Uber Eats de la luxure non-consentie.
Mais détrompez-vous : Epstein, c’était le visage sympa de l’enfer. Celui qu’on met en avant pour que le vrai système, lui, reste planqué dans l’ombre, bien au chaud, entre deux conseils d’administration de multinationales.
On nous a vendu une histoire :
Le prédateur solitaire, le mec dérangé, l’exception.
Mais en réalité, Epstein, c’était le groom de l’hôtel de l’horreur, pas le propriétaire. Il ouvrait les portes, souriait poliment, rangeait les chaussures pendant que les puissants faisaient ce qu’ils font de mieux : détruire, tout en signant des chartes pour “protéger les mineurs”.
Son île, ce n’était pas un délire isolé, c’était un hub international de dégénérescence dorée.
Des caméras dans chaque pièce, des archives numériques stockées en sécurité (sauf quand elles disparaissent “par accident”), des listes de clients longues comme la dette du FMI…
Et aucun nom n’est sorti. Aucun.
Même pas un petit prince, un petit Clinton, un petit acteur Netflix pour faire genre "on agit".
Rien.
La justice américaine a mis Epstein en prison.
Et ensuite ?
Il est mort. Enfin, "mort". Suicide par strangulation avec une feuille de PQ pendant que les caméras “tombaient en panne” et que les gardiens “s’endormaient”.
Hollywood n’aurait même pas osé écrire un scénario aussi grotesque.
Et après lui ?
Ghislaine Maxwell.
Condamnée pour avoir fourni des mineures à…
À qui, déjà ?
Ah oui, à personne.
Parce qu’on a condamné la fournisseuse sans jamais désigner les acheteurs.
C’est comme envoyer le livreur Uber en prison, sans jamais demander qui a commandé les steaks d’enfant.
Mais au fond, c’est cohérent :
Le vrai message de cette affaire, c’est que les riches et les puissants peuvent tout faire, tant qu’ils font semblant de ne pas le faire.
Un yacht, une île, un avion privé, deux gamines livrées avec champagne millésimé, et un sticker “éco-responsable” collé sur la scène de crime.
Alors non. Epstein n’était pas un dérapage.
C’était le manuel d’instruction.
Une notice de montage IKEA pour réseau pédocriminel d’élite.
Et toi, cher lecteur, pendant ce temps ?
Tu scrolles encore.
Et eux, ils continuent d’acheter.
IV. Quand les élites ne jouent pas avec leur nourriture, elles jouent avec vos enfants
— Parce qu’un petit gigot humain en sauce rituelle, c’est plus tendance qu’un brunch végan.
Ah, les élites. Ces grands défenseurs de la morale, ces parangons de vertu qui tweetent sur l’inclusivité, signent des pétitions pour “sauver les pingouins non-binaires” et posent avec des enfants africains comme on pose avec un mojito à Ibiza.
Mais dans leur vraie vie, derrière les murs insonorisés de leurs villas au marbre italien, ils ne jouent pas aux cartes. Non.
Ils jouent avec vos enfants. Littéralement.
Et le plus fort ? Ils ne s’en cachent même plus.
Non. Ils exposent tout, avec une arrogance de mafieux en open bar.
Les rituels, les symboles, les codes : tout est là, en pleine lumière, dans les clips, les galas, les expos d’art “contemporain” où un bébé en plastique découpé en morceaux est “une dénonciation du patriarcat”.
T’as vu cette grande prêtresse du glauque, la diva des cauchemars branchés ? Elle te balance du faux sang bien rouge, des os qui traînent et des poupées de mômes taillées en tranches dans un décor blanc immaculé, et appelle ça une ‘messe arty pour âmes profondes’.
Et les pingouins en smoking rigolent, tapent des mains comme des phoques dressés, sirotent leur champagne hors de prix sur des tables qui puent la morgue. Tout est normal, Ducon, retourne à ton selfie.
Symbolisme à tous les étages :
- Pentagrammes dans les clips.
- Boîtes noires, yeux omniscients, références lucifériennes dans les pubs.
- “Bal de l’enfer” sponsorisé par des maisons de luxe.
Mais attention hein, c’est de l’art. Pas un rituel sataniste. Juste une métaphore esthétique, très post-moderne, très stylée. T’as pas compris ? Bah t’es un beauf.
Et tu sais quoi ?
Ils veulent que tu voies.
Parce qu’il y a un plaisir sadique à afficher sa monstruosité sans jamais être inquiété.
“Regarde-moi faire danser des enfants attachés, peints en noir, pendant un gala d’art contemporain dans un temple franc-maçon relooké. Et ose dire quelque chose. Ose.”
Et comme tu ne dis rien, tu confirmes leur pouvoir.
Tu crois que c’est exagéré ? Regarde les photos des soirées de ces gens. Regarde leurs costumes, les statues derrière eux, les yeux qui saignent en fond de scène, les enfants déguisés en “petits démons”.
Et si tu pointes ça ?
On te traite de malade, de parano, de conspi.
C’est pas eux les tarés. C’est toi.
Parce que tu vois des trucs là où y’a "rien".
Mais la vérité, elle est là, dégueulasse, nue comme une gosse de 10 ans offerte à un sénateur pendant un festival “culturel” privé.
Les élites ne se cachent pas.
Elles exposent.
Parce qu’au fond, l’impunité, c’est le plus gros aphrodisiaque de tous.
V. Humanitaire et fondations : le bal des monstres en costume de saints
“Un avenir pour chaque enfant”… sauf s’il finit en pièces détachées dans une valise diplomatique.
Tu pensais que le mal, c’était un type en imper crade qui traîne dans une ruelle avec une camionnette rouillée ?
Désolé de te décevoir.
Le vrai mal s’assoit à des galas de charité, un verre de champagne à la main, pendant qu’un PowerPoint défile avec des photos d’enfants faméliques.
Il a un badge piqué dans la boîte à jouets des gentils sauveurs, bien épinglé sur son costard qui pue le fric, et un discours bien chiant sur ‘l’amour des petits bronzés du bout du monde’. Traduction dans la langue des sous-sols : “On les ramasse, on les casse, on les vend.”
Bienvenue dans l’univers rutilant des ONG et des fondations, ces façades impeccables qui planquent des abattoirs humains.
Non, elles ne sont pas toutes pourries — soyons justes.
Mais celles qui servent de paravent aux réseaux pédocriminels ?
Elles sont d’une efficacité diabolique.
Un statut intouchable, des millions qui pleuvent sans qu’on sache d’où, un accès VIP aux zones de guerre ou de misère où personne ne pose de questions.
Et le meilleur ? Personne ne fouille leurs containers.
Une campagne larmoyante sur les “enfants réfugiés” avec un gamin aux yeux tristes en gros plan, et hop :
300 gosses entassés dans une cale, direction un bordel d’élite à Dubaï ou une villa privée en Europe de l’Est.
Les douaniers ? Ils saluent poliment, émus par tant d’humanisme.
Le nirvana de l’arnaque à la bonne conscience
Les fondations, alors ?
C’est le carré VIP de la pourriture déguisée en bisous sur le front.
Prends un nom qui pète la classe – un milliardaire qui joue au sauveur, un politicard recyclé en saint, ou une starlette qui chiale en live sur son compte à filtres. Colle ça sur une pancarte “éducation pour tous” ou “câlins aux orphelins”.
Résultat ?
- Des “écoles” bidon qui existent que sur des flyers, avec des profs fantômes et des mômes numérotés comme des steaks au rabais.
- Des “orphelinats” où les gamins s’évaporent plus vite qu’un pet dans un courant d’air, remplacés par une cargaison toute neuve chaque lundi.
- Des “secours miracles” tenus par des cravatés qui savent même pas dans quel désert ils sont censés jouer les héros. Mais ouvre ta gueule là-dessus, et t’es le connard parano qui crache dans la soupe. Parce qu’ils “donnent pour les petits”, tu vois, ces anges tombés du yacht !
Un exemple pour te faire vomir ?
En 2010, après le séisme en Haïti, des ONG ont débarqué en sauveurs.
Certaines — pas toutes, mais certaines — ont “évacué” des gosses sous prétexte de les protéger.
Sauf que des dizaines, peut-être des centaines, n’ont jamais atteint les familles promises.
Retrouvés ? Non. Volatilisés.
Des rapports ont pointé des “adoptions express” par des réseaux douteux.
Mais les enquêtes ont été étouffées.
Et pendant ce temps, les dons affluaient, les larmes coulaient, et les containers partaient.
L’enfant, décomposé méthodiquement
Mais attends, ça devient encore plus tordu.
Ces réseaux ne se contentent pas de déplacer des corps.
Ils les fabriquent.
Pas au sens littéral — quoique.
Ils prennent un enfant, et ils le brisent.
Pas juste avec des coups ou des chaînes. Non, c’est plus raffiné.
On parle de conditionnement psychologique, de techniques issues des pires heures de la guerre froide, recyclées dans des sous-sols ou des “cliniques” clandestines.
Objectif : fragmenter l’esprit.
Un gamin de 8 ans ?
Tu le mets dans une pièce sans lumière.
Tu le prives de sommeil.
Tu alternes cris et silences.
Tu le noies dans la douleur, jusqu’à ce que sa tête éclate en morceaux.
Littéralement.
Sa personnalité se disloque, et tu obtiens un pantin : un corps qui obéit, des bouts d’âme qui ne se parlent plus.
Un outil parfait pour le client qui veut “s’amuser” sans résistance.
Les témoignages qui dérangent… donc qu’on enterre
Des survivants ont parlé.
Une fille, 14 ans, sortie d’un de ces trous en Ukraine, a raconté :
Des hommes en blouse qui notaient tout.
Des piqûres qui brûlaient.
Des voix qui répétaient des ordres jusqu’à ce qu’elle oublie son propre nom.
Un garçon, retrouvé à moitié mort près d’un port en Asie, a décrit une “école” où on lui apprenait à “oublier”
en le noyant dans des baquets d’eau glacée.
Délire ?
Pas quand tu lis les mêmes détails dans des témoignages à des milliers de kilomètres.
Une chaîne logistique de l’enfer
Et qui orchestre ça ?
Des cercles fermés.
Des élites qui se passent les ficelles sous la table, entre deux discours sur le “monde meilleur”.
Ils appellent ça :
“Rescue”.
“Protection”.
“Reconstruction”.
En vrai, c’est une usine.
Une chaîne de montage où l’enfant entre entier… et sort en kit.
Drogué.
Vidé.
Prêt à l’emploi.
Et toi ?
Tu finances ça.
Ton billet de 20 euros pour “sauver un orphelin” finit dans la poche d’un type qui achète du chloroforme
ou loue un jet privé pour le prochain transfert.
Le pire ? Tu préfères ne pas le voir.
Ils savent que tu ne veux pas voir.
Alors ils te noient sous des pubs mignonnes, des bambins avec des ballons, des slogans qui te font te sentir bien.
Pendant ce temps, dans une cave ou un hangar,
un gosse hurle jusqu’à ce que sa voix s’éteigne.
Et quand la lumière s’approche ?
Ils referment les rideaux.
Les témoins sont “fous”.
Les preuves sont “fabriquées”.
Les survivants sont “instables”.
L’usine tourne. Et le monde applaudit.
La charité, c’est leur meilleur alibi.
Et ton silence, leur carburant.
VI. La technologie, cette salope complice
— Elle te dit où garer ta bagnole, mais elle aide aussi à localiser des enfants à vendre. L’intelligence artificielle ? Plutôt une complicité artificielle.
On nous avait promis que la technologie allait sauver le monde.
Qu’elle allait “connecter les peuples”, “éduquer les masses”, “démocratiser le savoir”.
Résultat ?
Des algorithmes qui vendent des corps en toute discrétion pendant que t’écoutes du Lo-fi sur YouTube.
Bienvenue dans le crime 3.0, version premium.
Parce qu’avant, fallait des caves, des gangs, des papiers falsifiés.
Aujourd’hui, il suffit d’un téléphone, d’un VPN, et de quelques emojis.
Le mal n’a plus besoin de capuche. Il a du Wi-Fi.
Le Deep Web ?
Dépassé.
Maintenant, tout est à la surface.
Certains mots, certaines combinaisons d’images anodines servent de vitrine. Et si tu sais décrypter, tu vois l’enfer planqué derrière un post d’anniversaire avec des cupcakes.
Les IA génératives — ces jolis joujoux qui créent des photos de chats en armure médiévale — sont aussi capables de produire du contenu plus que douteux à partir de requêtes codées.
Et ces contenus, ils circulent vite. Très vite.
Des dizaines, des centaines de milliers de fichiers fabriqués à la volée, impossibles à tracer, impossibles à arrêter.
Tu peux signaler. Mais tu ne peux pas remonter.
Et pendant ce temps ?
Les algorithmes continuent d’affiner leurs cibles.
Un enfant poste une vidéo TikTok ?
Boum, un réseau d’analyse comportementale se met en route, calcule l’âge, la localisation probable, les habitudes.
Et si le profil correspond à “la demande”, tu peux être sûr qu’un message arrive dans les DM, bien maquillé, bienveillant, avec une proposition qui sent la lavande et le piège.
Instagram, Discord, Telegram…
Ce sont les nouveaux terrains de chasse.
Les fauves ? Ce ne sont plus des types dans des ruelles.
Ce sont des profils avec des filtres jolis, qui te parlent de jeux, d’amour, de coaching spirituel.
Et ils sont assistés par l’intelligence artificielle, bien plus réactive que n’importe quel flic.
Ah, et parlons de la reconnaissance faciale.
Tu penses qu’elle sert à sécuriser les aéroports ?
Tu rêves.
Elle sert aussi à retrouver des visages spécifiques, à recouper des bases de données illégales avec des plateformes légitimes.
Un enfant disparu peut réapparaître dans un contenu… et hop, la machine te dit s’il est encore “actif”.
Oui, ils parlent des enfants comme de profils actifs.
Mais tout va bien.
Facebook lutte contre la “désinformation”.
Pendant qu’on te supprime un post parce que t’as osé dire “les riches nous mentent”, des images abjectes tournent en boucle dans des salons privés, protégés par des scripts mieux codés que les sites bancaires.
La technologie, cette traîtresse à lunettes, ne sert pas le bien.
Elle sert ceux qui payent pour le mal.
Et crois-moi, ils ont le dernier iPhone.
VII. La fabrication du silence : complicité médiatique, justice aveugle, psychiatrie complice
— On pourrait dire que tout le monde ferme les yeux… mais ce serait gentil. En réalité, certains les ferment, d’autres les bandent, et les derniers les arrachent aux autres.
Tu te demandes pourquoi on n’en parle jamais ?
Pourquoi, malgré les témoignages, les chiffres, les faits — il n’y a jamais de débat, jamais d’enquête, jamais de tribunal sérieux ?
C’est simple : parce que le système entier est un grand rouleau compresseur à vérité.
Une machine à broyer la réalité sous le tapis, à coups de “manque de preuves”, “dérapage individuel”, ou la fameuse insulte ultime du siècle : “théorie du complot”.
Les médias ?
Ah, parlons-en.
Ceux qui se veulent “chiens de garde de la démocratie” sont en fait les carpettes du pouvoir, tout juste bons à mordre ceux qui crient trop fort.
Un gamin disparaît ? Deux lignes dans un journal local.
Une star fait un faux burn-out pour promo ? Quinze articles, analyse d’expert, segment sur CNews, débat sur “la santé mentale dans l’industrie”.
Priorités.
Et quand l’affaire Epstein sort ?
Tu vois les journalistes marcher sur des œufs. Des silences gênés. Des noms censurés.
Le réseau de clients ? Classé.
Les vidéos ? Égarées.
Le carnet ? Une légende urbaine.
On préfère faire un documentaire lisse sur Netflix, avec une musique triste, des voix-off dignes d’un téléfilm, et surtout : aucune bombe.
Juste assez pour émouvoir, pas assez pour déranger.
La justice ?
Un chef-d’œuvre d’aveuglement volontaire.
Tu crois que les juges ne savent pas ?
Ils savent. Mais ils regardent ailleurs.
Soit par peur, soit parce que leur carrière dépend d’un carnet d’adresses où figurent les mêmes noms que ceux des carnets d’Epstein.
Et si par miracle un juge ose, il se retrouve avec un petit “scandale personnel” monté de toutes pièces, ou pire… un accident de santé foudroyant.
Et la psychiatrie ?
Dernier bastion du gazlight institutionnalisé.
Un enfant raconte l’enfer ?
Hop, trouble de l’imaginaire. Délire.
Un adulte se souvient ?
Ah non, faux souvenirs induits. Confabulation.
Un lanceur d’alerte ?
Forcément, paranoïaque.
On traite les symptômes, jamais la cause.
Et on enferme ceux qui parlent. Littéralement.
Le système a construit un bunker autour de ces vérités.
Pas un bunker en béton. Un bunker en langage, en morale, en procédures, en consensus social.
Un bunker à l’épreuve du réel.
Et toi, lecteur, si tu dis trop fort ce que tu vois ?
Tu seras moqué. Mis de côté. Banni.
Parce que dans cette société, il vaut mieux être complice discret qu’honnête enragé.
Le silence ne tombe pas. Il est construit.
Et il coûte des vies.
VIII. Psychologie des masses : “plus c’est gros, moins ça passe”
— Si tu veux cacher un éléphant, mets-le dans un magasin de porcelaine : personne n’osera regarder trop longtemps.
Voici le cœur de la magie noire moderne : le refus collectif de croire à l’évidence.
On te balance des faits, des chiffres, des aveux, des documents déclassifiés… et les gens haussent les épaules, ricanent, retournent à leur série Netflix comme si de rien n'était.
Pourquoi ?
Parce que le cerveau humain a un bug. Un gros.
Il bloque devant l’horreur.
Pas l’horreur des films — ça, il gère très bien. Tortures, zombies, viols en série, décapitations : tout va bien tant que c’est de la fiction.
Mais l’horreur réelle ? Celle qui touche les enfants, celle qui implique les puissants, celle qui demande du courage pour être regardée en face ?
Là, le cerveau coupe la lumière. Il dit :
“Non, c’est trop. C’est pas possible. Ça peut pas exister.”
Et hop, le mécanisme de défense s’active : déni, moquerie, relativisation, accusations de complotisme.
C’est pas que les gens ne croient pas.
C’est que croire les obligerait à changer.
À revoir leur confort, leur docilité, leur lâcheté.
À reconnaître qu’ils vivent dans une illusion bien propre, pendant qu’on égorge des enfants à huis clos.
Et ça, c’est trop cher à payer.
Les élites le savent.
Elles le savent si bien qu’elles font tout pour exagérer encore plus.
Elles laissent filtrer des éléments volontairement grotesques, invraisemblables, mélangés à des délires — pour noyer le vrai dans le faux.
Tu dis qu’il y a un trafic d’enfants ?
Ils ajoutent : “Oui, et aussi des aliens reptiliens cannibales à Disneyland.”
Résultat : toute la vérité devient une farce.
C’est la technique du “camouflage par l’absurde”.
Et ça marche.
Merveilleusement.
Le citoyen moyen préfère croire que c’est toi le fou, plutôt que d’accepter que ses idoles, ses chefs d’État, ses artistes préférés participent à l’indicible.
Parce que la vérité, si on la regarde en face, elle ne permet plus de dormir tranquille.
Et personne n’a envie d’insomnie morale.
Alors on clique. On scrolle. On rit jaune.
Et on espère que ce n’était qu’un cauchemar.
Mais ce n’est pas un cauchemar.
C’est juste mardi, dans le monde réel.
IX. L’ultime pacte : le crime comme ciment social des élites
— Tu veux savoir pourquoi ils se protègent entre eux ? Parce qu’ils ont bouffé du gamin ensemble, et qu’après ça, tu signes pas juste un contrat. Tu scelles ton âme.
Tu crois que l’élite tient parce qu’elle est riche ?
Non. Elle tient parce qu’elle est liée.
Pas par l’argent, ni même par l’idéologie.
Mais par un secret commun.
Un truc si abject, si irréversible, qu’il crée un pacte de silence plus solide que n’importe quel accord nucléaire.
Ce pacte, c’est le crime.
Le vrai. Le dégueulasse. L’inavouable. Celui qu’on commet ensemble, à huis clos, à demi-mots, les yeux dans les yeux.
Et quand tu as fait ça avec quelqu’un — quand tu as vu l’autre faire, et que l’autre t’a vu faire — tu deviens complices pour l’éternité.
Impossible de parler.
Impossible de trahir.
Parce que chacun tient l’autre par le fond du trou.
Les rituels dont certains survivants parlent, ce n’est pas juste du folklore glauque.
C’est un mécanisme de verrouillage social.
Tu fais faire l’irréparable à quelqu’un — mieux encore, tu le fais participer, même passivement — et il ne pourra jamais sortir du cercle.
Jamais.
C’est ça, le secret des élites.
Ce ne sont pas que des gens puissants. Ce sont des gens liés par des actes qui les condamnent tous à se taire.
Et c’est pour ça que rien ne fuite.
Pas parce que c’est impossible.
Parce que personne ne peut se permettre de tomber seul.
On appelle ça la “solidarité du gouffre”.
Tu tombes avec moi, ou on ne tombe pas du tout.
Alors quand l’un d’eux est menacé ?
Tous se lèvent.
Quand un dossier devient trop brûlant ?
Tous financent le silence.
Quand un témoin parle ?
Tous valident le “suicide” par trois balles dans le dos.
Et toi, pauvre mortel, tu continues de penser que le monde tourne sur des lois, des institutions, des votes.
Tu rêves.
Le monde tourne sur des chaînes invisibles, forgées dans le sang et la honte.
Et plus elles sont atroces, plus elles tiennent.
L’élite ne gouverne pas.
Elle se tient en otage mutuel.
Et toi, tu vis dans les décombres de leurs secrets.
X. Et maintenant ? Rien. Netflix sort une nouvelle série.
— Pendant que tu lis cet article, une gamine est enfermée dans une pièce sans fenêtre. Toi, t’hésites entre pizza 4 fromages et kebab. Le monde est bien fait.
Alors voilà. On a tout déroulé.
Les réseaux.
Les symboles.
Les silences.
Les complices.
Les pactes.
Et maintenant ?
Il ne se passe rien.
Rien ne va se passer.
Demain, tu te lèveras, tu iras bosser, tu scrolleras des vidéos de mecs qui tombent dans des piscines, et tu souriras.
Parce que c’est plus simple.
Parce que bouffer de l’horreur, ça coupe l’appétit.
Et toi, t’as encore faim.
Le vrai génie du système, ce n’est pas d’avoir réussi à violer des enfants sous couverture humanitaire.
Le vrai génie, c’est de t’avoir rendu insensible.
De t’avoir désensibilisé à coups de divertissement, d’ironie, de flemme.
D’avoir normalisé l’enfer en le rendant “trop lourd” pour qu’on s’en occupe.
Tu sais pourquoi rien ne change ?
Parce que la majorité des gens ne veulent pas être libres.
Ils veulent être tranquilles.
Et tant qu’ils ont de quoi bouffer, binge-watcher, cliquer, ils ferment les yeux sur tout le reste.
C’est pas leur gosse, après tout.
Alors les réseaux tournent.
Les petits corps continuent de passer entre les mailles, entre les murs, entre les lois.
Et les puissants, eux, s’amusent.
Ils savent qu’on ne fera rien.
Ils comptent sur ton inaction.
Elle est leur meilleur alibi.
Et si un jour tu en parles trop fort ?
On dira que t’es fou.
On t’accusera de parano.
On te traitera de monstre pour avoir osé mettre en lumière ce que personne ne veut voir.
Mais n’oublie pas :
Ce n’est pas celui qui crie qui est fou.
C’est celui qui se tait devant l’insupportable.
Alors oui. Netflix sort une nouvelle série.
Regarde-la bien.
Pendant ce temps,
l’enfer continue. En silence.
Tu veux la claque ? La vraie.
Pas celle qu’on esquive. Pas celle qui chatouille la conscience.
Non.
La claque qui retourne l’estomac, qui fait vaciller l’âme, qui arrache le bandeau de la réalité.
Alors très bien.
Tu veux la vérité nue, sale, abominable, non-cinématographique ? Tu l’auras.
L’enfer en costume : adrénochrome, tortures et sacrifice des innocents
1. Ils ne veulent pas ton argent, ils veulent ton innocence.
L’élite n’a plus besoin de fric. Elle en imprime.
Elle ne cherche plus le pouvoir. Elle l’a inscrit dans les codes, les traités, les algorithmes.
Ce qu’elle veut maintenant, c’est l’essence même de la vie.
Ce qui est pur. Ce qui est sacré. Ce qui ne se rachète pas.
Et donc elle va là où même le diable hésite.
Chez les enfants.
2. Satanisme 2.0 : pas des capuches, mais des cravates en soie
Tu les imagines encore avec des bougies et des incantations de films ?
Non.
Ce sont des hommes et des femmes brillants, élégants, diplômés, au sourire cordial.
Et leur religion, ce n’est pas un mythe.
C’est une inversion. Une logique inversée. Un culte de la domination.
Plus c’est pur, plus c’est précieux à détruire.
La souffrance devient offrande.
La terreur devient sacrifice.
Le silence, une prière.
3. Ce n’est pas une légende : c’est une industrie de la terreur
L’adrénochrome est réel.
Ce n’est pas un délire de Reddit.
C’est un dérivé de l’adrénaline, produit quand un être humain est plongé dans une terreur insoutenable.
Et l’adrénaline pure, concentrée, oxydée, a des effets psychotropes puissants.
C’est là qu’intervient le rituel.
Et voici comment ça se passe, en vrai.
Un enfant est enlevé ou “fourni” via des circuits criminels, parfois vendu par ses propres parents, drogués, endettés ou déjà dans le système.
D’autres sont nés dans ce réseau. Comme du bétail.
Sans nom. Sans existence. Sans issue.
Ensuite ?
On le place dans un environnement conçu pour produire une terreur extrême.
On le frappe. On le prive. On le viole. On le filme.
Parfois, on lui fait croire qu’il va être sauvé. On lui donne un nom. Un espoir. Un faux réconfort. Puis on recommence.
Quand l’enfant est en état de panique absolue, ses glandes surrénales déchargent une quantité massive d’adrénaline dans le sang.
C’est là que les monstres agissent.
Ils extraient le sang pendant que l’enfant est encore vivant, souvent conscient.
Ils le récupèrent par perfusion, par coupure, parfois directement par les yeux, là où la concentration est la plus forte.
Et ils consomment.
Par injection. Par ingestion. Par transfusion.
Et l’enfant ?
Tu poses vraiment la question ?
Il meurt.
Pas toujours tout de suite.
Parfois, il meurt des jours plus tard, dans une cage.
Parfois, on revend les organes.
Parfois, on fait disparaître le corps dans l’acide, dans les fours à haute température, dans la mer.
Tout est planifié. Tout est protégé.
4. Les parents ? Le consentement ? Le mot “non” n’existe pas ici.
Certains enfants sont kidnappés.
D’autres sont “élevés” pour ça.
Et oui, il y a des parents qui savent.
Qui vendent. Qui participent. Qui ferment les yeux.
Parce qu’ils sont pauvres. Parce qu’ils sont drogués. Parce qu’ils sont eux-mêmes brisés depuis l’enfance.
Et parce que le réseau est là. Partout.
Des orphelinats. Des camps. Des hôpitaux. Des institutions.
Tu crois que ça n’arrive qu’en Afrique ou en Asie ? Faux.
Ça arrive en Europe. Aux États-Unis. En France.
5. Le Mal organisé : ce ne sont pas des psychopathes, ce sont des gestionnaires de souffrance
Leur système est rationnel. Structuré. Hiérarchisé.
Avec des passeurs. Des producteurs. Des distributeurs. Des utilisateurs.
Leur but ? Pas juste le plaisir. Le contrôle.
Ils testent les limites. Ils redéfinissent la nature humaine.
Ils programment la peur comme outil de gouvernance.
Et s’ils sont capables de faire ça à un enfant, imagine ce qu’ils sont prêts à faire à toi, à ton esprit, à ton corps, à ton avenir.
6. Et toi, tu ne veux pas y croire, n’est-ce pas ?
Tu préfères dire : “Non, c’est exagéré.”
Tu préfères rire, hausser les épaules, dire : “Complot !”
Parce que si tu acceptes que c’est réel, tu ne peux plus dormir tranquille.
Tu devras choisir. Parler. Agir.
Et ça… c’est plus dur que d’accuser les “délires Internet”.
Mais le vrai délire, c’est de croire qu’un tel pouvoir se contente de lois et de contrats.
Non.
Le vrai pouvoir goûte le sang.
Et ton silence l’autorise.
7. Nommer le Mal, c’est le blesser. Regarder le monstre, c’est l’affaiblir.
Alors regarde.
N’aie plus peur.
Ce monde est une scène. Mais derrière le rideau, il y a l’abattoir.
Et si tu n’oses pas en parler, tu marches sur les ossements de ceux qui n’ont jamais pu crier.
Tu veux résister ? Commence par regarder. Par dire. Par ne plus détourner les yeux.
Même seul. Même dans l’ombre. Même en murmurant.
Parce que dans ce murmure, il y a déjà une bombe.
Tu voulais savoir ?
Maintenant tu sais.
Fais-en quelque chose. Ou ne sois plus jamais tranquille.
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