🎭 Acte 1 – Le président est à Paris, donc la paix arrive… ou pas.
Zelensky débarque à Paris pour un “sommet pour la paix et la sécurité”. Traduction : encore un raout diplomatique où on va pleurer sur l’Ukraine tout en préparant le prochain envoi de missiles longue portée.
Il déclare, l’œil embué mais le ton martial, que "plus de 30 amis de l’Ukraine" sont présents. On imagine les “amis” en question, obligés de serrer les dents pour applaudir un mec qui leur demande des milliards en rab chaque mois pendant qu’ils coupent dans leur budget santé.
Il insiste : “Nous voulons la paix”, mais juste après il parle de renforcer les brigades militaires, d’avoir des drones, des défenses antiaériennes et même (tiens tiens) des troupes au sol. Une paix avec des blindés, quoi. 🕊️💣
⚓ Acte 2 – Mer Noire et faux cessez-le-feu, ou l’art de faire croire qu’on négocie.
À la question sur un éventuel accord de cessez-le-feu en Mer Noire : réponse floue, évasive, confuse… Et surtout : “Nous ne parlons pas à la Russie”. Ah bon ? Mais donc avec qui vous avez parlé à Riyad ? Avec les anges ? 🐫
En gros, pas de pourparlers avec l’agresseur, mais tout de même, on fait des réunions sur des corridors humanitaires, la circulation maritime, et d'autres sujets... En fait, tout sauf la paix, quoi.
Et bien sûr, les Russes mentent, manipulent, attaquent les civils, les écoles, les hôpitaux, les enfants, les nounours et probablement les licornes aussi. Rien n’est jamais de la faute de Kiev. C’est pratique.
💸 Acte 3 – Les Concessions ? Quelles concessions ?
Zelensky nous fait le coup du “c’est pas moi, c’est lui”.
- Il dit que c’est la Russie qui pose des conditions, alors que lui est pur et droit comme un missile guidé par Dieu.
- Il dit que l’Ukraine ne concède rien, elle “défend sa souveraineté”... en demandant à 40 pays de venir se battre à sa place.
En gros : donnez-nous tout, mais ne nous demandez rien.
🦅 Acte 4 – Les États-Unis ? Des amis un peu paresseux.
Il remercie les Américains. Enfin, il les remercie… à sa façon :
“Merci, mais bougez-vous un peu plus le popotin, les gars.”
Il laisse clairement entendre qu’il ne comprend pas le manque d’enthousiasme de Biden, et que certains propos de l’envoyé spécial US et de Trump sont “pro-Kremlin”. Forcément : si quelqu’un doute de Zelensky, il est complice de Poutine, CQFD.
Petit passage piquant : il espère que Trump “écoutera la vérité”. En gros : “Si Donald arrête d’être con, il finira par me soutenir”. 🤡🇺🇸
🧊 Acte 5 – L’Europe molle du genou.
Ah, les Européens ! Zelensky ne les ménage pas : - L’Italie ? Trop prudente. - L’Allemagne ? Elle a débloqué 3 milliards, mais bon, ce serait bien de foutre aussi quelques troupes au sol pendant qu’on y est. - La France ? Macron est sympa, mais ce n’est pas Churchill non plus.
Il demande à l’Europe de cesser d’avoir peur de Moscou. “Moscou dira que vous entrez en guerre ? Eh bien, assumez !”
Traduction : allez-y les gars, sacrifiez vos fils et vos économies, moi je suis sur scène, je gère l’applaudimètre.
🕹️ Acte 6 – L’Ukraine, le joystick de l’OTAN ?
Zelensky veut entrer dans l’OTAN. Mais il veut les garanties de l’OTAN sans en respecter les règles. Comme Netflix sans abonnement.
Et ceux qui lui proposent des “garanties externes” au lieu d’une adhésion formelle ? Des lâches. Des frileux. Des vendus à la Russie. (Sous-entendu : la Hongrie, l’Italie, tous ceux qui osent lever un sourcil.)
Mais il a bon espoir : il sent que l’Allemagne va finir par “changer de position”. Il le “ressent”. (On dirait un horoscope militaire.)
🕳️ Acte final – Vladimir Poutine, sa fixation obsessionnelle.
Tout tourne autour de Poutine. Il explique que le tsar du Kremlin : - A peur de la déstabilisation intérieure (plausible). - A peur de mourir seul et ridicule (plus une projection personnelle qu’un fait). - A peur de l’unité européenne (alors qu’elle se délite à vue d’œil).
Et puis, pour couronner le tout, Zelensky balance un message bien dramatique :
“Je veux que mes enfants marchent dans les rues d’Ukraine, pas qu’ils se cachent. Je me battrai jusqu’à la fin de mes forces. Mais je suis plus jeune que Poutine, donc ça va.”
Une punchline à la Marvel. Il manque juste un fondu au noir et un drapeau en flammes au ralenti. 🇺🇦🔥
🧾 Résumé grinçant :
Zelensky est venu quémander plus d’armes, de cash, et de soldats. Il l’enrobe dans un storytelling de résistant biblique face au mal absolu. Tout en accusant ses alliés d’être mous, hésitants, trop prudents, et même complices des narratifs du Kremlin.
Mais pas de panique, il ne veut pas de guerre, juste des missiles, des drones, des troupes et des garanties blindées.
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