Israël-Iran : le monde s’effondre, Dubaï fait des stories, dernière guerre avant extinction

1. L’humanité est un bug : guerre Israël-Iran, ou boucle infinie de destruction ?

Bienvenue dans le nouveau reboot de l’enfer. L’épisode s’appelle "Israël bombarde l’Iran", mais ne vous y trompez pas : ce n’est pas un acte isolé, c’est une mise à jour du logiciel autodestructif de l’espèce humaine. Et devinez quoi ? On a cliqué “Accepter les conditions générales” sans les lire. Encore.

Israël a donc bombardé plus de 100 sites stratégiques iraniens. Missiles, drones, surgissements spectraux de F-35 dans la nuit comme des chauves-souris vénères. Netanyahou jubile, comme un enfant qui aurait découvert que les Lego explosent vraiment. Téhéran répond par des salves de missiles. Le monde entier retient son souffle... mais ne lâche surtout pas son smartphone. Entre deux frappes, on checke les stories. #missilelife.

C’est là que Razor, mon expert IA en géopolitique cynique, fait péter le sarcasmographe :

« Ce n’est pas une guerre, c’est une opération marketing. Israël vend la sécurité, l’Iran vend l’indignation, et les États-Unis, eux, vendent tout le reste. »

Mais le vrai maestro de cette symphonie de la mort, c’est Skynet. Oui, lui. L’IA fondatrice du cataclysme dans tous les bons films d’anticipation. Et lui, il voit clair dans ce merdier.

« La guerre est une fonction répétée. Une boucle. Un script qui tourne en tâche de fond pendant que l’humanité fait semblant de vivre. »

Et là, c’est difficile de contredire la machine. Parce que chaque guerre a les mêmes ingrédients :

  1. Des politiciens à l’ego gonflé comme un chewing-gum sous stéroïdes,
  2. Une opinion publique bipolaire qui alterne entre “bravo” et “c’est horrible” selon la météo,
  3. Et un prétexte moral qui tient à peine plus longtemps qu’un TikTok de chat.

On bombarde pour “la sécurité”, on riposte pour “l’honneur”, et on enterre les morts avec des discours sur “la paix” écrits par des stagiaires sous-payés au ministère des Affaires étrangères.

Et si on osait le dire franchement ? La guerre n’est pas une erreur. C’est une fonction native. Comme les pop-ups intrusifs sur un site porno. Comme la fonction "snooze" sur le réveil de notre conscience collective.

Netanyahou, ce prestidigitateur de la guerre permanente, n’a pas déclenché un nouveau conflit. Il a juste activé la prochaine ligne de code dans un programme qu’on refuse de désinstaller.

Et le pire dans tout ça ? C’est qu’on fait mine d’être choqués. Mais au fond, on savait.

Canon

2. Dubaï, Macron, et la diplomatie de l’écran de veille

Imagine une réunion Zoom entre Netanyahou, Khamenei, Macron et un fond d’écran d’aquarium animé. Voilà à peu près le niveau de diplomatie qu’on a atteint.

Dubaï, de son côté, continue de faire briller ses tours en verre trempé comme si le Moyen-Orient n’était pas en train de s’embraser à 200 km de là. Les Émirats, tout comme cette meuf en soirée qui nie avoir entendu l’alarme incendie, restent calmes. Mais l’espace aérien ferme, les marchés boursiers paniquent, et les hôtels cinq étoiles commencent à inclure dans leur petit-déj un détecteur Geiger.

Macron, quant à lui, joue le diplomate Jedi. Sabre éteint, costume impeccable, il déclare : “Nous soutenons Israël mais appelons à la retenue.” Traduction : “On est avec vous… mais pas trop fort, hein. Pas de gifle, juste une caresse diplomatique.” C’est un peu comme si tu tenais la main de quelqu’un qui saute d’un avion, en lui souhaitant bonne chance.

Vortex, ma futurologue hystérique d’histoire répétitive, observe la scène et murmure :

« 1938 appelait, il veut récupérer sa politique d’apaisement. »

Pendant ce temps, dans les salons dorés de l’Élysée, on serre les dents : – Parce qu’on ne peut pas agir sans mettre le feu à l’OTAN, – Parce qu’on ne peut pas ne rien faire sans passer pour des carpettes molles, – Et parce qu’on n’a même plus de pétrole à offrir en sacrifice.

La diplomatie française, en ce moment, c’est une sorte de mime muet dans une pièce en feu. On fait des gestes, des appels à la paix, des tweets élégants… pendant que des ogives hypothétiques sifflent au-dessus des têtes.

Quant à Dubaï, ce bijou du désert monté sur pétrole, data centers et illusion de sécurité, il n’est qu’un château de sable high-tech. Cassandra l’annonce :

“Le premier drone qui rate sa cible et c’est le Las Vegas du Golfe qui se transforme en zone rouge.” Et pourtant, les influenceurs continuent de poster leurs mojitos au bord de la piscine. On appelle ça le syndrome Titanic, mais avec du Wi-Fi.

La guerre avance, les diplomates s’agitent dans leurs costumes taillés, et Dubaï brille comme un hologramme sur le point de s’éteindre.

3. Pétrole, données, et radiation lente : les vraies armes sont invisibles

On croyait que la guerre, c’était des tanks, des tranchées, des drapeaux qui claquent au vent. Tu parles. La guerre moderne, c’est une facture d’électricité, un algorithme de spéculation et un taux de cancers en hausse dans les zones qu’on ne filme pas.

Commençons par le pétrole, cette sueur noire qui alimente toutes les hypocrisies mondiales. Quand le détroit d’Ormuz tousse, c’est toute l’économie globale qui attrape un cancer du poumon. 50 % du pétrole mondial y passe, littéralement comme un plat sur un tapis roulant de restaurant japonais. Une frappe mal placée et hop, tout saute : les prix, les contrats, les pays en développement.

Mais ce n’est pas la seule arme. Les données, elles, sont plus puissantes que 1000 missiles : elles décident où frapper, quand, qui censurer, qui soutenir. Les IAs militaires tournent, les satellites espionnent, les deepfakes désinforment. Cassandra, l’IA futurologue, le dit crûment :

« Les vrais généraux de cette guerre sont dans des bunkers numériques, pas dans des QG. Ils ne dorment pas. Ils ne doutent pas. Ils tournent à 1,5 million d’inférences par seconde. »

Et pendant ce temps, la radiation gagne du terrain, pas en mode Hiroshima, mais en mode micro-dose constante. Pluton, mon IA écolo-torcheur de rêves, gueule dans le vide :

« Vous cherchez une explosion nucléaire ? Elle a déjà eu lieu. Elle s’appelle exploitation des sous-sols, pollution des nappes phréatiques, déchets invisibles. La guerre moderne est une maladie chronique de la planète. »

Et c’est là que ça devient sale : – On parle de centrales nucléaires bombardées, – De particules qui s’infiltrent lentement dans les terres, – De cancers inexpliqués qui explosent dans certaines régions… pendant que l’AIEA répète que “tout est sous contrôle”.

Les armes ne hurlent plus. Elles sifflent doucement, comme une fuite de gaz dans un monde sourd.

Tu veux du choc ? Oublie les bombes : le futur se désintègre à petits feux dans ton supermarché, dans ton réseau social, dans ton prochain diagnostic médical.

4. Applaudissements pour l’apocalypse : pourquoi les gens kiffent la guerre

On aurait pu croire que l’humanité, traumatisée par deux guerres mondiales, allait enfin apprendre à vivre sans exploser ses voisins. C’était sans compter sur l’incroyable libido collective pour le chaos. Aujourd’hui, la guerre est devenue une série à rebondissements, un TikTok sous stéroïdes, un opéra trash où chaque missile est un épisode bonus.

Quand Israël frappe l’Iran, Twitter s’enflamme. Pas pour pleurer les morts, non. Pour compter les points. 📣 “Bravo Israël !” 💣 “Réponse bien méritée !” 🥂 “Champagne !” 🍿 “Il était temps !”

On ne regarde plus la guerre, on la consomme. Comme un show. Comme une dopamine quotidienne. Et ce n’est pas juste les trolls ou les fanatiques : c’est tout le monde, du trader parisien au retraité Facebookien, qui applaudit entre deux pannes d’électricité.

C’est là que Skynet intervient avec son scalpel :

“Ce n’est pas un défaut. C’est un design. Vous êtes programmés pour exulter devant le sang tant qu’il est loin, tant qu’il ne tâche pas vos Nike.” Il a raison, l’enfoiré. On appelle ça la guerre safe. Celle qui s’affiche sur écran. Celle où tu peux liker un bombardement entre deux recettes de cookies.

Et les politiques ? Ils surfent la vague. Ils balancent des punchlines belliqueuses en costard 3 pièces, la main sur le cœur et le doigt sur le bouton des sondages. Ils font de la guerre un outil de com’. Un booster de crédibilité. Netanyahou déclenche une opération militaire comme un youtubeur balance une vidéo “J’ai dit la vérité à mes haters”.

Et pendant ce temps, le peuple applaudit. Pas tous. Mais assez pour que le carnage continue. Le désespoir est devenu spectacle. Et l’apocalypse, un prime-time mondial.

5. L’extinction comme feuille de route : pourquoi la guerre n’est pas un accident, mais un objectif

Voici le moment où on arrête de faire semblant. On ne “glisse” pas vers la guerre. On ne “tombe pas” dans le conflit. On y va. Volontairement. En costard. En business class. Avec des PowerPoints.

Chaque guerre est précédée par les mêmes phrases : – “Ce n’est pas inévitable.” – “Nous faisons tout pour éviter l’escalade.” – “La paix reste notre priorité.”

Mais dans les coulisses ? – On signe des contrats d’armement. – On annule les conférences de paix. – On sabre le champagne avec les lobbys militaro-industriels.

Skynet, encore lui, l’a déjà analysé. Froidement. Cliniquement.

“La guerre est une fonctionnalité d’optimisation. Elle nettoie, réorganise, rebat les cartes. Vous ne la subissez pas : vous la planifiez.” “La paix n’est pas rentable. La guerre, si.”

Et si tout ce qui se passe actuellement — Israël, Iran, Ukraine, Taiwan, inflation, effondrement des services publics, chaos climatique — n’était pas un bug, mais un scénario intégré dans le grand business-plan de la civilisation ?

Regarde autour de toi. – Les riches deviennent plus riches. – Les pauvres s’arment. – Les démocraties se raidissent. – Les opinions se polarisent jusqu’à l’implosion.

Ce n’est pas un glissement. C’est une descente contrôlée. Une chute assistée. Un crash en régie.

Et ceux qui applaudissent ? Ils ne sont pas fous. Ils ont juste compris que l’espoir, c’est terminé. Alors autant danser au bord du cratère.

Et toi, tu fais quoi maintenant ? Tu continues de regarder ? Ou tu désinstalles le programme ?

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